Spécial de Pâques: Un retour sur la situation des 5 grands championnats européen avec tous les experts du Kan Football Club.
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Avec 3 victoires en 4 matchs, le FC Dallas démontre que la lourde défaite face au Houston Dynamo était un accident de parcours. Les texans se retrouvent en deuxième place du classement de l’Ouest après une victoire 3-0 face à DC United.
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Kan Football Club, le magazine sportif québécois qui diffuse des nouvelles du monde du soccer MLS de l’Impact de Montreal et de la planète foot. Envie de participer à la belle aventure du Kan FC ? Envoyez vos contributions sur l’actualité sportive, sous forme d’articles, d’audios ou de vidéos à kanfc@afrokanlife.com Les meilleures d’entre elles seront relayées sur nos plateformes. Kan FC c’est une alternative à la couverture traditionnelle, c’est votre alternative foot !
L’objectif de cette jeune structure est d’accompagner les Africains de la diaspora dans leurs projets d’investissement dans le continent. Notre rencontre avec Steve Nicoué Kotey, un des deux fondateurs avec Brice Bredji, de l’entreprise Kodji Agency pour une interview.
Salut Steve, peux-tu brièvement nous présenter les services que propose ton agence ?
L’agence propose aux particuliers et aux associations de la diaspora africaine une assistance personnalisée et locale pour tous leurs besoins personnels, leurs projets immobiliers, touristiques, associatifs ou de création d’activités. Nous répondons aux besoins de conseil et d’assistance pour l’étude et la mise en place de leurs projets.
Les problématiques auxquelles une grande majorité de la diaspora africaine fait face restent les mêmes. Nous proposons donc des solutions d’accompagnement et de suivi de projets à cette diaspora africaine.
Je constate que le champ d’applications est plutôt large, intègres-tu une gestion de projets clés en main ?
KODJI Agency intègre une gestion de projets clés en main qu’il s’agisse : de l’étude de faisabilité, ou d’opportunité, le Business Plan, la mise en place et la phase communication nous répondons selon les demandes de nos porteurs de projet.
Nous disons que le seul effort que doit avoir à faire le porteur de projet est de remplir notre formulaire de présentation de son projet.
KODJI AGENCY
Qui est ta clientèle actuelle ? Et globalement quelle est ta cible à long terme ?
La clientèle actuelle est des particuliers de la diaspora africaine en France, Belgique, Suisse ou encore au Canada. Nous avons aussi de plus en plus de sollicitations d’assistance de projets pour des particuliers résidents dans les pays africains (Sénégal, Maroc ou Cameroun). À long terme, en plus d’avoir une présence dans plus de pays africains, nous envisageons de proposer des services aux entreprises et collectivités publiques.
Quels sont les pays d’Afrique couverts par ton entreprise ?
Actuellement, nous accompagnons les porteurs de projets qui nous sollicitent dans 3 pays : la Côte d’Ivoire, le Bénin et le Togo.
Pourquoi ces pays ? Parce que ce sont nos pays d’origine donc que nous connaissions le mieux.
En choisissant ce domaine d’activité, je pense que vous répondez parfaitement à une demande grandissante, mais le défi est de taille, car il est connu que travailler avec l’Afrique peut s’avérer être extrêmement décourageant en raison des nombreux problèmes de corruption et de politique, ainsi quelle est la véritable valeur ajoutée de votre entreprise ?
Le conseil et notre connaissance du terrain. Avant chaque démarrage de projet, nous prenons le temps de discuter longuement avec le porteur de projet afin de lui expliquer les forces et faiblesses de son idée en fonction des conditions et du pays dans lequel il souhaite le mettre en œuvre. Certains projets peuvent effectivement être grandement ralentis par les problèmes de corruption ou de politique. Mais ce ne sont pas des blocages insurmontables ou inhérents à l’Afrique. Notre agence se base sur un réseau d’informateurs locaux qui vivent l’Afrique au quotidien et qui, par ce fait, constituent notre principale valeur ajoutée : le conseil argumenté par l’expérience du terrain.
Toutefois, même si le défi est effectivement de taille, nous nous sommes donné les moyens de convaincre notre clientèle que l’avenir de l’Afrique passe aussi par le fait de relever des challenges.
En tant que client, quelles sont les garanties que vous m’offrez ? Comment vous faire pleinement confiance ?
Lors du démarrage de chaque projet, nous indiquons à nos porteurs de projet, avant toute proposition de devis, des indications sur la forme que l’accompagnement prendra ainsi que les points-clés de pertinence de son projet. C’est souvent, à ce moment-là, que la confiance se crée, car les porteurs de projets ressentent notre sérieux dans la finesse de nos premiers conseils.
Nous proposons des services innovants et sans aucun semblable sur le marché ; nous pouvons donc comprendre que certaines personnes soient perplexes ou suspicieuses. Toutefois, plusieurs points doivent être retenus : nous sommes une entreprise enregistrée officiellement au registre du commerce, nous avons des agences physiques où chacun peut se rendre, nous avons été mis en lumière par plusieurs médias reconnus (NOFI, Inspire Afrika, Le Point Afrique, etc.), nos partenaires locaux peuvent certifier du travail que nous faisons avec eux et enfin nous sommes joignables à tout moment via nos contacts. Et si tout ceci ne suffit pas à vous rassurer, sachez que nous célébrerons bientôt notre 30e projet accompagné. En un peu plus d’un an, des personnes d’origine et aux projets divers nous ont accordé leur confiance et en sont satisfaites. N’est-ce pas une raison supplémentaire de nous faire confiance ?
Il n’y a malheureusement pas que des personnes honnêtes dans nos familles. Pour éviter les abus de confiance et les conflits à venir mieux vaut sécuriser ses actions à travers un intermédiaire juridiquement responsables. Les services proposés sont nouveaux et sans aucun semblable sur le marché actuel. Notre réseau de partenaires locaux est notre principale force. Nous avons une connaissance du terrain qui est basée sur un réseau de contacts acquis et de partenaires diversifiés. C’est la raison pour laquelle nous précisons souvent que notre plus grand avantage concurrentiel est notre réseau de partenaires et d’informations dans nos pays de présence. Sans oublier nos compétences et diverses expériences à l’internationale.
Les gens ont des projets, des idées, ils veulent investir dans leurs pays d’origines ou d’accueil. Mais il faut encore du temps pour qu’ils comprennent qu’il ne suffit pas d’avoir l’idée ou le capital et se lancer. Il y a une grande partie très importante finalement la préparation avant la création ou du lancement. Le choix, du lieu d’implantation son aménagement, les démarches administratives, les risques et pièges la cible clientèle les concurrents, etc.
Assistance technique maître d’ouvrage pour la construction d’une maison à Bassam Côte d’ivoire
J’imagine que tu pilotes depuis la France toutes ces études de faisabilité et leur mise en œuvre, comment sélectionnes-tu les intermédiaires qui sont sur place ?
Kodji Agency est pour nous un moyen d’une part de faire un lien entre deux territoires qui nous ont vus évoluer et d’autre part de répondre, grâce à notre double culture, notre savoir et nos expériences, plus efficacement à des besoins longtemps sous-estimés. Depuis la France, nous avons surtout un rôle de coordinateur et assurons principalement la communication autour de nos services. Nos collaborateurs au sein de l’agence ainsi que les agents de terrain sont les principaux acteurs de la gestion des projets. Je peux citer par exemple Guy-Cédric Konan, Rebecca Bredji ou encore Anselme Anago qui font un excellent travail d’accompagnement. Nous sommes présents avec nos chargés de projets et agents de terrain qui ont maintenant l’expérience nous arrivons à répondre a nos porteurs de projet en Franc. Pour nos collaborateurs et intermédiaires, nous considérons que l’innovation est un accélérateur de notre développement. Nous la promouvons au travers des projets, que nos accompagnons. Nos intermédiaires ou sous-traitants ont donc l’obligation de respect de notre cahier des charges.
Quelle est la motivation principale qui t’a poussé à te lancer dans ce projet ?
En effet, appartenant mon associé et moi à une diaspora ayant évolué en France, les besoins révélés lors des enquêtes ont d’abord été des besoins pour lesquels nous-mêmes on avait recherché des solutions sans pouvoir trouver de réponse satisfaisante parmi l’offre proposée sur le marché. C’est de ce constat qu’une opportunité de marché a été soupçonnée. Nous étions en 2011 et ce fut les bases de ce qui deviendra plus tard Kodji Agency. Nous étions aussi très présents et bénévoles sur les projets associatifs en France en direction de l’Afrique : nos missions nous conduisaient tantôt à assister le maître d’ouvrage, tantôt à être maître d’œuvre aussi bien sur la partie proposition programme que sur le suivi du projet. C’est d’ailleurs dans le milieu associatif que Brice et moi nous sommes connus. Nos services offrent ainsi l’opportunité aux personnes de la diaspora d’aider plus efficacement leur famille, de mieux organiser et suivre leurs projets et ainsi mieux gérer leur budget ou épargne personnelle destinée à leurs interactions avec le Continent.
Peux-tu nous résumer ton parcours professionnel en quelques mots ?
Je suis Architecte diplômé d’État actuellement en formation pour avoir mon Habilitation à la maîtrise d’œuvre en mon nom propre en un mot (pour m’inscrire à l’ordre des architectes en France) à l’École Nationale d’Architecture de Grenoble. J’ai aussi un Master 2 en Management de l’innovation à l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) de Grenoble.
Etude de faisabilité pour l’installation d’une laverie automatique au BENIN
Quelle est la plus belle réussite que Kodji Agency ait réalisé jusqu’ici ?
Je trouve formidable, et je constate qu’il y a encore des femmes et des hommes de la diaspora qui en plus de leurs charges professionnelles et leur vie privée trouvent encore du temps à consacrer à la préparation de leur projet personnel pour le continent.
Peux-tu nous donner le détail de ta boîte (taille, compétences en interne, localisation) ?
Nous sommes une petite équipe de 6 personnes permanentes. Les deux cofondateurs : Bredji Brice Chef de projet Entrepreneuriat/Association moi-même Chargé de clientèle — Europe Chef de projets immobiliers. Ensuite quatre chargés de projet aux profils différents qui gèrent les projets sous la supervision des cofondateurs. Et les agents terrain qui sont mobilisés en fonction des projets pour la collecte des projets ou des enquêtes de terrain.
Et sinon, ça marche bien les affaires pour vous ?
Nous avons officiellement démarré en mars 2015. Nous aurons un bilan de notre première année d’activité bientôt. Il nous faut encore du temps pour rassurer nos compatriotes de la diaspora.
D’autres projets de prévus ?
L’ouverture d’agence physique au TOGO, au Cameroun
Que dirais-tu aux membres de notre Kan Family qui seraient intéressés par un projet en Afrique ?
Vous aviez l’excuse que nous n’existions pas. Maintenant, nous sommes là. Maintenant, vous pouvez avoir toutes les informations pour démarrer ou gérer votre projet à distance. Des professionnels à vos côtés pour accompagner vos projets. Des services innovants à des prix accessibles qui répondent enfin à votre besoin de confiance. Testez et vous verrez l’efficacité du réseau Kodji.
A plus !
La gang du Kan Fc se retrouve pour un 200e épisode, hé boy !
Au programme une tonne de remerciements et des débats. Un quizz sur l’Euro 2016 et un topo culture foot, et comme toujours, on vous présente une chronique de paris Mise-o-Jeu.
Si vous êtes des fans de Nina Simone, Amy Winehouse, Billy Holiday, et même Adele, je vous suggérerais de vous brancher à la musique de Andra Day.
C’est vendredi dernier que l’artiste américaine, Andra Day et sa bande, performait dans un théâtre Corona plein à craquer et prêt à revivre les émotions divulguées par le timbre sonore et la versatilité de son dernier opus, Cheers to the Fall, sortie en août 2015. Ce dernier album qui est un gracieux mélange de soul, R & B, jazz, le tout étant revisité avec une signature vocale digne de la chanteuse, lui a valu une nomination au dernier Grammys dans la catégorie des meilleurs albums R & B.
Durant son dernier concert à Montréal, la chanteuse a su tenir en haleine le public, en maintenant une constante conversation avec celui-ci où elle agençait entre anecdotes personnelles, interprétations vocales de ses différentes réalisations, et des reprises de classique comme « Mississippi Goddam » de Nina Simone et un medley de Micheal Jackson pour en citer quelques un.
Revivez quelques moments forts du spectacle et témoignez par vous même de l’effervescence du public grâce à ces images capturées par le photographe Christian Atanga.
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Ce post a été écrit par Christian Atanga du blog mydaytodayinspiration
Pour une 2ème année consécutive, nous sommes fiers de célébrer à nouveau la tenue de l’évènement Haïti Chérie, afin de souligner l’affection et l’attachement exceptionnel de la communauté haïtienne au soccer et à l’Impact de Montréal
Les jeunes sont au rendez-vous en cette 2ème édition; Alexandre Kénol spécialiste principal – Ventes de groupe pour l’ Impact de Montréal et Andy Mailly-Pressoir Porte-Parole de l’évènement, en collaboration avec la Maison Haiti, organisme communautaire et culturel de Montréal, se sont tous impliqués dans l’organisation de l’évènement.
Ce rassemblement se veut une célébration avec la société québécoise; de la fête du drapeau Haïtien (18 Mai), symbole d’unité de la diaspora haïtienne. Au programme : dévoilement du drapeau, défilé Rara et plusieurs autres surprises visant à souligner la diaspora haïtienne et surtout la fierté qu’elle a d’être présente au sein de la société québécoise.
Nous encourageons donc l’ensemble de la population québécoise et la communauté haïtienne à faire un geste de solidarité en participant à l’événement Haïti Chérie. L’appui apporté permettra aussi de soutenir la Maison d’Haïti actuellement en campagne de financement pour la construction d’un nouvel édifice dont l’ouverture est prévue pour octobre 2016.
En effet, pour chaque billet vendu identifié à Haïti Chérie, 5 $ seront versés à la Maison d’Haïti.
C’est avec grand plaisir, a déclaré le journaliste sportif Andy Mailly Pressoir, que j’ai accepté d’être le porte-parole de l’édition 2016 du match Haïti Chérie. Rien de tel qu’un match de soccer pour célébrer et contribuer au succès et au rayonnement de la Maison d’Haïti, une référence pour la communauté haïtienne et une institution au Québec. Le 14 mai, au Stade Saputo, venez chanter et danser un rara avec moi!!».
Date : 14 Mai 2016 – Stade Saputo 17h
Évènement : Match Haïti Chérie
Billet : Réservation à la Maison d’Haïti OU Achat en ligne (Code Promo : haiticherie)
www.impactmontreal.com/fr/tickets/individuels
* Sélectionner la section ‘’Bleu Ciel (à partir de 39$)’’ puis entrer le code promo.
Tourisme Montréal, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et son équipe d’experts en commerce international, le World Trade Centre Montréal, ont conclu avec succès la deuxième édition de la semaine MTL à Paris, présentée par Air Canada. La délégation de la mission commerciale, culturelle et touristique était composée de 40 entreprises et organismes ainsi que de 69 participants issus des secteurs du tourisme, de l’agroalimentaire et des industries créatives. Du 6 au 10 mars, la semaine MTL à Paris a fait rayonner Montréal dans la capitale française en présentant ses meilleurs atouts : ses industries créatives, sa culture riche et diversifiée, son potentiel touristique et ses entreprises qui contribuent à l’économie florissante de la métropole.
Les entreprises participantes ont pu prendre part à plusieurs activités de réseautage, dont des rencontres individuelles et personnalisées avec des clients et des partenaires potentiels. Des occasions uniques figuraient au programme, comme les rendez-vous touristiques, qui ont démontré la richesse touristique de Montréal, le festival Omnivore, réunissant des professionnels de l’industrie de la gastronomie française, la visite du marché de Rungis, le premier marché de produits frais au monde, et l’événement Contact MTL à la résidence de l’ambassadeur du Canada à Paris. La conférence sur l’Accord économique et commercial global, présentée par Me Pierre Marc Johnson, ancien premier ministre du Québec et avocat-conseil chez Lavery Avocats, a réuni près de 200 participants qui ont pu avoir une meilleure compréhension de l’accord et de la façon de l’appliquer à leurs entreprises.
« Encore cette année, le fait de miser sur le maillage entre les milieux de la culture et des affaires a permis d’établir des relations d’affaires durables entre les entreprises des deux métropoles. Paris est la destination par excellence pour ce genre d’approche puisqu’il s’agit d’un des principaux centres d’affaires européens et d’une capitale culturelle. La semaine a d’ailleurs permis de mettre en lumière le fort intérêt des Français pour les produits québécois nichés du secteur agroalimentaire et la curiosité des gastronomes pour les chefs de Montréal », a déclaré Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre.
« MTL à Paris était l’occasion pour Tourisme Montréal d’assumer pleinement son leadership de la promotion de notre métropole culturelle : Montréal a raflé la vedette et nous avons suscité l’enthousiasme des Français. Le succès de cette deuxième édition confirme la pertinence de cette mission multidisciplinaire que nous avons instaurée il y a deux ans. Montréal s’impose comme grande destination urbaine », a ajouté Yves Lalumière, président-directeur général de Tourisme Montréal.
« Des missions comme celle-ci sont autant d’occasions de raffermir nos liens d’amitié et de développer de véritables ententes de collaboration, d’échanges et de partage d’expertise. À l’aube des célébrations du 375e anniversaire, il est primordial de faire rayonner notre métropole à l’international, tant sur les plans économique, culturel et social que touristique », a déclaré Pierre Desrochers, président du comité exécutif de la Ville de Montréal.
« Cette semaine à Paris fut un rendez-vous intéressant qui, nous espérons, va nous apporter des retombées positives. Il y a une curiosité pour les produits québécois et nous pensons qu’il y a une place pour eux sur le marché français. Nous avons choisi la France comme première expérience à l’international pour explorer de nouveaux marchés. Débarquer dans un marché inconnu demande de l’aide et la mission nous a été particulièrement profitable. La visite au marché de Rungis a été pertinente et positive. Nous sommes très impressionnées par la qualité de l’organisation », ont affirmé Natalie Catherine et Stéphanie Provost, des Sœurs en vrac.
« Nous avons bien aimé la diversité des activités, qui nous ont permis de rencontrer les consommateurs, de créer des liens avec nos distributeurs et de motiver nos équipes de ventes en France. La semaine nous a aussi permis de consolider notre partenariat avec notre distributeur Lou Bio et les produits alimentaires bio Finestra sul Cielo France », a affirmé Gwendal Creurer, associé chez Bec Cola, qui participait à la mission pour une première fois.
Les New York Red Bulls ont fait la différence (4-3) face à Houston Dynamo grâce à un doublé de Felipe dans le dernier quart d’heure. C’est le match Major League Soccer de la semaine pour JulSoccer.
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Le cashback
Un peu différent du code promo mais tout aussi avantageux !
En gros vous vous inscrivez sur un site de cashback, vous faites votre shopping sur internet et vous récupérez de l’argent soit en chèque cadeau, soit directement sur votre compte !
Ok nous connaissons tous Vente-privée et Showroom privé, mais il y en a d’autres !
De la beauté aux voyages, tout y est ! En voici quelques-uns :
zalando-prive.fr : Eh oui même Zalando a un site dédié aux ventes privées ! JUSQU’A -75% !
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Les sites de ventes groupées :
On ne présente plus Groupon ! Mais sur la base du partage (on s’aime tous c’est cool), vous pouvez faire de grosses économies.
partagetonfrigo.fr pour récupérer les restes de vos voisins ! Non il ne s’agit pas de l’os de poulet qui reste du repas dominical… Par exemple quelqu’un part en vacances mais ne veut pas jeter les provisions qui sont dans son frigo à Vous pouvez les récupérer !
pretoo.com pour vous faire prêter et prêter vous-même des objets ! Besoin d’une perceuse pour un weekend, regardez sur pretoo si l’un de vos voisins n’en a pas une à vous prêter !
mobypark.com pour trouver des places de parking gratuites ! Exemple, vous partez en soirée, vous tournez pendant une heure, résultat : vous arrivez comme un cheveu sur la soupe, tout le monde est déjà dans l’ambiance et en plus vous vous prenez des réflexions car vous êtes en retard… Merci ! Avec mobypark, vous vous connectez et vous regardez si quelqu’un prête sa place dans le quartier ! ATTENTION : on n’oublie pas la règle de base, celui qui conduit c’est celui qui ne boit pas !
Enfin le petit bonus, pour NE RIEN PAYER, les sites de dons !
Il existe des sites de petites annonces de dons. Vous vous connectez, vous regardez qui donne quoi et vous récupérez l’objet choisit GRATUITEMENT !
Retour sur le troisième match de l’Impact de Montréal contre le Fc Dallas qui s’est terminé par la marque de 2-0 en faveur des texans. De plus, nous discutons de Tim Howard premier DP gardien et bien sur de la sélection italienne.
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L’Impact de Montréal a encaissé deux buts en fin de rencontre, samedi soir, s’inclinant 2-0 contre le FC Dallas (2-1-0, 6 pts) au Toyota Stadium de Frisco, au Texas. Mauro Diaz et Maximiliano Urruti ont marqué pour stopper une série de trois victoires consécutives de l’Impact à l’étranger en saison régulière et infliger aux Montréalais une première défaite cette saison.
L’évaluation des partisans Impact de Montréal
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L’Asie de l’Est est une région du monde qui fait rêver de par sa culture si unique, paisible et sage, contrastant beaucoup avec celle occidentale. Cependant, bien qu’attirante, on se demande parfois ce qui leur passe par la tête. Quand la sérénité devient une incompréhension totale : voici les quelques modes délirantes (et dérangeantes ?) tout droit venu des réseaux sociaux d’Asie de l’Est :
1- Avoir la taille plus fine qu’une feuille de papier, ou le A4 waist (Chine)
Le A4 waist est une nouvelle mode qui nous vient de Chine. Le principe est simple : se prendre en photo avec une feuille vierge de papier A4 à la verticale au niveau du nombril. Pourquoi ? Pour prouver que les internautes sont minces en faisant disparaitre leur taille et leurs hanches derrière les 21 cm de largeur de la feuille. Le hashtag #A4waist connait un véritable succès sur les réseaux sociaux. Cependant, beaucoup de protestations naissent à travers ses mêmes réseaux sociaux : beaucoup jugent cette mode « dangereuse », pour le corps humain comme pour la société : en effet, la promotion d’un idéal féminin peut inciter à des comportements mettant en péril la vie des jeunes chinoises.
2- Faire porter des collants à son animal de compagnie (Chine)
Cette nouvelle mode loufoque viendrait de Chine. Le concept est simple : faire porter des collants à son animal de compagnie, que ce soir un chien, un chat, un lapin, un hamster. Le but ? Nous cherchons encore.
3 – Le bébé à la tête en forme de boulette de riz (Japon)
Les Japonais ont toujours fait forts dans l’absurde. Aujourd’hui, c’est au tour des bébés d’être sur le devant de la scène. Connaissez-vous les Oniginis ? Ces boulettes de riz à la forme généralement triangulaire ? L’acteur japonais Masahira Ehara, venant d’être père, a trouvé une ressemblance entre son bébé et ce met traditionnel. Il a donc formé un triangle avec ses mains autour de la figure de son enfant en ajoutant le hashtag #RiceBallBaby. Il n’a suffi que de son unique poste sur Instagram pour que la pratique devienne virale.
4 -S’habiller avec un sac plastique (Taiwan)
Difficile à croire mais pourtant très tendance, s’habiller avec un sac plastique peut être très à la mode. Quand certains pays pensent à les supprimer, d’autres pensent à les réutiliser d’une manière assez improbable. Si vous voulez vous y mettre, une règle principale : mettre en avant la marque du sac. Cependant, beaucoup de ses photos ont été supprimé d’internet : la raison nous parait évidente.
5 – Le bagel head (Japon)
Quand certains ont le rythme dans la peau, d’autres ont des bagels. Le Japon ne cessera pas d’étonner. Cette mini chirurgie esthétique est très à la mode au pays du soleil levant : il suffit simplement d’injecter un certain liquide (dont on ne veut pas connaitre la composition) dans son front afin de former une bosse. Le but est ensuite d’appuyer au milieu afin qu’il est une forme de bagel. La forme reste environ 24h avant que le produit ne soit absorbé par le corps.
6 – Le facekini (Chine)
Quand on sait que le visage pale est synonyme de beauté en Chine, on aurait pu deviner que cette mode allait arriver. Le facekini consiste à porter un masque, mélange entre le masque de boxeur et mexicain et de cagoule, qui permet aux femmes chinoises de se protéger des piqures de méduses, des coups de soleil et des UV. Bien que le projet soit humble, les images restent surprenantes, voir effrayantes.
7 – Le Pain Pastèque (Taiwan)
Remarquant que les jeunes enfants perdaient l’appétit en été à cause de la chaleur, un pâtissier taiwanais a décidé de révolutionner l’art français qu’est la fabrication du pain. En effet, il a décidé de les saupoudrer de poudre de thé vert et de fraise afin de leur donner un aspect de pastèque. Ces pains sont devenus tellement populaire que cette boulangerie (boulangerie Jimmy) en vendrait plus de 100 par jour. Des centaines de personnes font la queue tous les jours, venant de loin pour gouter à ce pain coutant une petite fortune. Le hashtag #watermelontoast se diffuse de plus en plus sur les réseaux taiwanais.
8 – Maquillage gueule de bois (Corée du Sud)
Pour tous ceux qui peinent à cacher leur lendemain de soirée difficile quand vous partez travailler, arrêtez tout. La nouvelle tendance Sud-Coréenne n’est plus de s’embellir mais d’utiliser le maquillage afin d’avoir de grosses poches sous les yeux. Nous n’arrivons toujours pas à décider si cela est une idée de génie ou un échec total. A vous de voir !
9 – Marcher à quatre pattes (Chine)
Si vous vous rendez dans la ville de Zhengzhou en Chine et que des individus marchent à quatre pattes, ne paniquez pas : ce sont simplement des humains pratiquant un nouveau sport, qui proviendrait de la Chine de Han (206 avant J.-C. à 220 après J.-C). Pour garder la forme, au lieu d’aller faire son jogging matinal, ces habitants préfèrent se balader à quatre pattes sous le regard interrogateur de certains. Cette position serait bénéfique pour la colonne vertébrale et les vertèbres. Cette pratique devient de plus en plus populaire en Chine, que ce soit chez les jeunes comme chez les personnes âgées.
10 – Plonger dans une flaque de boue (Japon)
Bien qu’existant depuis maintenant quelques années, il nous était impossible d’écrire cet article sans parler de ces images qui avaient fait le tour du monde. Il n’y a pas beaucoup de choses à rajouter, les images parlent d’elles-mêmes.
Cet article a été rédigé par Salomé Grouard, étudiante à McGill University, passionnée du monde et de l’humain. Cherche à propager la culture et la bonne humeur par l’écriture et la photo.
Fred Lopo fait le tour des nouvelles un peu plus obscures d’ #MLS, en plus de faire un avant un petit avant match et décortiquer l’adversaire de la semaine de L’Impact de Montréal qui est dans ce cas si le Fc Dallas.
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Ce jeudi, plusieurs nations européennes signées chez Nike, dont la France, ont dévoilé leurs nouveaux maillots. Ronaldo, Pogba, Rooney et toutes les vedettes participant au championnat européen ont joué les mannequins pour l’occasion.
Du côté français, pays hôte de la compétition, on regrette le non-respect tricolore : maillot bleu – short blanc – bas rouge. La marque au swoosh a préféré adopter une combinaison de plongée présage du naufrage de l’équipe de France ? Par contre, la tenue blanche contrebalancée par des manches rouges et bleues, c’est sobre, c’est classe, c’est français !
L’équipementier américain annonce une nouvelle technologie « Aeroswift » 10% plus léger, 50% plus extensible…et 25% plus cher pour le partisan ! Ces nouvelles tuniques seront disponibles à la vente à partir du 24 mars.
La gang du Kan Football Club se retrouve pour un nouvel épisode avec un invité spécial, Masta Kacher du FC Montréal.
Au programme: La victoire de l’Impact contre les Red Bulls, un aperçu de la saison USL 2016 du FC Montréal et beaucoup de débats soccer. L’équipe s’affronte pour un quizz avec un nouveau challenger Bleu-blanc-noir. Et comme toujours, on vous présente une chronique de paris Mise-o-Jeu.
Crédit photo: Les Québécois - sélection nationale de soccer
Le but de Anthony Jackson-Hamel cette fin de semaine m’a donné le goût de monter ce à quoi pourrait ressembler une équipe du Québec au foot, si notre belle province était un pays !
J’ai pris pour l’occasion des joueurs qui jouent professionnels ici et là dans le monde, FC Montréal inclus. J’ai aussi sélectionné Wandrille Lefèvre étant donné qu’il a sa nationalité canadienne et qu’il aurait donc sa nationalité québécoise si nous étions un pays. Voici en gros les 22 joueurs que je sélectionnerais !
Je n’ai pas retenu Alain Rochat même s’il est né à St-Jean sur Richelieu étant donné qu’il n’a pas sa nationalité canadienne et qu’il n’a pas démontré d’intérêt à jouer même pour le Canada !
En bas, je vous ai dressé un petit 11 partant probable ! Enjoy, discutez et n’oubliez pas que c’est pour le plaisir !
Coach : Mauro Biello Assistant coach : Marc Dos Santos
Attaquants :
Olivier Occéan (Odd, Norvège)
Anthony Jackson-Hamel (Impact, MLS)
Charles Joly (FC Montréal, USL)
Frederico Moojen (Montréal-Outremont, PLSQ)
Milieux :
Alessandro Riggi (FC Montréal, USL)
Pierre-Rudolph Mayard (L’assomption-Lanaudière, PLSQ)
Patrice Bernier (Impact, MLS)
Jéremy Gagnon-Laparé (Impact, MLS)
Samuel Piette (Racing de Ferrol, 3e Div. Espagne)
Louis Beland-Goyette (FC Montréal, USL)
Zakaria Messoudi (Sans club)
Philippe Lincourt-Joseph (FC Montréal, USL)
Défenseurs :
André Hainault (Madgeburg, 3e div. Allemagne)
Wandrille Lefèvre (Impact, MLS)
Maxim Tissot (Impact, MLS)
Karl W. Ouimette (Red Bulls, MLS)
Thomas Meilleur-Giguère (FC Montréal, USL)
Zachary Sukunda (FC Montréal, USL)
Chakib Hocine (Montréal-Outremont, PLSQ)
Gardiens :
Maxime Crépeau (Impact, MLS)
Julien Latendresse-Lesvesque (Leipzig, 5e div. Allemagne)
David Paulmin (FC Montréal, USL)
Cet article a été rédigé par Borat Simoneau
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C’est l’après-match de l’avant-dernier match préparatoire de la 2e équipe de l’Impact, le FC Montréal qui affrontait les Rhinos de Rochester cet après-midi au Stade Olympique!
Verdict nul de 0-0 pour la troupe de Phillippe Eullaffroy qui nous livre ses commentaires suivant ce match ainsi que Marco Dominguez millieu défensif du FC Montréal.
Ça devient épuisant d’encaisser les mêmes discours, année après année, provenant des mêmes fanatiques de Canadiens, qui s’érigent comme les défenseurs d’une charte qui voudrait établir sa culture sportive comme sacrée et indélogeable.
La culture sainte d’une flanelle débridée
Il fallait lire la colonne des commentaires d’un site de nouvelles montréalais pour ressentir le ressac d’une culture qui refuse de concéder un pouce à celle qui émerge à ses côtés. C’était en réaction aux propos de Saputo, qui exprimait sa déception du peu d’engouement concernant le match d’ouverture locale. On peut être en droit de questionner un constat si hâtif du Président, mais là n’est pas où le bât blesse. C’est plutôt cette « mononclitude », se débattant sans relâche afin de noyer un sport dont la croissance est désormais irrémédiable, qui vient me plonger dans un certain désarroi.
Comment peut-on encore s’attaquer à la légitimité même du foot, à Montréal, en 2016 ? Parce qu’il y a une mer de différences entre la critique d’une organisation précise et celle d’un sport qui règne en maître partout à l’international. À lire ces « vous devrez me payer pour que je vienne voir du soccer » et ces « parle-moi pas d’un sport de tapettes » ; il y a de quoi se demander à quel point sommes-nous, collectivement, rester reclus assez longtemps sur nous-mêmes et sur notre Canadiens national, pour sombrer dans un tel mépris du ballon rond?
Je décèle aussi dans cette réclusion, une certaine méfiance d’accueillir ce qui vient de « l’ailleurs ». Et je comprends parfaitement le désintérêt de certains amateurs de hockey envers un sport dont ils ignorent les codes et les rudiments. C’est plutôt dans l’écartement volontaire d’un vecteur culturel qui se veut unificateur, à petite et grande échelle, que je trouve qu’il y a de facto : ignorance et mépris. Où sommes-nous quand la planète entière communie autour de la Coupe du monde et pourquoi vouloir consciemment se retirer de la discussion interculturelle que permet le foot ?
Lueur d’espoir pour l’Impact : la jeunesse
Le chemin s’annonce encore long et périlleux pour l’Impact et ses pèlerins. Surtout lorsque l’on constate qu’ils devront forcer la main des grands médias, sans espérer un coup de pouce véritable de leur part. Ils devront ainsi compter sur un facteur bien précis, celui du temps, qui finira par accorder une voix à ces milliers de jeunes joueurs de foot, aujourd’hui supporter, que l’on ignore encore en faveur du public baby-boomer qui monopolise largement nos médias et ses intérêts.
Cet article a été rédigé par Olivier Talbot
Bio: Étudiant en lettres à l’UQÀM, joueur et analyste de foot à temps perdu.
Joey Saputo a exprimé dans les derniers jours et à plusieurs reprises dans les dernières années son mécontentement face aux foules qui se présentent au Stade Saputo ainsi qu’au Big O. On a également souvent entendu de la bouche du président qu’il y avait un manque de buzz autour de l’Impact. Qu’on soit en accord ou non avec un des piliers du foot au Québec sur sa façon de faire pour démontrer son mécontentement, il faut lui concéder qu’à certains moments, il avait raison. A-t-il par contre raison d’être déçu par les foules qui viennent voir le « Bleu Blanc Noir » ? Il faut mettre en lumière que l’assistance au match d’ouverture est passée de 55k en 2012 et 37k en 2013 à 27k en 2016. Voici une analyse chiffrée de la situation d’#IMFC.
Tout d’abord, il est important de connaître le marché dans lequel l’équipe de la métropole évolue, soit celui de la MLS. Il faut savoir que la moyenne de partisans assistant aux rencontres de la Major League Soccer a grandement progressée, depuis 15 ans. Le circuit Garber a vu son assistance moyenne augmenter de 65 %, entre 2000 et 2015, se chiffrant maintenant comme une des ligues les plus populaires du monde. La MLS se hisse désormais tout juste derrière la Serie A (22k) et la Ligue 1 (22k) avec 21 500 spectateurs en moyenne par rencontre, malgré le fait que le niveau du jeu est, sans se mentir, beaucoup plus bas que deux des cinq meilleures ligues du monde. En tête de peloton se retrouve La Liga Mex (25k), la Liga BBVA (27k), la EPL (36k) et la Bundesliga avec 45 000 spectateurs en moyenne, sur l’ensemble de l’année 2015.
Du côté de l’équipe montréalaise, il faut statuer que le Stade Saputo possède une capacité de 20 341 sièges avec la configuration qui est en opération depuis son entrée en MLS. La moyenne de partisans depuis le grand saut dans la première division nord-américaine était de 22 772 (110 %), 20 602 (101 %), 17 421 (86%) et 17 750 (87%) en 2015. Y a-t-il ici un lien avec la performance de l’équipe? Bien sûr que oui. La première année fait évidement fausser les résultats avec des matchs où Beckham était en ville au Stade Olympique. De plus, le fait que se soit la première année en MLS a changé la donne pour la moyenne qui se devait d’être plus élevée, en raison de l’engouement pour un nouveau produit. L’année 2013 fut la meilleure saison de l’Impact, et ce fut aussi une saison où l’équipe de Joey Saputo s’est rendue en série, ce qui a bien évidemment permis d’obtenir de très bons chiffres à la billetterie. Les chiffres d’assistance étaient au rendez-vous, alors que le Stade Saputo était une forteresse et l’Impact n’y perdait plus.
L’épopée de Frank Klopas a grandement nuit à l’affluence de la foule. Avec une saison très difficile avec 6 victoires sur 17 matchs à domicile, cela a fait en sorte que les tourniquets ont été franchis à moins de reprises que la saison précédente où Marco Di Vaio marquait à presque tous les matchs à domicile. Après en 2015, il est normal qu’on ait eu un engouement moindre pour l’Impact, étant donné que le début de saison fut plus que catastrophique sous l’ère Klopas. On a même affiché des foules de 13 000 spectateurs à plusieurs reprises, 12 000 et même 10 000 personnes. Dès que l’équipe a repris le chemin de la victoire suite à l’arrivée de Mauro Biello et de Didier Drogba, le Stade Saputo fut rempli dans son entièreté. Montréal est-elle une ville de sports ou une ville de gagnants ? Poser la question c’est y répondre. Il n’y a que pour les Canadiens que les gens assistent aux rencontres, peu importe les résultats sportifs.
Si on compare les chiffres de l’Impact de Montréal face à la ligue, on se rend compte que la régression au niveau de l’assistance au Stade Saputo n’est pas due à un engouement moindre pour la ligue. Si on regarde la moyenne depuis 2012, on observe une progression marquée. Pour 2012, la moyenne s’affichait à 18 807, puis à 18 608 pour 2013, soit une baisse de 1%. Il est à noter que les chiffres furent faussés par Chivas USA qui faisait baisser la moyenne avec ses 8000 partisans en moyenne. De 2013 à 2014 l’augmentation s’était chiffrée à 3%, alors que la moyenne avait atteint la barre des 19 000 spectateurs par match. Encore une fois, Chivas USA changeait la donne avec une moyenne de 7000 fans. La plus grosse progression est évidemment liée aux nouveaux marchés que sont Orlando et New York qui ont permis une progression de 13 % entre 2014 et 2015, tandis que la billetterie du Stade Saputo subissait elle une baisse.
Bref, Monsieur Saputo, il est clair que vous êtes en droit d’être déçu de la performance au guichet de votre club. Le marché montréalais est avant tout un marché où les gens consomment les autres sports en situation positive et surtout lorsque l’engouement est grand. Un staff 100 % montréalais, des vedettes qui parlent le français ( Piatti, Drogba, Ciman et Bernier) et surtout un peu moins de drame autour du club, souvent provoqué par un manque de transparence, est la solution gagnante pour un succès aux guichets. Ce n’est pas chose facile que de réunir toutes ces conditions, mais avant que les fans de sports soient convertis définitivement à la marque montréalaise, vous vous devez de continuer sur votre lancée. Si après cette saison, l’Impact ne figure pas encore parmi les meilleures équipes de la ligue au niveau des assistances, il sera temps de lancer la serviette, car moi aussi je ne comprendrai pas.
Durant tout le week-end, j’ai fait passer des entretiens à 21 jeunes ivoiriens âgés de 16 à 18 ans dans le cadre des finales pour intégrer l’African Leadership Academy.
Dimanche matin, parmi les candidats, deux élèves du Lycée Moderne des Jeunes filles de Yopougon m’ont parlé d’un projet de recyclage de déchets qu’elles ont mis en place grâce à une formation initiée par l’institut Goethe. Elles gèrent désormais des micro-entreprises de commercialisation d’objets fait à partir de déchets. L’été dernier, elles ont même eu la chance de se rendre en Allemagne pour rencontrer d’autres jeunes qui participent au programme du Goethe. Une expérience inoubliable qui leur donne envie de s’investir pour l’Afrique et de faire évoluer notre continent.
En rentrant à la maison, j’ai découvert avec effroi les photos de l’attentat de Bassam. Le soir même, j’ai appris que Henrike Grohs, la directrice du Goethe faisait partie des victimes. Je ne la connaissais pas personnellement mais j’ai tout de suite fait le lien avec les jeunes filles de Yopougon. Il est vrai qu’en apparence, on peut avoir l’impression que le développement actuel de la Côte d’ivoire ne profite pas assez à la population mais la réalité est telle que beaucoup de personnes comme Henrike mènent des actions pour offrir des chances à tous et tirer notre continent vers le haut.
La menace terroriste planait sur la Côte d’Ivoire depuis plusieurs mois et nous savions que cela arriverait tout en redoutant ce jour. Les mesures de sécurité vont être renforcées mais le mal est fait. En touchant Bassam, les terroristes ont réussi leur coup. La peur est désormais bel et bien présente. Chacun réfléchira désormais à deux fois avant d’aller à la plage, dans les centres commerciaux, dans les hôtels, dans les grands restaurants et au cinéma.
L’essor économique de la Côte d’ivoire est impressionnant mais il faut désormais prendre plus en considération la dimension sociale. Le pays a connu 10 années de crise, les inégalités sont criantes et la jeunesse semble plus que jamais en manque de repère, comme en attestent les “microbes”, des gamins souvent armés de couteaux, qui sèment la terreur à Abobo, Anyama et Yopougon. Malheureusement avec ce dernier épisode, nous ne parlons plus de couteaux mais de kalachnikov et de grenade.
Faisons en sorte que cette tragédie n’engendre pas d’autres problèmes. Prenons les devants et luttons contre les amalgames. Anticipons les clivages ethniques et les actes xénophobes. Chacun peut apporter sa contribution.
Nous échangeons depuis plusieurs mois avec l’Organisation Internationale pour les Migrants (OIM) afin d’utiliser le sport comme outil d’intégration pour les jeunes issus de familles déplacées suite aux différentes crises. Nous avons eu une réunion ce matin avec David, le directeur, afin de démarrer nos activités au plus vite. Nous allons commencer par la commune de Yopougon en espérant pouvoir étendre notre action à d’autres communes et à d’autres villes.
Préservons nos jeunes, offrons des opportunités aux plus défavorisés, luttons contre les inégalités, restons unis, c’est la meilleure arme contre le terrorisme.
“N’attendons plus des discours autorisés, des paroles instituées, des acteurs établis qu’ils préservent nos principes et nos modes de vie. Nous maîtrisons la langue du temps, nous sommes nés avec ce siècle : personne ne mènera la lutte à notre place. L’heure est venue d’agir”. Raphael Glucksmann.
Sincères condoléances aux familles des disparus.
Cet article a été rédigé par Jean-Luc /Co-fondateur de LYSD
À propos de LYSD: Association qui participe au développement de la vie locale des pays émergents via des projets solidaires à travers le sport.
Action M.A.P.L.E est un Organisme sans but lucratif (OSBL) crée il y a 1 an et demi par Christelle, Cindy et Ariane, trois jeunes camerounaises de la diaspora. Elles se sont donné comme mission d’avoir un impact positif et durable sur la vie des populations rurales au Cameroun dans un premier temps et celle des autres pays africains par la suite.
Lors d’une entrevue donnée à Digikan, les fondatrices ont expliqué l’étendue de leur projet pilote « Wanda Four », qui permettra aux mères camerounaises d’avoir une meilleure expérience de cuisine à travers l’utilisation d’un nouveau type de four. Passionnées par ce projet, Christelle et Cindy expliquent tout leur parcours, du choix du nom de l’OSBL jusqu’à la mise en œuvre du premier projet.
Q : Pourquoi avez-vous choisi Action M.A.P.L.E comme nom ?
Christelle : Je voulais faire allusion à la feuille d’érable (Maple LEAF en anglais) du Québec, province où le projet est né et ce côté de femmes dynamiques que nous représentons. Action M.A.P.L.E signifie l’Action pour la Mobilisation et l’Accompagnement des Populations contre la Pauvreté et les Limitations à l’Épanouissement.
Q : En quoi consiste le projet « Wanda Four » ?
Christelle : Quand je suis allée en vacances au Cameroun, il y a quelques années, je ne parvenais pas à assister ma cousine à la cuisine à cause de la fumée intense et toxique, chose que je supportais plus facilement avant de venir au Canada. Au pays, les femmes sont habituées à cuisiner au feu de bois et de supporter cette fumée pendant plusieurs années. Mais ce qu’elles ne savent pas, c’est que cette fumée procure des gaz toxiques et dangereux pour la santé. À mon retour sur Montréal, j’ai fait des recherches sur la façon dont nous pouvons améliorer la santé de ces femmes à long terme et surtout rendre le temps qu’elles passent en cuisine plus agréable. Et c’est à ce moment que j’ai découvert l’existence d’un nouveau type de four.
Q : Quelle est la particularité de ses fours ?
CW : Ils seront non seulement économiques, car nous allons diminuer la quantité de bois qu’utilisent les femmes, et la cuisson sera plus rapide, car avec le nouveau four, la chaleur sera concentrée autour de la marmite.
Q : Comment allez-vous vous les procurer ?
CW : Nous allons travailler avec des soudeurs au Cameroun, qui vont suivre les plans que nous avons déjà élaborés. J’ai effectivement créé un prototype à Montréal en faisant venir le matériel du Cameroun. Après quelques essais, j’ai remarqué que la cuisson était très rapide et que le four chauffait rapidement. Nous avons encore quelques ajustements à faire au niveau de la disposition des matériaux, mais nous pouvons dire que les plans peuvent déjà être mis à exécution.
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Q : Avez-vous déjà reçu des subventions pour financer ce projet ?
R : Nous avons obtenu une bourse de LOJIQ (les offices jeunesse internationaux du Québec) pour financer le voyage, et nous avons organisé une collecte de fonds qui nous a rapporté 5240 $. Cet argent servira à créer les 50 premiers prototypes qui seront distribués à plusieurs ONG
Q : Comment se passera la distribution au Cameroun ?
Christelle et Cindy : Nous ferons la distribution des fours en plusieurs étapes. Tout d’abord, Cindy ira au pays s’occuper de tout ce qui concerne le côté administratif. Donc, l’enregistrement de l’entreprise et l’analyse de terrain. Ensuite, Christelle ira à son tour, contacter les soudeurs, faire le montage et distribuer le four au sein de plusieurs familles à Yaoundé, Douala et à l’ouest du Cameroun. Notre partenaire qui se trouve déjà au Cameroun et qui est déjà un spécialiste dans le domaine s’occupera par la suite de faire un suivi auprès de toutes les familles qui auront reçu les premiers fours afin d’évaluer leurs efficacités et de l’améliorer si nécessaire. Nous allons par la suite contacter des écoles de commerces pour continuer la distribution. Nous comptons réaliser et distribuer 1000 fours.
Q : Avez-vous déjà atteint les objectifs souhaités à Montréal ?
Cindy : Pour l’instant nous faisons connaître ce magnifique projet à la diaspora camerounaise de Montréal, à travers les soirées de réseautage, les réseaux sociaux, des cours de danse, etc. Nous souhaitons atteindre le plus de personnes possible, mais ce n’est pas du tout évident, car les Camerounais de la diaspora n’embarquent pas rapidement. Nous avons besoin d’agrandir l’équipe et surtout de faire connaître notre cause et les bienfaits que cela pourrait apporter aux populations.
Q : Quel sera le prochain pays visé après le Cameroun ?
Cindy : Je pense qu’après le Cameroun, le Togo sera le prochain notre prochaine destination. Nous visons plusieurs pays africains, le choix du Cameroun était le plus facile pour nous puisque nous y avons grandi. Mais une fois que nous aurons atteint nos premiers objectifs, nous pourrons parler d’expansion.
Pour aller plus loin :
Site web:
Facebook: https://www.facebook.com/ActionMAPLE/
Cet article a été rédigé par Éva Medi
Bio de Eva: Journaliste, amoureuse de l’actualité politique et économique, touche à tout etc…
Se distinguer dans la société occidentale en tant que Femme Noire est un défi parsemé d’embuches. Nous faisons face à deux réalités ; tout d’abord être femme et ensuite être noire. Malgré tous les défis, comment tirer avantage de ces facteurs dans un milieu dominé par les hommes caucasiens ?
J’ai assisté récemment à un évènement qui répondait à plusieurs de mes questions. La table Ronde sur l’apport et la place de la femme noire dans la société québécoise, organisée par Fondu au Noir, réunissant sur un même podium 4 femmes d’exception, qui ont su tisser leur place au Québec, et par leur parcours, sont considérées comme des modèles de réussite de femmes immigrantes.
Malgré le temps déprimant et morose du mois de février, toutes les participantes sont sorties de cet évènement rempli de motivation, de joie et d’énergie. Et surtout avec un même objectif en tête : « réaliser à tout prix ses rêves ».
Ma première décision après l’évènement était de rédiger un petit texte résumant les grandes lignes du panel. Mon but est de partager avec d’autres femmes, qui comme moi ont pour objectif de se démarquer dans la société québécoise ou qui aimeraient simplement trouver un emploi dans leur domaine. Elles ne devraient pas perdre de vue leurs rêves, mais surtout prendre conscience que tout est possible, car nous sommes les seules responsables de nos choix.
Pour devenir une personne de référence dans son domaine, il y a plusieurs étapes à franchir, j’en ai recensé 4 pour vous.
1. L’importance du bénévolat :
On ne le dira jamais assez, il est primordial de faire du bénévolat pour être embauché au sein d’une entreprise que nous souhaitons intégrer. Amina Gerba, l’une des panélistes de la table ronde, a d’ailleurs, mentionné que la plupart de ses collaborateurs ont d’abord été bénévoles avant d’intégrer ses entreprises. Alors, mesdames (mais aussi messieurs), n’hésitez pas à aller vers des entreprises qui vous intéressent et proposez-leur de faire du bénévolat, ne sait-on jamais.
2. Sortir de sa zone de confort :
À mon avis, c’est l’étape la plus difficile et la plus importante, car nous avons toujours une petite voix qui nous neutralise quand nous voulons entamer un nouveau projet. N’ayons pas peur de relever de nouveaux défis et de sauter sur de nouvelles opportunités. Yolande James, l’une des panélistes, suggérait de « sortir de notre Ghetto ». Ce qui est vrai, nous avons tendance à rester dans le même réseau, le même environnement. Essayons de découvrir ce qui se passe ailleurs, au sein d’autres communautés.
3. Investir en soi-même
Il y a plusieurs façons d’investir en soi-même. Le réseautage est le modèle le plus couramment utilisé ou suggéré. Il est bien vrai que, pour être membre d’une chambre de commerce ou d’un réseau, il faut prévoir un gros budget. Par exemple, l’abonnement au sein de la Jeune Chambre de Commerce de Montréal est de 150 $. Cette somme peut paraitre énorme pour certaines personnes, mais le plus important est le résultat attendu d’un tel investissement et le réseau de contacts qu’on pourrait développer dans ce milieu.
4. Ne pas tenir compte du regard des autres
Nous avons tendance à justifier nos malaises et notre paresse par le regard que les autres portent sur nous. J’entends souvent dire « il n’y avait que des blancs autour de moi… Je n’étais pas à l’aise… ils n’aiment pas les noirs, etc. ». D’après Madeleine Fequière, nous devons justement prendre cette couleur de peau comme un avantage. « Puisque je suis noire, je me ferais remarquer plus facilement », ajoute-t-elle.
On dit souvent que « la vie n’est pas facile », mais croire en ses rêves et faire tout pour les réaliser peut simplifier cette vie et la rendre plus agréable à vivre. Alors mesdames, battons-nous pour notre réussite.
Cet article a été rédigé par Éva Medi
Bio de Eva: Journaliste, amoureuse de l’actualité politique et économique, touche à tout etc…
C’est dans un théâtre Corrona plein à craquer que samedi dernier, le rappeur canadien Classified performait, pour la 9e fois de sa longue carrière, en face de son public montréalais.
En effet, le rappeur néo-écossais n’en est pas à ses débuts, et cela s’en est bien fait sentir. C’est dans le cadre de la sortie de son 16e opus « Greatful » que le rappeur s’est arrêté à Montréal. Jonglant entre les performances de ces anciens opus et de son plus récent, le rappeur et sa bande ont su rendre hystériques les nombreux admirateurs venus leur rendre hommage.
Revivez quelques moments forts du spectacle et témoignez par vous même de l’effervescence du public grâce à ces images capturées par le photographe Christian Atanga.
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Ce post a été écrit par Christian Atanga du blog mydaytodayinspiration
Syd Et Regge en Mode #TropDePoutine. Petit package de 20 minutes après le match Impact de Montréal – New York Red Bulls. Au programme:
– Commentaires de vos #TropDePoutine #SaputoDor envoyés sur Twitter (@kanfootclub)
– Fallait-il garder Karl Ouimette ? Débat local.
– Mallace le mal-aimé : les chiffres.
– Les notes de Regge (droit de réponse!)
– Segments vidéo exclusifs de Laurent Ciman
– Le IQ de Harry Shipp
– Visite vidéo de la cloche 1642 MTL sonnée par Josée Bélanger
Kan Football Club, le magazine sportif québécois qui diffuse des nouvelles du monde du soccer MLS de l’Impact de Montreal et de la planète foot. Envie de participer à la belle aventure du Kan FC ? Envoyez vos contributions sur l’actualité sportive, sous forme d’articles, d’audios ou de vidéos à kanfc@afrokanlife.com Les meilleures d’entre elles seront relayées sur nos plateformes. Kan FC c’est une alternative à la couverture traditionnelle, c’est votre alternative foot !
À propos de DIGIKAN:
Média web collaboratif dont la mission est d’inspirer et de divertir. Entre Montréal et Paris, une vision: Digital, Lifestyle, Inspiration. Grâce à son agenda, son annuaire et sa web-tv, Afrokanlife.com est LE magazine Lifestyle des jeunes actifs.
Dominic Oduro et Ignacio Piatti ont encore uni leurs efforts, ce samedi au Stade olympique, pour offrir à l’Impact de Montréal une deuxième victoire en autant de matchs en MLS cette saison. L’attaquant formé au club Anthony Jackson-Hamel a marqué en toute fin de match pour concrétiser la réussite de 3-0 des Montréalais, qui les propulse au premier rang de l’Association Est.