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Higuain vole la vedette à Piatti d’un magnifique retourné acrobatique !

Higuain_2016_goal

L’argentin Federico Higuain s’est illustré dimanche lors du match du Crew de Columbus contre les Timbers de Portland, en marquant sur un sublime retourné. Ce match constituait une revanche de la finale de la MLS Cup 2015 et les champions en titre l’ont emporté 2 buts à 1.

Nacho Piatti croyait bien avoir réussi le plus beau but de la journée lorsqu’il a donné les devants à l’Impact de Montréal contre les Whitecaps de Vancouver. Son magnifique rush solo à la 19e minute est le premier de la saison des Montréalais. Le compatriote d’Higuain complète sa soirée par un second but à 88e pour mener l’Impact de Montréal vers une première victoire (3-2) en quatre tentatives sur le terrain synthétique de Vancouver.

VIDÉO | Le golazo de Nacho Piatti dans la caméra d'Impact Média. #IMFC #VANvMTL

Posted by Impact de Montréal on Sunday, March 6, 2016

Rendez-vous sur les réseaux sociaux du Kan Football Club pour faire l’évaluation du match.

Giovinco chaud pour 2016 : 1 but, 1 passe et une curieuse célébration

Giovinco_2016_Celebration

Avec son titre de MVP et ses 22 buts lors de la saison passée Seba Giovinco est attendu au tournant.

L’attaquant répond de façon convaincante – d’un point de vue statistique – face aux rivaux des New York Red Bulls. En trompant Luis Robles sur pénalty et d’une passe décisive vers Delgado, Giovinco permet à Toronto de jouer un mauvais tour aux champions de la saison régulière 2015.

Seba just doing Seba things!

Posted by Toronto FC on Sunday, March 6, 2016

Un match poussif pour la reprise de la saison MLS dans lequel les hommes de Jesse Marsch n’ont pas su concrétiser leur domination du ballon (62% de possession). Au final, c’est un petite mais dangereuse équipe de Toronto (5 tirs cadrés à 1) qui a su capitaliser ses efforts dans les dernières minutes de jeu.

Les Reds n’avaient pris que 15 petits points sur la route alors que les Reds Bulls n’avait connu la défaite qu’à 3 reprises l’an passé sur leur pelouse. Surtout, la pire défense de l’an passé (58 buts) n’encaisse pas de buts face à la meilleure attaque 2015.

Quand on vous dit que c’est une nouvelle saison.

Se sentir en juin au mois de mars

printemps_soccer
Credit Impact de Montreal

Cinquième printemps dans le circuit Garber et celui-ci possède déjà sa saveur bien distincte. Avant même que les premiers « Et le but! » de Douville retentissent de nos téléviseurs, j’ai déjà l’impression d’être plongé au cœur même de la saison; chaude soirée de juin, bière à neuf dollars à la main, Drogba étendu au sol (que ce soit pour célébrer ou pour cause de bobo momentané).

Impression en partie fondée sur le fait que pour la première fois depuis le périple MLS, la couverture médiatique de l’Impact de Montréal, sous le couvert de la saga Drogba, a débuté en plein hiver et s’est étirée sans se reposer jusqu’à présent.
Force est d’admettre que la saga en question aura étrangement apporté bien plus de visibilité à  l’Impact que sa participation à la CONCACAF 2015. Pour la première fois peut-être, nos médias ont parlé de foot en s’imaginant dans son écosystème, en s’intéressant à son marché, à ses failles bien sûr, mais aussi avec une pointe de fierté à être acteur entier dans la même pièce de théâtre que le Chelsea FC.

Parce qu’affronter Club América en finale relève du fantasme pour le fanatique pur et dur;  l’événement n’a toutefois pas engendré la même résonnance médiatique que le scandale Montréal-Londres, au Québec. Si certains journalistes s’acharnent à parler de « distraction » et à vouloir retirer le pôle accordé à Didier, à mon avis, l’on devrait plutôt fermer le chapitre de cet entre-saison rocambolesque en y apposant le titre : « attraction ».


Cet article a été rédigé par Olivier Talbot

Bio: Étudiant en lettres à l’UQÀM, joueur et analyste de foot à temps perdu.

Son site web: balleauclavier.wordpress.com

L’album surprise de Kendrick Lamar : Nouveau candidat aux primaires 2016 ?

Vendredi 4 mars, Kendrick Lamar a largué un nouvel album surprise. Retour sur un phénomène musical et politique.

Kendrick est un des seuls (avec Queen B) qui peut se permettre ce genre de surprise. En effet, il n’a pas annoncé son album, n’a pas utilisé de publicités et lui a à peine donné un nom : Untitled Unmastered, qui entre nous, n’en n’est pas vraiment un. C’est ainsi grâce à un simple tweet que la toile a pu se déchainer sur son nouvel album, aussi bon qu’engagé. Le rappeur préféré d’Obama a construit son album sur des sons minimalistes et jazzés, appuyés par de nombreuses harmonies vocales féminines. Il dure 32 minutes et est composé de 8 morceaux enregistrés entre 2013 et 2015. Chacun de leur titre correspond à leur date de passage en studio.

Nous tenons à préciser que cet article ne se concentre pas sur la critique musicale de son album. Kendrick Lamar est aujourd’hui un artiste reconnu pour la qualité auditive qu’il produit et à cette heure-ci, cet élément ne peut être contesté. De même, analyser des morceaux produits avec 2 ans d’écart (dont certains sont des simples freestyles ou des enregistrements d’émissions) mettrait uniquement en valeur l’évolution du style de Kendrick Lamar, ce qui n’est pas forcément une réflexion très constructive. Enfin, les gouts et les couleurs de se discutent pas. Ainsi, il sera question de se concentrer non pas sur l’album en lui-même mais plutôt sur sa portée politique.

En pleine période de primaires américaines, Kendrick Lamar partage avec son public des messages et idéaux forts en s’incrustant lui-même dans la vie politique de son pays. Premier sujet important abordé : la religion. Il invite son public à se méfier de l’hypocrisie des croyances et des athées. Il revendique la culture de la rue, authentique qui correspond aux débuts difficiles qu’il a passé à Compton, une ville près de Los Angeles. Il parle aussi publiquement de sa foi chrétienne, qu’il a peur de perdre à cause de conflits créés au sein des États-Unis.

untitled 03 | 05.28.2013.

Une vidéo publiée par Kendrick Lamar (@kendricklamar) le

A l’instar de Beyonce avec son titre Formation, Kendrick s’engage dans la lutte pour les droits des afro-américains qui sont des victimes privilégiées de la société américaine. Il tente ainsi dans un de ses morceaux de rentrer dans la tête d’un meurtrier, expliquant que cette violence non-justifiée pourrait lui faire perdre sa fidélité et sa conviction en la religion chrétienne. Il a déjà abordé ce sujet dans une performance plus que remarquée aux Grammys en mi-février, qui a fait réagir les réseaux sociaux tant par son message que sa réalisation. Ainsi, encore fois avec ce nouvel album, il dénonce un racisme ambiant aux États-Unis.

Le message principal qui ressort de cet album se trouve être le mal-être de Kendrick Lamar face à la célébrité et à sa place dans une société vivant une crise spirituelle majeure. L’engagement politique de ce dernier ne peut plus être douté. Ainsi, cet album peut être compris comme une échappatoire pour ses craintes et ses questions sur le présent et le futur de la société. Untitled Unmastered est disponible sur Itunes et Spotify et fera peut-être autant de bruit que l’excellent Pimp my Butterfly, son quatrième album qui a été récompensé il y a trois semaines aux Grammys.

Et pour couronner le tout, c’est Egypt, le fils d’Alicia Keys et de Swizz Beat, qui aurait produit le track n 7 de l’album. 


Cet article a été rédigé par Salomé Grouard, étudiante à McGill University, passionnée du monde et de l’humain. Cherche à propager la culture et la bonne humeur par l’écriture et la photo.

 

 

 

Garage Foot Radio #1 : Adidas et sa relation avec les clubs

garage foot

Cette chronique est un retour sur la question d’Adidas et sa relation avec ses clients ! La pierre angulaire est l’argent et la visibilité. La différence entre Europe et Amérique, soit que Adidas négocie avec les clubs en Europe et la ligue en Amérique du Nord.

Il y a la question de la visibilité en Champions League et les mauvaises performances de Manchester United. Adidas a-t-il le droit de critiquer le club, même avec un contrat de 1 milliard sur 10 ans ? Jusqu’où l’argent peut-il donner des droits à Adidas ?

On regarde aussi la question de l’image, exemple, Messi qui joue pour le FC Barcelone. Le maillot du Barça est Nike. Nike a préféré Neymar qui joue exclusivement Nike.

Et à la fin, je me demande si cette politique de changement de maillot ne va pas nuire à l’Impact. De plus, je mentionne que cette question d’image s’est invitée dans les jeux vidéos. Un débat qui soulève beaucoup de questions.


Cet article a été rédigé par Ludovick-Rémi Deroy

À propos de Garage Foot : Blogue d’un fan de culture foot et d’histoire qui ne sait pas vraiment jouer. Nasl, Mls, George Best, Gordon Hill, Guinness… you’ll never drink alone!

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Visitez le blogue http://garagefoot.blogspot.ca/

MLS Chrono: L’avant-match de la semaine 1

mlschrono

Fred Lopo fait le tour des nouvelles un peu plus obscures d’ #MLS.

En primeur l’avant-match de l’Impact de Montréal et le portrait des Withecaps de Vancouver.

À écouter ci-dessous.

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Impact de Montreal perd son match d’ouverture face aux Whitecaps de Vancouver : Simulation

Crédit: Impact de Montréal

Voici une chronique qui sera hebdomadaire, son but est simple : Simuler les matchs de l’Impact de Montréal. Cette simulation sera faite sur le jeu d’EA Sports, FIFA 16 sur la console PlayStation 4.

Le fonctionnement est simple. Je sélectionne le 11 partant ainsi que les remplaçants en basant mes choix sur les différentes nouvelles, blessures et autres. Ensuite, je mets le niveau de jeu au plus haut pour ensuite lancer le match. Les 2 équipes sont contrôlées par le jeu et non par des joueurs, d’où le jeu de simulation.

Les mi-temps sont d’une durée de 5 minutes (en temps réel), c’est la durée qui permet de garder le score le plus proche de la réalité.

J’analyse toute la rencontre et voici d’ailleurs l’analyse et les détails du match de dimanche pour le lancement de la saison 2016 de l’Impact contre Vancouver!

N. B : La simulation n’a pas pris en compte la blessure de Patrice Bernier, dont le constat officiel est venu seulement après la simulation.

Voici donc votre 11 de départ de l’Impact :

Les remplaçants :

Anthony Jackson-Hamel, Michael Salazar, Lucas Ontivero, Calum Mallace, Patrice Bernier, Wandrille Lefèvre, Kronberg.

Voici le 11 de départ des Whitecaps de Vancouver :

Et les remplaçants :

Darren Mattocks, Blas Pérez, Christian Techera, Nicolas Mezquida, Deybi Flores, Tim Parker, Marco Carducci.

Que l’action commence au BC Place!

Et c’est l’Impact qui lance la partie!!

9′ CHANCE VANCOUVER

Octavio Rivero bat Ciman en 1 contre 1 et remet le ballon à Manneh. Son tir est bloqué par Toia, le ballon monte dans les airs et est facilement capté par Bush malgré le trafic.

24′ CHANCE VANCOUVER

Pedro Morales vole le ballon à Oyongo, belle passe vers Rivero qui n’hésite pas à tirer.

Arrêt spectaculaire de Bush! Toujours 0-0

36′ CHANCE VANCOUVER

Encore une belle remise de Morales pour Rivero. Son tir cette fois est bloqué par Ciman.

43′ CHANCE VANCOUVER

Remise en touche de Harvey, suivi d’un beau jeu de passe entre Manneh, Teibert et Morales. Ce dernier, du haut de la surface, prend un bon tir qui rate le cadre.

MI-TEMPS

Analyse à chaud : Malgré une plus grande possession de balle, l’Impact n’a pas réussi à trouver l’espace nécessaire pour diriger un tir vers la cage d’Ousted. Bref, on contrôle le ballon, mais les Whitecaps défendent bien avec un bloc très compact.

De l’autre côté, les Caps trouvent des espaces entre les lignes du Bleu-Blanc-Noir. Pour le moment, peu d’occasions pour le moment.

Toujours 0-0.

Statistique à la mi-temps

Possession : 61 % Montréal — 39%Vancouver

Tirs au but : 3 Vancouver — 0 Montréal

Tirs cadrés : 2 Vancouver — 0 Montréal

Tacles réussis : 7 Vancouver — 5 Montréal

Pourcentage de Passes réussies : 91 % Montréal — 82 % Vancouver

DÉBUT DE LA 2E MI-TEMPS

52′ FAUTE MONTRÉAL

Ambroise Oyongo accroche Bolaños. Coup franc Vancouver.

53′ PÉNALTY pour VANCOUVER

Victor Cabrera touche le ballon de la main : Penalty!!

54′ CHANGEMENT MONTRÉAL

Éric Alexander sort pour Patrice Bernier

54′ CHANGEMENT VANCOUVER

Octavio Rivero sort pour Blas Pérez

55′ PÉNALTY ARRÊTÉ!

Pedro Morales tire vers la gauche de la cage d’Evan Bush. Le portier américain ne panique pas et fait un bel arrêt.

Toujours 0-0!

63′ BUT VANCOUVER

Interception au milieu de terrain de Pedro Morales qui se lance vers l’avant. Il est appuyé par Blas Pérez et Kekuta Manneh.

Il remet à Blas Pérez qui tire.

Evan Bush n’y peut rien,  c’est 1-0 Vancouver.

78′ CHANGEMENT VANCOUVER

Deybi Flores entre pour Laba.

Christian Techera entre pour Bolaños

78′ CHANGEMENT MONTRÉAL

Marco Donadel sort pour Calum Mallace.

Dominic Oduro sort pour Anthony Jackson-Hamel

78′ CHANCE MONTRÉAL

Une première attaque dangereuse en territoire adverse. Johan Venegas trouve Dominic Oduro sur un centre, mais dévie le ballon directement sur le gardien Ousted.

87′ CHANCE MONTRÉAL

Une longue balle pour Venegas, qui réussit à bien protéger avant de remettre le ballon vers Patrice Bernier, qui lobe le ballon dans la surface. Jackson-Hamel redirige le ballon vers le but adverse

Ousted fait un bel arrêt. Toujours 1-0 Vancouver.

FIN DU MATCH

Marque finale,  1-0 Vancouver qui ouvre sa saison avec une victoire.

Analyse :

L’histoire se poursuit en deuxième demie pour les Montréalais qui n’ont pas pu se procurer des chances de marquer. Ils ont fait face à une équipe de Vancouver solide et compact.

L’équipe hôte a été très opportuniste et plus créative en deuxième mi-temps,  une mi-temps plus équilibrée en général. Malgré tout,  il y a du bon pour l’Impact et on a réussi à limiter les dégâts et dicter le ton.

Il faudrait cependant s’ajuster sur la finition et la créativité.

Statistiques

Possession : 53 % Montréal — 47%Vancouver

Tirs au but : 6 Vancouver — 1 Montréal

Tirs cadrés : 4 Vancouver — 1 Montréal

Tacles réussis : 14 Vancouver — 9 Montréal

Pourcentage de Passes réussies : 89 % Montréal — 87 % Vancouver


Cet article a été rédigé par Nicolas Coallier-Fournier.

Bio de Nicolas: Technicien pigiste, l’éclairage me passionne. Fan et abonné de saison de l’Impact de Montreal ! Fan des #Habs ! Fan des#Patriots !.

Suivez-le sur twitter: @NCoallier

Schémas tactiques pour Impact Montreal vs Vancouver Whitecaps FC

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LE MATCH D’OUVERTURE


Après deux mois de drama autour de Didier Drogba, il est plus que temps de parler de terrain, de jeux et de tactiques. Un des objectifs présentés par l’entraîneur Mauro Biello lors de l’assemblé des membres fut l’amélioration de la fiche de l’équipe sur les terrains adverses. Avec raison, Mauro a soulevé cette difficulté du club présente depuis la toute première saison en MLS. Chaque petit point récolté hors de Montréal sera décisif au classement général en fin de saison. Alors, comment la bande de Biello s’y prendra lors de ce premier match en déplacement à Vancouver?

SCHÉMA TACTIQUE EN PHASE DÉFENSIVE

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À chaque occasion, Mauro Biello parle de l’importance d’avoir un bloc compact dans son territoire lorsque l’équipe adverse est en possession du ballon. Les 5 joueurs les plus avancés auront vraisemblablement le rôle de presser le plus possible l’adversaire dans leur geste afin de nuire à une construction de jeu efficace. En même temps, une perte de balle pour les Whitecaps pourrait vouloir dire une contre-attaque parfaite pour exploiter la vitesse d’Oduro, le flair de Piatti et la créativité des Shipp et Ontivero. Le rôle du deuxième rideau défensif sera d’étouffer le jeu de Vancouver. Donadel aura un double rôle, soit comme première sentinelle devant le quatuor défensif et relanceur de contre-attaque. Le duo Ciman-Cabrera aura possiblement à couvrir une doublure composée d’Octavio Rivero et Blas Pérez, soit une belle combinaison de vitesse et de physique. Oyongo devra s’occuper du nouveau venu Christian Bolanos tandis que Toia sera fort occupé avec le jeune ailier de l’Uruguay, Cristian Techera, auteur de 7 buts et 4 passes décisives lors de sa première saison MLS.

SCHÉMAS TACTIQUES EN PHASE OFFENSIVE

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Première petite surprise lors de cette première semaine d’entraînement en vue du match de Vancouver, Piatti quitterait son couloir gauche de la présaison dans le but de retourner somme toute à un rôle plus axial. Manifestement, Mauro croit que Nacho bénéficiera beaucoup plus de liberté et d’espace au milieu du terrain. À première vue, VWFC pourrait aligner seulement 2 milieux centraux et IMFC pourrait profiter du surnombre afin d’exploiter les espaces vacants. La propension de Piatti pour le côté gauche pourra aussi profiter à Alexander. Libéré d’un marquage, notre hispter aura l’ocassion de se proposer comme option de passe en arrivant tard dans la surface. Du côté de Lucas Ontivero, on sait qu’il aime bien piquer vers l’intérieur sur son pied gauche…à la Justin Mapp. Et finalement, la présence d’Ambroise Oyongo à gauche confirme que cette saison il aura plus de liberté offensive pendant que Toia sera un peu plus en retrait.

Tactique_Impact_Montreal_2

Tel que soulevé par Harry Shipp après le dernier entraînement à Montréal, l’alignement de départ sur le terrain ne sera pas immuable pendant tout le match. Biello veut bien tirer profit des avantages que lui procure de la flexibilité de ses éléments offensifs. Piatti ira inévitablement faire plusieurs tours dans le couloir gauche. De là, Nacho pourra lui aussi piquer à l’intérieur comme Ontivero le fera de son côté et il viendra également occuper les espaces au centre si jamais il y a un trou à exploiter. Et là encore, le rôle de Shipp ne sera pas seulement de construire le jeu et d’exploiter les appels de balle devant lui, il pourra lui-même se proposer comme option si la défensive des Whitecaps vient à l’oublier.

OPTIONS SUR LE BANC

Avant même le premier match de la saison, la profondeur de l’Impact paraît déjà affectée. Sans Drogba, Bernier et manifestement Venegas, les options sont moins évidentes pour le staff montréalais. Dans un scénario où Montréal cherchera un but en fin de match, les options seront possiblement Camara pour Toia, Bekker au milieu ou Salazar/AJH comme deuxième menace dans la surface ou sur un côté. Défensivement, notre ami Mallace pourrait bien venir donner un coup de main à Donadel et le physique de Camara serait une option pour venir en aide dans la surface de Montréal.

Une chose est certaine : Vivement 90 minutes de MLS. Bonne saison à tous!


Cet article a été rédigé par Nilton Jorge. Ses propos n’engagent que lui.

Bio de Nilton: Amateur de sport, de musique, d’actualité et de techno. Fan de #IMFC, #Habs, #FCPorto et #Portugal. Gestionnaire de communauté, entre autres, chez @Miseojeu.

Suivez-le sur twitter: @NiltonJorge

Kaka, FC Dallas, et les stars du Galaxy = 82$ à gagner

Les Paris de Julien - Logo

La saison 2016 du Championnat nord-américain (MLS) débutera le 6 mars, l’occasion de vous parler de nos trois paris favoris.

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ORLANDO À LA MAISON (1.90)

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Après une première saison d’adaptation où Orlando a raté les play-offs de justesse, je pense que cette année ils vont démarrer fort à l’image du maitre à jouer de cette équipe Ricardo Kaka qui saura parfaitement lancer la saison de son équipe et Orlando va battre le Real Salt Lake ce dimanche.

DALLAS VA L’EMPORTER (1.55)

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Le dernier finaliste de la conférence Ouest ne fera pas de détail contre Philadelphie. Surtout qu’à domicile Dallas est très costaud avec une fiche sur la saison 2015 de 13 victoires, 2 nuls et seulement 2 défaites. L’attaquant vedette Fabian Castillo fera mal à la défense adverse tandis que la recrue expérimentée en défense en la personne du Hondurien Figueroa saura mettre fin à toutes les attaques de l’Union.

LA GALAXY HAUT LA MAIN (1.40)

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Quand une équipe est capable d’aligner autant de « stars » dans son onze de départ (Keane, Gerrard, De Jong, Cole, Dos Santos pour ne citer qu’eux….) on se dit qu’elle n’est pas là pour rigoler. La victime de ce week-end sera DC United pas très à l’aise à l’extérieur et qui ne pourra pas repousser les assauts répétés du LA GALAXY. De plus, la franchise Californienne voudra vraiment terminer aux premières places de la conférence Ouest car elle se rappelle que l’an passé en finissant seulement 5ème de la saison régulière elle était tombée sur Seattle au 1er tour des play-offs et avait été éliminée. Le LA GALAXY ne voudra répéter la même erreur.

Ticket final en Ligne pour 20 dollars :

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Pour la permanence du sentiment ethnique

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La permanence d’une réalité exprime au mieux l’état de vérité atteinte par celle-ci dans les phénomènes caractérisant la nature humaine et ses manifestations dans le temps et l’espace. C’est avec ce chapeau que je souhaite habiller le faîte de mon message à l’adresse de la communauté formée par les migrants économiques inter et intra états.

Il y a quelques années, j’arrivais en France pour y poursuivre mes études supérieures en sciences, et je découvrais, édifié, les possibilités technologiques de l’époque. Parmi elle le Tatoo, le Tam Tam et le Kobby qui permettaient d’envoyer de courts messages sur les afficheurs ou dans les boîtes vocales. Ils furent assez vite remplacés par les SMS avec l’essor de la téléphonie mobile. Bien que généralement considérés par moi, prolétaire dédaigneux de fait, comme des gadgets high-tech, les slogans marketing n’en étaient pas moins évocateurs : « Votre tribu garde le contact avec vous » ; « Mais comment faisait-on sans Tam Tam ? » « Si on te cherche, on te trouve ». Cette notion de connexion et de proximité pour justifier le groupe subsiste encore de nos jours dans les adhésions aux pages et flux des réseaux sociaux et des blogues. On se reconnaît dans les messages, on partage des valeurs ou on agit ensemble dans un but précis. Autrefois, on se définissait déjà par l’usage en commun du dialecte, de la terre, de la foi, et autres attributs socioculturels. Ce positionnement permanent face à soi, à l’autre et à l’environnement ne vise, selon moi, qu’à apaiser le vide existentiel ressenti et qui nécessite la clarification d’un fondement de l’être : l’Identité.

Avec la mondialisation passée et sa petite sœur plus véhémente « L’oppression économique », c’est justement cette Identité qu’on se doit de questionner pour mieux se la réapproprier. En effet, la tentative d’entropie générale associée à l’édulcoration de cette Identité s’est amorcée par la mise en compétition tous azimuts des peuples avec l’intensification des échanges commerciaux, l’essor des technologies de l’information et la perte de la dualité en matière de modèles économiques. Les mains-d’œuvre qualifiées s’extradent alors d’elles-mêmes dans une triangulation « départ pour étude-emploi en exil retour fébrile » entraînant des mini chocs culturels locaux dans les sociétés d’accueil et donc des frictions à l’intégration économique. Aussi, assiste-t-on à l’hégémonie de grands groupes corporatifs qui font cavaliers seuls dans la création et l’exploitation de richesses quand ce n’est pas parfois de la simple spoliation. Face à cela, l’apparition des mouvements de rejet de cette domination rappelle (à juste titre ?) le besoin qu’à l’Homme de se sentir libre dans cette Identité et de pouvoir décider ou s’aligner sur le destin de sa communauté. On observe ainsi, la radicalisation, en apparence, d’une partie du monde arabe, mais aussi les efforts d’éveil pour la renaissance africaine en lieu et place d’un package marketing « d’émergence économique » soufflé sinon dicté par les acteurs et vecteurs de l’aliénation affective de toujours.

C’est dans cet ordre d’idée qu’il m’est apparu nécessaire de continuer à favoriser la création de ponts entre les terres mères et les diasporas sur le plan économique et identitaire et de revendiquer un tant soit peu une meilleure reconnaissance du statut ethnique :

« Une ethnie = une identité commune. Les pays qui ont favorisé l’établissement de peuples forts ont généralement délaissé la notion d’ethnie lors de leur constitution. De fait, l’appellation “entrepreneuriat ethnique” ne doit pas uniquement s’appliquer au phénomène issu de l’immigration dans les pays suscités, mais aussi à l’entrepreneuriat local dans les pays où l’ethnicité est préservée. Les mécanismes sociopolitiques et culturels font souvent intervenir, dans ces derniers, les mêmes enjeux d’intégration économique pour des communautés ethniques composant les classes moyennes et populaires face à des minorités à privilèges. Cela concerne notamment les pays du sud (tiers monde), dont l’Afrique et sa diversité. Dans ce contexte cet entrepreneuriat se doit d’acquérir, à son tour, ses lettres de noblesse par sa compétitivité, la durabilité de sa performance et la qualité de ses extrants. »

Ceci pose donc le cadre d’une économie que j’appelle depuis « l’économie de communauté » qui comporte en son sein l’économie informelle des terres mères et l’économie ethnique des diasporas. Il va sans dire que la prise en compte des mécanismes communs de ces deux économies doit guider la recherche de solutions à l’insuffisance de revenus des populations concernées en marge de la gouvernance étatique justifiée ou non. C’est ce à quoi je m’attelle dans mon travail quotidien.

Je vous invite donc simplement à le suivre et à y contribuer avec les moyens qui sont les vôtres.

« La diversité humaine constitue la richesse du dépôt de la connaissance de Dieu dans les méandres de son vicariat sur Terre ».

Arnaud Segla


Cet article a été rédigé par Arnaud Segla du site Entrepreneurethnik
Bio de Arnaud : Arnaud Segla M. Sc., M. Sc. A., CAPM, consultant en gestion de projets et ingénierie d’affaires spécialisé dans l’entrepreneuriat ethnique partage avec nous ses conseils professionnelles. Il organise et anime des activités professionnelles et accompagne plusieurs entrepreneurs dans l’atteinte des objectifs de leur projet d’affaires.
Follow on Twitter : @ECO_ETHNIK
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Le crossover de Stephen Curry fait danser Kevin Durant

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Alors que Stephen Curry vit une saison exceptionnelle à la ligne de 3 points, il rappelle qu’il peut aussi être un aussi être « un casseur de chevilles ». Et c’est nul autre Kevin Durant qui en fait les frais. Après avoir fait dansé KD, Steph Curry finit avec un joli layup sur Ibaka. Le respect se perd.

Au final, les Warriors l’emportent 121-106 et égalisent la plus longue série de victoires à domicile dans l’histoire de la NBA (44 matchs). Stephen Curry finit à 33 points. C’est son 5e match de suite avec plus de 30 points. MVP.

Retour sur la 13e Nuit blanche de Montréal

Samedi soir, le soleil tombait sur Montréal afin que d’autres lumières puissent s’embraser. La 13ème Nuit Blanche de Montréal a réuni des milliers de personnes autour de près 200 activités gratuites diverses et variées. Autant dire qu’il a fallu faire des choix. Voici le récit d’une soirée plus colorée que son nom ne veut bien l’indiquer.

Montréal en lumière se concentrait principalement dans le quartier des spectacles et au centre-ville. Il était question de jeux architecturaux et lumineux qui éblouissaient par leur génie. La Mosaïque d’écran à la Place des arts faisait voyager son public grâce à des rythmes africains, les hypnotisant dans une danse visuelle improbable. En effet, les 35 écrans du couloir de l’Espace culturel Georges-Émile-Lapalme ont montré un spectacle aussi captivant que fascinant, prenant au piège les visiteurs qui passait par là pour aller vers une autre pièce. Les mosaïques projetées sur ces écrans étaient de véritables d’œuvre d’art, créées spécialement pour cette nuit blanche montréalaise. De même, la Place des Festivals offrait un parcours parsemé d’activités. Des installations afin de se restaurer étaient en place, permettant par exemple de se désaltérer dans un igloo géant aux allures design. Une fois à son sommet, la Grande Roue de Chine offrait une vue imprenable sur le festival de lumière qui se déroulait à ses pieds. La Tyrolienne proposait le même spectacle, si ce n’est les frissons, l’adrénaline et la vitesse en plus. Enfin, pour se remettre de ses émotions, il était possible de se réchauffer autour d’un feu de bois afin de reprendre des forces pour repartir. Beaucoup de bars et de café sont restés ouvert jusqu’à 6h du matin, afin de permettre à leur clientèle de profiter d’un lever de soleil sur Montréal un café ou une bière à la main selon le public.

DJnuitblanche

Bien que beaucoup d’activités musicales telles que l’Elvis Gratton Picture Show restaient dans le même quartier, il a fallu se déplacer dans le but de voyager non plus visuellement parlant mais aussi musicalement. Deux concerts se sont démarqués des autres. Le premier : la Virée Rouge à la Société des Arts et des technologies (SAT). La SAT est connue pour ces spectacles harmonisant danses psychédéliques, musiques transcendantes et voyages visuels. Cette nuit blanche n’a pas fait exception à la règle. Sous une ambiance rouge, près de 20 DJs se sont succédés de 20h à 3h du matin. Bien que le 3ème étage sous le dôme était payant et s’est rempli très vite dans la semaine, le rez-de-chaussée était gratuit en libre entrée.

Le deuxième spectacle qui a marqué les esprits se trouve être celui du groupe montréalais Clay and Friends qui a offert une performance groovante au possible au Cabaret Lion d’Or. Le public a alterné entre danse au son d’un amalgame de soul, jazz, hip hop et reggae, et rires grâce à la complicité du collectif sur scène. Ce fut un spectacle riche et de qualité, qui se qualifierait par une interaction constante entre le groupe et le public, que ce soit par la parole ou par les énergies. Le chanteur, Mike, avait prévu qu’une cinquantaine de personne viendrait, alors que plus de 200 se sont présentés au rendez-vous. Cela est sans doute ce qui rend le spectacle aussi étonnant qu’authentique. Comme a confié le chanteur, la Nuit Blanche, c’est un retour aux bases et un moyen de se retrouver avec son public.

La Nuit Blanche Montréalaise nous en a ainsi fait voir de toutes les couleurs.


Cet article a été rédigé par Salomé Grouard, étudiante à McGill University, passionnée du monde et de l’humain. Cherche à propager la culture et la bonne humeur par l’écriture et la photo.

La MLS pour les nuls : 7 choses à savoir en 2016

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Vous l’avez sûrement remarqué, j’adore vulgariser et éclaircir certaines choses par rapport au foot et à la MLS en général. Aujourd’hui, je vous dresse une petite liste d’informations que vous ne savez peut-être pas sur la Major League Soccer, ligue bien complexe s’il en est une.

1 : La ligue existe sous le nom de MLS depuis 1995, mais le premier match a été joué le 6 avril 1996. Avant cela, la première ligue des États-Unis était la NASL de 1968 à 1984. Il y a eu une sorte de hiatus par la suite, mais en échange d’attribuer la coupe du monde de 1994 aux É.-U., la FIFA a demandé à la fédération américaine de reformer une ligue sérieuse l’année d’après, de là la naissance de la MLS.

2 : Il y a actuellement 20 clubs dans la MLS et déjà 3 franchises d’expansions ont été attribuées pour les prochaines saisons. Le Atlanta United FC (2017), le Minnesota United FC (2017) et le Los Angeles FC (2018) joindront donc la ligue sous peu. Une quatrième expansion demeure à être attribuée. On jase très fort de Miami, St-Louis et San Antonio dans les coulisses.

3 : Dans les grandes ligues européennes, il y a en général 20 clubs dans une ligue et chacune des équipes s’affronte 2 fois (une fois à domicile et une fois à l’étranger). Cela donne un calendrier équilibré et équitable pour tous. Par contre, outre la Russie, aucune ligue d’Europe n’a à faire affaire avec des voyages aussi longs que Montréal vers Los Angeles. C’est pourquoi la ligue est divisée en 2 conférences et que tout le monde ne joue pas 2 fois contre tout le monde. Il y a 34 matchs, tout le monde s’affronte au moins une fois et on tente de faire jouer les équipes proches géographiquement plus souvent entre elles.

4 : Ce ne sont pas toutes les équipes qui ont leur stade à eux pour du soccer exclusivement. L’Impact, le Columbus Crew, le Philadelphia Union, les New York Red Bulls, Le Chicago Fire et le Toronto FC (qui partagera son terrain avec les Argonauts cette saison par contre) sont les seules équipes de l’est à avoir un terrain à eux. Dans l’ouest, il y en a plus. Houston, Portland, Los Angeles, Dallas, Kansas City, Salt Lake City, Colorado et San José ont leurs stades bien à eux. Portland joue par contre sur une surface synthétique à cause du climat supposément rugueux. C’est donc dire que seuls Vancouver et Seattle dans la conférence Ouest jouent sur un terrain synthétique prévu pour du Football américain. Dans l’est, il y a le Revolution qui joue dans le stade des Patriotes mais qui est en négociations pour la construction d’un stade de soccer dans le sud de Boston. Le DC United a des plans pour un stade de 25 000 personnes et jouent quand même sur du Gazon au RFK stadium. Orlando City a un stade en construction pour 2017 alors que New York City joue pour le moment au Yankee’s stadium sur du gazon, mais ouf… ce n’est vraiment pas un endroit pour du soccer. Leur plan de stade a été refusé par les instances gouvernementales, ils cherchent donc actuellement des alternatives. Ce serait une très bonne chose que d’ici 2020, toutes les équipes aient leur stade à eux pour le sérieux de la ligue.

5— L’équipe la plus titrée est le L.A. Galaxy avec 5 titres. Le DC United en a 4 dont 3 dans les années 90. 3 équipes en ont 2 (San José, Kansas City et Houston) alors que 5 équipes en ont 1 seul (Portland, Columbus, Chicago, Colorado et Salt Lake). Parmi les équipes qui existent depuis le début, seuls Dallas, New England et New York n’ont pas de titres. Au chapitre des joueurs, parmi les joueurs actifs, les meneurs pour les buts sont Chris Wondolowski (109 buts) et Kei Kamara (74 buts) alors que le meneur de tous les temps est Landon Donovan avec 144 buts.

6— 5 équipes nord-américaines se qualifient chaque saison pour la Concacaf Champions League ; le gagnant de la coupe MLS, le finaliste de la coupe MLS, le gagnant du Supporter Shield (Gagnant de la saison MLS), le gagnant de la coupe des États-Unis Lamar Hunt et le gagnant du championnat canadien. La coupe des É.-U. est une compétition à part de la MLS où plein d’équipes américaines de différentes ligues s’affrontent dans un format d’aller et retour. Le championnat canadien lui est une compétition entre les 5 équipes canadiennes professionnelles. Techniquement donc, la MLS n’a que 3 places assurées en CCL puisque des équipes de la NASL ou USL peuvent techniquement gagner la coupe Lamar Hunt et le championnat Canadien. Si une équipe canadienne gagnait le Supporter Shield ou accédait à la finale de la coupe MLS, elle ne se qualifierait pas pour la CCL, ce serait l’équipe américaine suivante qui y accéderait à sa place. Il faut comprendre que les places sont attribuées par fédération, et le Canada n’en a qu’une seule: celle qu’elle donne au vainqueur du championnat canadien.

7— Pour assurer un nombre minimal de joueurs domestique dans la MLS, la ligue a instauré une sorte de « quotas » obligeant les équipes à avoir un nombre x de joueurs des É.-U. dans leur équipe. La règle est simple, il est possible d’avoir n’importe combien de joueurs domestiques dans l’effectif, mais il y a un maximum de joueurs étrangers permis par ce qu’on appelle les « international spot ». Chaque équipe a 8 de ces « spots » au début de la saison et peut les échanger ou aller en chercher d’autres à leur guise. Un joueur domestique est un joueur qui a sa nationalité américaine ou est un résident permanent qui a sa « green card » de travail. Pour les équipes canadiennes, un joueur domestique peut aussi être un citoyen canadien. Les clubs du Canada doivent aussi avoir minimum 3 joueurs canadiens dans leur effectif.

Voilà pour aujourd’hui, je vous en sortirai d’autres un de ces 4. Si vous avez des suggestions de choses dont vous voudriez que je parle, ça me fera plaisir de prendre les suggestions ! Simplement me contacter via Facebook ou Twitter (@JamesSimoneau).


Cet article a été rédigé par Borat Simoneau

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LopoAvendano 20: Portrait complet de l’effectif d’Impact de Montreal

podcast lopoavendano podcast Ultras de Montréal séries de l'Impact épisode LopoAvendano

 

Retour complet sur la préparation de l’Impact de Montréal ainsi que l’évaluation du Onze type qui pourrait être celui de Mauro Biello. En plus, nous faisons une évaluation précise de la situation des attaquants et nous offrons nos top 3 des déceptions et des surprises du camp. En dessert, joueurs issus du draft vs ceux du Fc Montréal.

 

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Comment insérer votre site web dans des montages photos ?

Il n’est pas toujours aisé de présenter ses produits web en utilisation. Et l’on ne parle pas de vidéos ou des animations qui font la promotion de vos services, mais bien de montrer comment votre site web ou application s’affiche dans un écran. Cet article va vous présenter des alternatives pour réussir vos montages photo. 

Avec de simples connaissances sur Photoshop, vous serez en mesure d’insérer dans une capture d’écran dans votre image de votre choix contenant un téléphone ou un ordinateur. Pour cela vous avez besoin de photo modèle. Par exemple, une personne qui consulte son téléphone, ou bien un ordinateur dans un environnement de travail. L’écran doit être suffisamment visible pour mettre en valeur votre produit. Heureusement il existe des sites web qui recensent ce type d’image.

Généralement vous devrez télécharger des fichiers en format. PSD sur des sites spécialisés. Et vous devez recommencer l’opération pour présenter tous les pages de votre site web ou application et sur des supports différents. Armez-vous de patience.

Graphic offre des gabarits que vous pourrez transformer pour vos design. Les prix varient entre 5 et 12 $. Pour une alternative complètement gratuite vous pouvez aller avec PSDCoversCSS Author ou bien mockdrop. Ces sites offrent une base de données d’images gratuites que vous pouvez utiliser dans vos montages photo

Pour ceux qui ne sont pas du tout à l’aise avec Photoshop, il existe des alternatives. Par exemple magicmockups pour placer votre capture d’écran dans un environnement réaliste. De son côté picapp se spécialise dans les produits sous fond blanc. Vous avez aussi dunnnk qui fait un peu des deux (à noter que certains designs sont payants).

Une plateforme très connue est Place It qui malgré sa tarification (8 $ pour des téléchargements en basse résolution) vaut le détour. La galerie d’image est fournie et c’est très simple d’effectuer des recherches. 

Enfin vous pouvez externaliser la tâche à peu de frais chez Fiverr de nombreux graphistes indépendants proposent d’effectuer le montage de votre site web ou application avec des images à leur disposition.

En conclusion, pour choisir la bonne plateforme de montage photo, veuillez considérer :

  • la méthode du montage
  • la tarification
  • la diversité des images

Voici notre page Facebook Digikan dans un montage réalisé en 5 minutes. On vous laisse le soin de deviner le site web utilisé.

Facebook_Digikan

 

Ce n’est plus discutable : Stephen Curry est le meilleur shooteur de l’histoire de la NBA

Stephen_Curry_meilleur

Stephen Curry vient de battre son propre record du nombre de 3 points en une saison (288) dans un match face aux rivaux de Oklahoma City. Il lui reste 24 matchs.

Le meneur des Golden States Warriors est sur une autre planète. Il détient les 3 premières positions au classement. Et avec 5,14 tirs réussis par match sa saison 2015-16 s’envole des sommets inimaginables.

Stephen_Curry_Messi

Ce qui rend Stephen Curry extraordinaire et virtuellement injouable pour ses adversaires sont la diversité de ses tirs. Il est à l’aise partout. Et à des distances improbables comme son tir face à Indiana.

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Stephen Curry n’a besoin de personne avec 170 de ses tirs sans passes reçues au préalable. Il peut dribbler avant (46% de ses tirs), décocher à la vitesse de l’éclair (52% en moins de 2sec), ou bien vous faire mal devant votre public (64% de tirs réussis à l’extérieur).

De meilleur shooteur à meilleur joueur il y’a un écart que Stephen Curry enjambe à grands pas. Il mène les Warriors vers une saison historique chassant le record de 72 victoires des 1995-96.

Vous regardez un joueur dont le principal adversaire est lui-même. Faites comme Lebron James, profitez du moment.

Madrid, Milan AC et Morata = 334$ à gagner

Les Paris de Julien - Logo

Un week-end riche en « CHOCS »

Le Réal Madrid d’une courte tête :
Voici le second match de haut niveau que devra disputer Zinedine Zidane sur le banc du Réal Madrid. Après avoir très bien négocié son 1er match de sa carrière en ligue des Champions contre l’AS Rome, le Real de la BBC s’attaque au derby de Madrid face à l’Atlético et sa rigueur défensive très reconnue. Comme tout derby ce match sera électrique et peut-être un peu fermé. De ce fait, je vois un match nul à la mi-temps et la victoire du Réal Madrid fin de match. Les occasions vont se faire rares, mais je pense que le potentiel offensif du Réal Madrid est supérieur à celui de L’Atlético surtout qu’Antoine Griezman est moins prolifique ces derniers temps.

Real Madrid, Meneur mi-temps/Gagnant du match (3,75)

Morata buteur pour la Juventus :
Dans ce choc de la 27 journée de Série A opposant la Juventus de Turin à l’Inter Milan je vois Alvaro Morata se mettre en évidence avec la Juventus. En effet, après un bon début de saison notamment en ligue des champions le jeune attaquant espagnol baisse un peu de rythme alors que son compère d’attaque Dybala ne cesse d’enchaîner les buts. C’est pourquoi, ce week-end, Alvaro Morata va faire chavirer le Juventus Stadium en marquant durant la rencontre permettant par la même occasion à la Juventus de l’emporter et de garder la tête de la Série. En effet, le moindre faux pas pourrait profiter au Napoli de Gonzalo Higuian à 1 point derrière. Accrochée par Bologne la semaine passée, la Juventus voudra se racheter devant son public où elle n’a plus perdu depuis près de 15 matchs toutes compétitions confondues.

OUI, Morata marquera au moins un but (2,70)

Le Milan pour ne pas dire adieu à l’Europe
Le Milan qui reçoit le Torino pour le compte de la 27ème journée de Série sait qu’il n’a plus le droit de perdre des points en route s’il désire encore accrocher une place européenne. « Les Rossoneri » ne sont qu’à 4 points de L’inter Milan 5ème et à 6 points de l’As Roma 4ème. De plus, ce week-end, L’inter se déplace à la Juventus et la Roma se déplace à Empoli qui est une équipe difficile à manœuvrer à domicile. Pour finir, le buteur maison Carlos Bacca est en grande forme et il devrait encore une fois « scorer » ce week-end et mettre son club sur la voie du succès.

AC Milan, Gagnant (1,25)

Ticket final en Ligne pour 20 dollars :

MiseOJeu_Paris_Soccer

Episode 196 : Montreal vs Toronto et les 1/8 de Ligue des Champions

podcast-impact-montreal défaite de l'Impact de Montréal

La gang du Kan Football Club se retrouve pour un nouvel épisode.

Évaluation #TropDePoutine #SaputoDor #JaiLairDunFoin

Match NYCFC vs MTL

Match DC United vs MTL

Fact/Fiction :

Faire payer les matchs de la USL (aux non-membres) va conduire à des estrades vides
Salazar aura une meilleure saison que Porter
Didier Drogba n’a pas jouer de minutes en match pré-saison, nous devons s’inquiéter de sa condition physique
L’Impact a le plus beau maillot MLS (regardez les autres….)

Topo Ligue des Champions :

Arsenal vs FC Barcelone: Un doublé de Messi suffit pour le Barca contre Arsenal

Juventus vs Bayern Munich : La Juventus s’accroche

Au programme: Les matchs de présaison de l’Impact de Montréal, les déabts chauds, la Ligue des Champions et l’équipe canadienne de soccer à Rio 2016.

– Joignez la conversation sur:

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Comment utiliser la fonctionnalité Réactions sur Facebook ?

Facebook-nouveau-reactions

Facebook lance aujourd’hui sa nouvelle fonctionnalité de « Réactions » pour réagir aux publications jusqu’à présent au fameux bouton “J’aime”.

Alors que le célèbre bouton «J’aime» faisait l’unanimité depuis des années , plusieurs internautes réclamaient également un bouton «Je n’aime pas», afin de s’exprimer plus clairement dans le cas de publications faisant état de situations tristes, dérangeantes ou tout simplement déplaisantes. Six “réactions” sont ainsi désormais permises : le classique “j’aime”, la joie, l’amusement, la surprise, la tristesse et la colère.

► Comment ça marche ?
Pour ajouter une Réaction, il suffit d’appuyer une seconde avec votre doigt sur le bouton “J’aime” depuis l’application Facebook. Sur votre ordinateur, survolez le bouton “J’aime” pour faire apparaître ces nouvelles réactions.

Facebook_reactions_bouton

À LIRE AUSSI: Des émoticônes comme alternative au bouton «j’aime»

► Comment on l’installer ?
Le déploiement de la fonctionnalité à l’ensemble des utilisateurs est progressif. Pour en profiter, vous devez mettre à jour votre application Facebook en vous rendant sur l’App Store d’Apple ou le Play Store de Google.

C'est vrai qu'il manque le bouton Confused :)!Via Boucle Magazine

Posted by Digikan Lifestyle on Wednesday, February 24, 2016

La MLS pour les nuls : Le Superdraft et les académies

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Dans le monde du foot international, le concept de repêchage amateur est quelque chose de très méconnu et peu utilisé. C’est en fait un concept nord-américain surtout vu dans le Football américain, le Baseball, le hockey et le Basketball. En gros, il s’agit d’un système qui permet à des équipes (selon un rang de sélection) d’avoir les droits sur les jeunes joueurs amateurs qui sortent des collèges, universités ou programmes juniors. Dans tous ces sports, il y a un ordre de sélection pour les équipes qui constitue en gros à donner les meilleurs choix aux équipes qui ont fini en bas de classement, ce qui permet une parité à long terme, toujours selon le concept.

Au foot d’habitude, on a plus droit à un système d’académie de développement et de libre choix. Un jeune joueur peut donc décider de signer avec une équipe de son choix et de se joindre à leur académie pour se développer tranquillement et espérer un jour jouer dans le club pro. Il y a tellement de joueurs, d’équipes et de ligues à travers le monde que d’implanter des repêchages serait non seulement compliqué, mais à l’envers un peu de la philosophie de ce sport.

En MLS, c’est différent (bien entendu). Les équipes ont leurs académies comme ailleurs, comme on peut le constater avec notre équipe montréalaise. Des jeunes (surtout des québécois) se joignent à l’académie de l’Impact et peuvent franchir les différents paliers comme les U16, U18 et FC Montréal par exemple et finalement signer un contrat avec le grand club. Ce fut le cas par exemple de Maxime Tissot, Jéremy Gagnon-Laparé ou Wandrille Lefèvre. Mais en plus de tout ça, il y a aussi le Superdraft qui ressemble beaucoup au repêchage de la NFL

Le Superdraft donc, permet aux équipes de la MLS de repêcher des joueurs qui évoluent dans les universités américaines dans les programmes de soccer et qui n’ont pas joint une académie de la MLS et qui veulent passer pro. En gros, ce sont ceux qui ont gradué ou qui ont signé avec la MLS pour participer au draft. Ce qui fait en sorte que les joueurs peuvent aussi bien avoir 18 ans comme 22 ans par exemple. Comme dans les autres sports nord-américains, l’ordre de repêchage est déterminé par le classement inverse de la dernière saison et la performance des clubs dans les séries.

Est-ce bien important comme repêchage ? Bien des équipes préfèrent grandement développer leurs joueurs via leur académie, ce qui permet de les éduquer dans le système du club et d’avoir du talent local. Par contre, le Superdraft permet d’ajouter de la profondeur et de parfois découvrir de véritables bijoux ! Il faut dire aussi que certains de ces joueurs sont payés par la MLS (les joueurs générations Adidas) et ne comptent pas sur la masse salariale de l’équipe. Je vous fais une petite analyse plus bas des vedettes qui ont été repêchées par ce « draft » et la performance de IMFC dans ce domaine.

Depuis 2000, voici les joueurs d’« impact » encore actifs qui ont été repêchés :

2000 : Carlos Bocanegra (5e)

2001 : Nick Rimando (35e)

2002 : Justin Mapp (4e), Davy Arnaud (50e)

2003 : Mike Magee (4e) Todd Dunivant (6e)

2004 : Clint Dempsey (8e), Olivier Occéan (26e), Michael Bradley (36e)

2005 : Chad Barrett (3e), Michael Parkust (5e) Chris Wondolowski (41e)

2006 : Sacha Kljestan (5e), Jozy Altidore (17e)

2007 : Maurice Edu (1er)

2008 : Brek Shea (2e), Geoff Cameron (42e)

2009 : Omar Gonzalez (3e), Matt Besler (8e), Graham Zusi (23e)

2010 : Tony Tchani (4e), Jack McInerney (7e)

2011 : Perry Kitchen (3e), Will Bruin (11e)

2012 : Ethan Finley (10e), Dom Dwyer (16e)

2013 : Dillon Powers (11e)

2014 : Tesho Akindele (6e)

2015 : Cyle Larin (1er), Cameron Porter (45e)

Remarquez une chose dans cette liste, peu de joueurs choisis au 1er rang au total ont eu de brillantes carrières, c’est plus souvent des joueurs choisis plus tard qui sont de belles surprises. La plupart des joueurs choisis dans ce repêchage sont des joueurs de profondeur qui auront des carrières honnêtes, mais sans plus. Des 15 derniers premiers choix au total, seul Maurice Edu a une carrière importante, lui qui est actuellement joueur désigné avec l’Union de Philadelphie. Certains autres comme Chance Meyers ou Marvell Wynne ont des carrières honnêtes ou sont prometteurs encore comme Andrew Farrell ou Cyle Larin, mais sinon, c’est plutôt mince.

Pour ce qui est de l’Impact… disons que ce n’est pas très reluisant pour le moment. Les 3 premiers choix de première ronde du club ne sont plus avec l’équipe (Andrew Wenger, Blake Smith et Eric Miller) alors que Romario Williams a un avenir incertain pour l’instant. Callum Mallace a été un choix lointain du bleu blanc noir et est encore avec le club, tout comme Cameron Porter. Le premier choix de cette année (Kyle Fisher) est encore ici et Éric Verso ainsi que Michael Salazar sont encore avec l’équipe, mais tentent de se dénicher un contrat.

En bref, c’est un système quelque peu étrange que ce Superdraft qui est sans doute porté à disparaître. Les jeunes qui sont éligibles pourraient très bien choisir de signer avec qui ils veulent que ça ne choquerait pas grand monde. Mais pour le moment, le tout est encore en place et les équipes comptent là-dessus pour compléter leurs effectifs et espérer découvrir une pierre précieuse !


Cet article a été rédigé par Borat Simoneau

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Regardez la pub inspirante de Lionel Messi pour Gatorade !

Gatorade a présenté une nouvelle publicité avec Lionel Messi la star du FC Barcelona. Le spot vidéo qui sera bientôt sur les écrans aux États-Unis, en Europe et en Amérique Latine a été dévoilé ce lundi en marge de la Copa America Centenario.

La marque de boissons pour le sport du groupe Pepsico qui avait beaucoup misé sur l’humour dans le football américain durant la campagne « Sweat It. Get It » change son approche de communication.

Avec la campagne « Do not go down » Gatorade nous livre une publicité motivationnelle de 80 secondes. Le spot fait le portrait d’un Lionel Messi qui ne tombe jamais face à des adversaires qui tentent tout pour l’arrêter. L’argentin aux 5 Ballons d’Or s’exprime par le jeu où ses habilités techniques font de lui une inspiration pour toute une génération de footballeurs.

Joli coup marketing de Gatorade qui a compris qu’avec un ambassadeur qui ne parle pas beaucoup, on peut bien lui faire dire ce qu’il veut.

Réflexions sur le classement des buteurs

Photos Digikan PSG-Lyon au Trophée des Champions 2015 -61
PSG-Lyon au Trophée des Champions 2015

Vive Les Buteurs ! Julien pose le débat sur l’importance des buteurs pour le rayonnement d’un championnat. On vous rappelle notamment le classement des buteurs pour les ligues suivantes.

Ligue 1

1) IBRAHIMOVIC – PSG 23 buts
2) BATSHUAYI – OM 13 buts
3) MOUKANDJO – Lorient 12 buts
4) CAVANI – PSG 12 buts
5) BEN ARFA – Nice 11 buts

EPL

1) VARDY – Leicester City 19 buts
2) KANE – Tottenham 16 buts // LUKAKU – Everton 16 buts
3) IGHALO – Watford 14 buts // AGUERO- Manchester City 14 buts // MAHREZ – Leicester City 14 buts

La Liga

1) SUÁREZ – FC Barcelone 25 buts
2) C.RONALDO – Real Madrid 22 buts
3) BENZEMA – Real Madrid 19 buts
4) NEYMAR – FC Barcelone 18 buts
5) B. GONZALES THOMAS  – Eibar – 16 buts

Comment le foot a supplanté le hockey dans ma vie ?

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Je me présente, James Simoneau alias Borat. Je suis un nouveau collaborateur du Kan FC, j’ai d’ailleurs écrit un texte la semaine passée sur l’argent d’allocation dans la MLS. Laissez-moi maintenant me présenter et vous dévoiler comment un gars né dans le hockey est maintenant un des plus fervents partisans de l’Impact !

D’abord, je ne suis pas de Montréal, mais alors là, pas du tout. Je suis originaire de Victoriaville, dans le Centre-du-Québec, et je suis résident de Warwick, une petite ville en « banlieue » de Victo. Si je vais à Montréal, assez souvent, c’est pour aller au Stade Saputo ou au Stade Olympique, car sinon, je ne suis vraiment pas un citadin. Dès mon enfance, j’ai été baigné dans le hockey et le Canadien. Je suis encore un fan du bleu blanc rouge d’ailleurs, même si ma ferveur est moins grande aujourd’hui que celle pour le bleu blanc et noir. Comment donc cela a pu arriver ?

Je dirais que le tout a débuté avec la coupe du monde 98 en France. Étant alors amateur de sports en général et un adolescent remplit d’émotion, je suis tout de suite tombé en amour avec le ballon rond. De voir des footballeurs de toutes les origines se défoncer avec autant de passion m’a fait embarquer dans le monde palpitant du foot ! Par la suite, je me suis un petit peu intéressé à l’Impact, mais la NASL ou la USL ou peu importe le nom ne m’enchantait guère, car moi ce que j’aimais du Foot, c’était le côté international. J’ai donc commencé à m’intéresser au foot européen et je suis tombé en amour avec Liverpool. La finale de la Ligue des Champions à Istanbul contre le AC Milan en 2005 a été la confirmation pour moi que le Foot, c’était tellement plus gros que le hockey.

Puis, est venue en 2008-2009 la Ligue des Champions de la CONCACAF. Bien que IMFC était encore dans une ligue inférieure, le fait d’avoir maintenant accès via le championnat canadien à cette compétition m’enchantait au plus haut point. Techniquement, le club de Joey Saputo pouvait aller à la Coupe du monde des clubs et donc, participer comme un vrai club professionnel à des compétitions internationales ! C’était une question de théorie, car c’était un peu cinglé de croire que le club pouvait se rendre aussi loin en 2008, mais c’était possible. Pour moi, ça faisait toute la différence. J’ai donc commencé à suivre intensément l’Impact et je n’ai raté aucun match du championnat canadien, de la phase de groupe de la CCL, et du quart de final contre Santos Laguna. Mon cœur était conquis, une bonne fois pour toutes.

Quelle ne fut pas ma joie quand l’équipe a annoncé en 2012 qu’elle entrerait dans la grande ligue ! Enfin, on aurait de la vraie couverture et des matchs significatifs chaque semaine de l’été. J’étais bien sûr là pour chaque match important depuis et ma passion ne fait que grandir. J’ai découvert les excellents podcasts sur le foot montréalais que j’écoute religieusement (surtout celui de KAN FC) telle une éponge, j’assimile toutes les infos que je peux sur le foot et sur l’Impact. Je suis encore un petit gars de campagne qui a grandi avec le tricolore, mais je suis maintenant avant tout un fan du onze montréalais.

De temps à autre, je ferai des textes que vous pourrez lire. J’aime surtout vulgariser et tenter d’informer les néophytes qui veulent s’intéresser à la MLS et au soccer en général, sûrement parce que je ne suis vraiment pas entouré de fans de Foot en tant que tel. Au plaisir, tous vos commentaires sont toujours les bienvenues. On se voit au stade ou dans un visionnement près de chez vous (mais loin de chez moi) !


Cet article a été rédigé par Borat Simoneau

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La grille horaire télévision des matchs Impact de Montreal 2016

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L’Impact de Montréal a dévoilé vendredi son calendrier de télédiffusion de la saison 2016 en MLS. Encore cette année, tous les 34 matchs de saison régulière seront diffusés en direct à la télévision.

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Un total de 21 matchs sera présenté sur les ondes de TVA Sports, le diffuseur officiel du club, tandis que 13 matchs seront diffusés sur les ondes de RDS, et 10 sur TSN, les diffuseurs officiels de la ligue.

RDS et TSN diffuseront le tout premier match de la saison à Vancouver, le dimanche 6 mars à 17h30 (HE) au BC Place.
TVA Sports diffusera les deux matchs au Stade olympique, dont le match d’ouverture locale, le samedi 12 mars à 16h (HE), face aux champions en titre de la dernière saison régulière, les New York Red Bulls.

RDS et TSN diffuseront de nouveau les séries éliminatoires et le Match des étoiles contre Arsenal, qui sera disputé le 28 juillet, à San Jose.

Sur les ondes de TVA Sports, la description sera à nouveau assurée par Frédéric Lord et Vincent Destouches. À RDS, on retrouvera Claudine Douville et Jean Gounelle à la description des matchs, tandis qu’Olivier Brett et Patrick Leduc accompagneront les amateurs avant la rencontre et à la mi-temps. À TSN, on retrouvera de nouveau les duos composés de Luke Wileman et Jason deVos ou Vic Rauter et Greg Sutton.

Episode 195 du Kan Football Club : Drogba à l’entraînement avec l’Impact.. et alors? #IMFC

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La gang du Kan Football Club se retrouve pour un nouvel épisode.

Au programme: L’arrivée de Harry Shipp, l’avenir de Maxim Crépeau, les matchs préparatoires Impact de Montréal, et un tour du côté de l’Europe.

Site web: www.kanfootballclub.com
Itunes: itunes.apple.com/us/podcast/kan-football-club/id934388938?l=fr
Soundcloud: soundcloud.com/kanfootballclub

Drogba et le Québec : Un problème de Culture Foot

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Si je peux me permettre une critique ouverte suite aux derniers jours sur  l’arrivée de Didier Drogba. Les journalistes essaient de faire leur travail et on les critique parce qu’ils n’ont pas tous la Culture Foot que nous voudrions qu’ils aient tous.

Drogba-Montreal-Soccer

C’est un peu comme si ceux qui ont cette Culture Foot crachaient sur ceux qui ne l’ont pas encore alors qu’ils ne viennent que de commencer à s’intéresser à l’équipe.

Il y a 10 ans, on aurait payé pour que les journalistes généralistes sportifs parlent de foot.

À force d’utiliser Culture Foot à gauche et à droite, c’est comme si on traitait les autres d’incultes. Ça en est presque du mépris pour reprendre ce que quelqu’un m’a dit hier sur Twitter parce que je suis de ceux qui voudraient que Drogba s’explique.

Il y a actuellement un gros culte de l’idole car les fans de Drogba sont comme les Beliebers de Justin Bieber car si tu ne penses pas comme eux ils sont prêts à t’arracher la tête si tu dis un mot contre Dieu.

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Ça ferait un bon débat SSF mais trop risqué pour certains avec la soi-disante Culture Foot


 

Cet article a été rédigé par Pierre Mailhot.

Bio de Pierre: Montreal Sports Fan (#IMFC, #Alouettes,#Habs, #F1) and more (#comics, #scifi,#infosec)

Suivez-le sur Twitter: @sambapete

Crédit photo: MLS, Balle Courbe.