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Projecteur sur le Festival Black Movies Summer 2012

Black Movies Summer

Le festival “Black Movies Summer” s’emploie à interroger la société contemporaine en explorant des territoires singuliers, des regards à la marge, combats alternatifs et désirs d’émancipation.

Black Movies Summer

Pour sa 3e édition et dans une volonté de toucher de nouveaux territoires et de nouveaux publics, l’association BME souhaite pour juillet 2012 développer et organiser des séances dans plusieurs lieux différents de la capitale (bar, parc, cinéma,…) en proposant une sélection de 8 films cultes. Une édition spéciale consacrée à l’histoire du cinéma afro américain sous forme chronologique sera à l’honneur cette année.

Cela sera l’occasion pour l’association BME de dresser le bilan de ces quelques années électrisantes et accueillir les bras grands ouverts tous ceux qui veulent participer ou collaborer à cette belle initiative.

L’association BME était présente à l’avant première à Paris du film Viva Riva de Djo Tunda Wa Munga avec Patsha Bay et Manie Malone.

Pour soutenir le projet du Black Movies Summer visitez le site Kiss Kiss Bank Bank http://www.kisskissbankbank.com/projects/festival-black-movies-summer

Pour plus d’informations sur le BME visitez la page officielle http://www.blackmoviesentertainment.com/Festival-Black-Movies-Summer-2012_a392.html

Fili par Felicite, la mode des imprimés africains pour enfant !

Nos enfants ont droit à ce qui se fait de mieux ! Alors découvrons Fili par Felicite une marque de mode wax pour les chérubins.

Que se cache derrière Fili?  C’est Félicité Donyo, une femme talentueuse native du Togo qui a décidé de mettre son talent à l’oeuvre pour les tout petits.  Forte de sa formation acquise à Montréal et Paris et de ces nombreux voyages qui l’ont mené un peu partout sur la planète.  C’est au cours de ses voyages que Mme Donyo dit avoir “éguisé son regard à l’affût des représentations culturelles, des formes, des couleurs, des fibres, matériaux et textures”.  Et on la croit quand on voit ses collections pour Fili!

Elle a de plus, acquis une expérience dans l’industrie de la mode ce qui lui a permis en 2006 de mettre sa créativité au services des enfants.  Elle crée des vêtements haut de gamme pour garçons et filles de 0 à 6 ans.  Ces pièces sont toutes uniques et fait main par Félicité Donyo elle-même!  Fait assez rare de nos jours.  On y retrouve de jolies robes, pyjamas, shorts, chemises, salopettes…etc tous plus amusants et craquant les uns que les autres.

Par ce que chaque enfant est unique alors j’ai voulu créer des vêtements pour chacun d’eux. Une ligne avec des pièces exclusives où chaque item a sa propre personnalité. Vous ne trouverez pas deux pyjamas semblables, il y a toujours un petit quelque chose qui le différentie du suivant.

Elle offre également un service de confection sur mesure au goût du client.  Je le répète tout est fait main pas de chaine de production juste ses doigts de fée! Alors si vous désirez habiller vos bout de choux de façon originale, Fili est la réponse pour vous.

Fili par Felicite
Fili par Felicite
Fili par Felicite 2
Fili par Felicite 2
Fili par Felicite 3
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Fili par Felicite 4
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Fili par Felicite 5
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Vous pouvez trouver les collections sur son site : filivetementsenfants.ca, à son atelier ou encore dans les boutiques Rujifer et Elizabeth et Capucine à Montréal.  Ou vous pouvez tout simplement contacter Mme Donyo sur son site si désirez choisir l’option sur mesure.  Dans tous les cas vous ne serez pas déçu.

Boutique Rujifer :

Elisabeth et Capucine : 1344 Van HorneMontrealQC.1 514.272.2343

Afro Inspiration : Christophe Bocquin président et co-fondateur de Wasquehal-lien

DiasPortrait : Christophe Bocquin président et co-fondateur de Wasquehal-lien

Un système d’échange local (ou SEL) est un système d’échange de produits ou de services construit à côté du système monétaire classique. Classé généralement dans l’économie sociale et solidaire, il s’appuie dans une large mesure sur les mêmes bases que l’économie de marché.

Le but est d’utiliser le temps comme monnaie d’échange. Né dans les années 80 les banques de temps se distinguent du troc, car elles permettent l’échange triangulaire. On retrouve des banques de temps dans plusieurs pays maintenant. Au Québec plusieurs systèmes d’échanges existent. Par exemple l’Accorderie qui compte plus de 600 membres dans différentes villes, dont Montréal.

Comment ça fonctionne ? Chaque membre offre ses services et ses compétences dans un domaine pour aider quelqu’un d’autre. Chaque minute de service coûte un grain de SEL et ce peu importe le service. Par exemple, j’offre mes services de couturière pour réparer des vêtements, en retour de cette heure de service j’obtiens une heure que je pourrai utiliser pour faire enlever les mauvaises herbes de mon jardin, ou faire réparer un tuyau que coule. Tout est au même pied d’égalité. Le principe est qu’une heure de service rendu vaut une heure de service reçu. Le tout est comptabilisé et on utilise au besoin.

Le 24 mars dernier dans la commune de Wasquehal avait lieu le lancement de la toute nouvelle association, Wasquehal-lien. Wasquehal-Lien est un SEL (système d’échanges local) qui fait partie du réseau Sel’idaire. L’association vise à renforcer la cohésion sociale en développant les solidarités entre des personnes d’âge, de classe sociale, de nationalité et de sexe différents. Leur but est d’organiser un réseau d’entraide et de solidarité au niveau local ou tout le monde en sort gagnant.

Nous sommes allés à la rencontre de Christophe Bocquin le président et co-fondateur de l’association Wasquehal-Lien, voici ce qu’il avait à nous dire :

Comment t’est venue l’idée de WL ?
J’ai connu le concept du SEL (service d’échanges local) à Montréal lors de mon travail de terrain pour mon mémoire de maitrise. Je travaillais sur le développement urbain et social des quartiers Saint-Michel et Montréal-Nord, et j’ai donc fait la connaissance de l’Accorderie. J’ai donc découvert ce système d’échange de services et de compétences. Dans ce quartier très modeste et hétéroclite, l’Accorderie est une superbe initiative qui permet une véritable amélioration du niveau de vie en permettant de profiter de nombreux services gratuitement. C’est également une initiative qui permet de créer du lien entre les habitants du quartier venant de tous horizons.

J’avais vraiment beaucoup apprécié la capacité de cette initiative à créer du lien social. De retour en France après mes études, j’ai emmené l’idée dans mes bagages. Et la ville de Wasquehal s’y prêtait bien, avec 20 000 habitants, cela reste un grand village urbain. L’important était de trouver une échelle à taille humaine pour pouvoir créer du lien, et je pensais que c’était le cas à Wasquehal.

Pensiez-vous que le lien social s’effritait dans la ville de Wasquehal ?
Wasquehal est une ville, située à proximité directe de Lille. Comme toute banlieue de grande métropole, à Wasquehal, on a de moins en moins de raisons de connaitre son voisin. L’évolution de la société entraine une poussée de l’individualisme, avec de moins en moins de place pour la vie « communautaire ». On bosse, on fait ses courses dans de grands centres commerciaux, etc.

Bien évidemment, les gens continuent à avoir des activités sportives et culturelles, c’est d’ailleurs une des grandes forces de Wasquehal, qui contient un nombre important d’associations sportives, culturelles ou sociales. Mais on a peu de raisons de connaître nos voisins en dehors de nos activités respectives, en dehors de nos cercles de connaissance.

Wasquehal-lien avait pour but de faire le lien entre ces personnes, de permettre aux gens de partager leurs passions et leurs savoir-faire. Et ainsi de permettre de recréer des raisons de se rencontrer. « L’échange est un prétexte, le but est de mieux vivre-ensemble ! »

Cette manière d’échanger du temps pour le temps correspond bien à la mentalité africaine. En tant que Réunionnais, qu’en penses-tu ?
Mon père est d’origine réunionnaise, et même si je n’y ai jamais vécu, c’est vrai qu’à la réunion la solidarité organique est très présente. Les familles élargies partagent du temps et se donnent des coups de main naturellement. En Afrique en général, on a une forme de solidarité et de cohésion beaucoup plus forte.

Tout le monde se connait dans le village ou dans un quartier. En Occident, les phases de développement et la forte urbanisation de nos sociétés ont engendré un déchirement du tissu social. La réflexion du géographe du début du 20ème siècle Elisée Reclus ” qu’est ce que notre société perd avec le développement ? » est plus que jamais d’actualité !

Quel est le profil du comité organisateur ?
Wasquehal-lien compte 10 membres fondateurs. Nous sommes 6 à avoir entre 20 et 30 ans, et les 4 autres ont la soixantaine. C’était important pour nous de refléter l’image de notre association, l’intergénérationnel et la diversité.

On a tous des métiers et des passions différents, mais on était super motivé pour monter ce projet en commun dans une ville comme Wasquehal. Il existe pas mal de SEL en France et même dans le nord, mais on pensait vraiment que la ville de Wasquehal et ses environs s’y prêtait bien.

Quelles sont les plus grandes difficultés rencontrées dans la constitution de l’asso?
On a volontairement pris le temps de bien construire notre projet avant de nous lancer, ça nous a pris 6 mois environ.On a pris le temps de se faire connaître, en allant rencontrer les associations existantes, en participant à divers événements, en faisant des articles dans la presse locale.

Il nous a fallu faire comprendre que l’on ne concurrençait pas les autres associations, ainsi que les commerces et artisans locaux. Wasquehal-lien n’a pas vocation à remplacer les professionnels et à rendre des services de façon permanente. Nous avons été à la rencontre des commerces Wasquehaliens pour leur expliquer leur démarche et désamorcer d’éventuels conflits.

Enfin, même si l’atout principal de Wasquehal-lien est de fonctionner sans argent, nous avions besoin d’un peu de fonds pour réaliser un site internet complet avec une partie compte en ligne pour les adhérents, acheter un peu de matériel, etc. Il est difficile de réussir à trouver des subventions pour une association qui vient de se créer. Nous arriverons malgré tout, notamment grâce à l’entraide, à nous doter des outils dont nous avons besoin!

Avez-vous bénéficié du soutien de la Ville ?
Si la commune n’est en rien à l’initiative de ce projet, nous sommes allés rapidement présenter le projet de l’association aux élus Wasquehaliens et notamment à Mr le Maire. Ils ont reçu notre projet avec enthousiasme. Nous ne bénéficions d’aucune subvention de la commune, mais la ville met à la disposition de l’association un local afin de pouvoir y tenir nos activités et réunions.

Comment s’est passée la soirée inaugurale de lancement ?
Nous avons lancé nos activités lors d’une conférence d’inauguration le samedi 24 mars 2012. Nous espérions avoir au moins une vingtaine de personnes pour présenter notre concept et commencer à prendre les adhésions. Au final, il n’y avait pas assez de chaises dans la salle, 60-70 personnes étaient présentes pour notre inauguration. Ce fut un réel plaisir de voir que ce projet sur lequel nous travaillions depuis 6 mois plaisait déjà aux Wasquehaliens !

Et en chiffres ?
En chiffres, Wasquehal-lien c’est déjà 50 membres, c’est plus un catalogue de plus de 100 services divers proposés aux adhérents, c’est 4 activités collectives planifiées sur le mois de mai, et une vingtaine d’adhésions à venir. On s’était fixé comme objectif d’avoir un seuil de 50 membres pour Decembre 2012, on va devoir revoir nos objectifs à la hausse.

Wasquehal-lien

Les échanges ont déjà démarré. Quelle proposition de service t’a le plus surpris ?
Ce qui m’a surpris et vraiment fait plaisir, c’est l’âge de notre doyenne ! 92 ans ! Et elle pète la forme ! Nous avons la chance d’avoir déjà des gens d’âges et de milieux différents parmi nos adhérents, c’est une vraie richesse !

Une petite anecdote : nous avons un adhérent qui a 85 ans et qui propose de donner des cours… d’informatique! C’est un passionné d’informatique et d’internet. Il se propose donc d’initier ceux qui n’y sont pas habitués, notamment des personnes âgées. « Vous les jeunes, vous allez toujours vite ! Moi je pourrai leur expliquer tranquillement ! » Il a bien raison!

Tu es originaire de la région parisienne, penses-tu que ce genre d’initiative est envisageable en banlieue ?
Je pense que ce genre d’initiative prendrait tout son sens en banlieue, dans des quartiers enclins à la diversité et en proie à des problèmes de pauvreté importants. Je crois d’ailleurs qu’il commence à se monter quelques SEL en banlieue parisienne.

Comme c’était le cas pour l’Accorderie à Montréal-Nord, un SEL en banlieue permet une expression des talents divers qu’on peut trouver en banlieue. C’est aussi un moyen de partager les différentes origines culturelles, notamment pour les personnes issues de l’immigration, et continuer à construire l’identité collective !

OK si un jeune parisien nous demande ton contact on lui donne (rires)?
Avec plaisir, ce serait génial de pouvoir épauler une initiative en banlieue ! À quand un Montfermeil-lien ?

Tu as l’esprit entrepreneurial, quel message as-tu pour les lecteurs d’AfrokanLife ?
« Demain est moins à découvrir qu’à inventer » disait Gaston Berger. La seule chose que je pourrais dire aux lecteurs d’Afrokanlife est qu’il ne faut pas avoir peur de se lancer et de monter son propre projet, même jeune (j’ai 26 ans). On apprend énormément en développant son projet, et on y prend beaucoup de plaisir. Un grand merci à l’équipe d’ AfrokanLife pour cet article sur Wasquehal-lien

Pour en savoir plus sur Wasquehal-lien ou pour devenir membre, dirigez-vous sur :

Les conseils du milliardaire africain Aliko Dangote aux entrepreneurs

Les strategies du milliardaire africain Aliko Dangote sont révélées aux jeunes entrepreneurs.

Dans cette économie, il est toujours utile de se faire guider un peu. Alors pourquoi ne pas apprendre des hommes les plus riches du monde ? Malgré les difficultés économiques mondiales, certaines personnes tirent leurs épingles du jeu, la prise de risque semble être leur avantage concurrentiel. Récemment, Aliko Dangote, homme le plus riche de l’Afrique s’est assis avec un groupe de jeunes entrepreneurs africains à travers le continent pour partager ses secrets de la réussite.

milliardaire africain Aliko Dangote
Aliko Dangote, dont la fortune est évalué à 11,2 milliards de dollars, est assis à la tête du Groupe Dangote, le plus grand conglomérat du pays, avec des investissements au Nigeria, en Zambie, au Sénégal, en Tanzanie et en Afrique du Sud. Bien que beaucoup pensent que la clé du succès réside sur la chance, Aliko Dangote démontre que le travail acharné, la concentration et la compréhension de son entreprise sont les piliers de sa belle carrière.

Découvrez les conseils Aliko Dangote pour les jeunes entrepreneurs et dites-nous ce que vous pensez!

Les Essentiels de Botanikap : épilation chez les peaux noires et métissées

épilation chez les peaux noires et métissées

Le centre de soins médico-esthétiques Epiderma a réalisée au sujet de l’épilation longue durée chez les peaux noires et métissées.

Si une personne à la peau blanche et aux poils foncés s’avère le candidat idéal pour l’épilation définitive, elle aura à choisir parmi toutes les méthodes d’épilation sur le marché. Pour les peaux foncées, méditerranéennes, asiatiques ou noires, il faudra faire preuve de plus de vigilance, car toutes les techniques ou les appareils ne sont pas adaptés.

En quoi l’épilation sur peau noire est-elle différente?

Rappelons tout d’abord que le principe de la photoépilation est de convertir les rayons lumineux en chaleur de façon à  « brûler » le follicule pileux sans causer de lésion à la peau. Ces rayons ciblent la mélanine qui pigmente le poil. À la différence des peaux claires, les peaux foncées contiennent de la mélanine cutanée qui requiert des appareils de haute précision aptes à faire la différence entre la mélanine du poil et celle de la peau. Plus la peau est foncée, plus les risques d’effets secondaires sont élevés, d’où l’importance de connaître la différence entre les appareils proposés.

Classification des couleurs de la peau

La peau est classifiée par phototypes (de I à VI), selon l’échelle Fitzpatrick, établie en 1973 en fonction de la pigmentation cutanée et de la réaction de la peau à l’exposition au soleil. À celle-ci s’ajoutent d’autres facteurs, comme la couleur des cheveux, celle des yeux, et la présence ou apparition de taches de rousseur.

  ** Grandes lignes de l’échelle Fitzpatrick **

Phototype I = peau très claire, qui attrape toujours des coups de soleil et ne bronze jamais

Phototype II  = peau claire, qui attrape toujours des coups de soleil

Phototype III = peau claire à légèrement mate, qui attrape de légers coups de soleil

Phototype IV = peau mate, qui attrape rarement des coups de soleil et bronze facilement

Phototype V  = peau bronzée à très foncée, qui attrape très rarement des coups de soleil

Phototype VI = peau noire, qui n’attrape jamais de coups de soleil

L’épilation par lumière intense pulsée (LIP/IPL) : Les professionnels s’entendent pour proscrire d’emblée la méthode LIP pour l’épilation sur peau foncée. Celle-ci présente un risque beaucoup trop considérable de brûlures, car ces appareils ne sont pas assez précis. Les effets secondaires de la LIP sur peau foncée peuvent être graves et permanents (brûlures si lumière trop forte, risques de rayures blanches définitives et d’hyperpilosité si trop faible).

Le laser Nd:Yag : Ce type de laser a l’avantage de repérer la différence de concentration de mélanine dans le poil et dans la peau. Cet appareil est tout indiqué pour les peaux foncées, particulièrement les phototypes V et VI, mais il est considérablement plus douloureux que d’autres lasers, comme le laser diode.

Le laser diode : Tout comme le Nd:Yag, le laser diode bénéficie d’une longueur d’onde d’au moins 810 nm évoluant en infrarouge proche. Les meilleures diodes, dont le LightSheer, sont spécifiquement conçues pour régler de façon précise les paramètres en fonction du phototype de peau traitée. Ils permettent d’ajuster la fluence (l’énergie du tir), la fréquence et le temps de pulse pour s’adapter à tous les types de peau (phototypes I à VI). De plus, les appareils haut de gamme, comme le LightSheer, sont équipés d’un système de refroidissement intégré dans la pièce à main qui permet d’atténuer l’accumulation de chaleur dans la peau. On peut cibler le poil sans effets secondaires pour la peau et en minimisant la douleur.

Le laser diode est aussi beaucoup plus répandu dans les cliniques médico-esthétiques et plus accessible au grand public que le Nd:Yag.

Certaines particularités doivent être prises en considération :

  • L’épilation sur peau foncée est plus douloureuse que sur peau claire.
  • Le nombre de séances est en général plus élevé, car le traitement est plus progressif pour éviter les effets secondaires.
  • Le bronzage, avant ou après un traitement, est tout autant contre-indiqué, sinon plus.
  • Toutes les consignes et contre-indications d’usage s’appliquent.

Conclusion

Si vous avez une peau foncée, assurez-vous de choisir un professionnel fiable et bien encadré, doté d’une formation spécialisée de technicien laser et d’une expérience pertinente, qui utilise un appareil de première qualité et bien adapté à votre type de peau.

Comment tester l’expérience de l’heure de bonheur ? Par Eyala Musango

image black woman happy bonheur

Je vais parler de ce que j’ai appelé une heure de Bonheur. Bon mais en anglais ça sonne mieux: « An hour of happiness ».

image black woman happy bonheur

Je pense que je ne dirai jamais à mes enfants que le bonheur se trouve dans la durée, ou dans le futur. Parce que finalement la vie n’est pas partitionnée en moments ou en instants, c’est un gros tout. Le temps est une invention humaine, tout comme le sectionnement de l’espace. Ce sont des subterfuges mis au point pour pouvoir appréhender des notions que finalement, nous avons du mal à comprendre. De toute façon, quelle que soit la projection, quel que soit la préparation ou le manque de préparation, aucun de nous n’a le contrôle sur rien de ce qui va se passer durant la seconde, la minute ou l’heure qui suit.

Est-ce que je suis en train de dire que nous sommes inexorablement conduits par un destin sur lequel nous n’avons aucun contrôle… peut-être. Ou pas exactement, je suis en train de réfléchir au moment où j’écris. Je pense que ce que je suis en train de dire c’est que le bonheur ce n’est pas d’attendre le rendez-vous galant de mercredi soir, un appel ou un message. Ce n’est pas le diplôme qu’on aura eu dans quelques années. Je ne sais pas encore ce que c’est non plus, mais je pense être convaincue que le bonheur ne se trouve pas dans la projection. Je ne me projette plus, je ne fais plus vraiment de projets. Je me contente d’essayer de vivre chaque seconde, chaque minute en étant heureuse. En ne culpabilisant pas parce que je devrais être en train de travailler sur un projet que je dois remettre bientôt.

Je vais maintenant vivre avec vous l’expérience consciente de l’heure de bonheur. Il est 19h44. Je prends deux gorgées d’eau, je les savoure. Chacune à son tour. Pendant que j’avale celle-ci, je pense déjà à la prochaine, parce que c’est tellement agréable que j’en veux encore. Je le dis souvent, mais c’est assez contradictoire, ce besoin de toujours reproduire les choses qui nous donnent du bonheur comme si c’était possible. Ce qui est passé est déjà passé, et honnêtement il n’y aucun moyen de le reproduire. En considérant la vie comme un long fil dans lequel se suivent chronologiquement des choses et d’autres, il n’y a pas vraiment de moyen de remettre ensemble toutes les conditions, la même heure et le même état d’esprit, la même respiration ou le même regard, la même position des étoiles et tous les autres paramètres spatio-temporels, proches ou non pour reproduire ce qui a été vécu. Il est donc vain, non seulement de regretter les choses, mais également de vouloir les revivre ou les faire perdurer. Mais il semble impossible d’apprécier une chose pendant qu’elle est sous nos yeux, un moment pendant qu’il est en train de produire. Comme si le regard que l’on avait dessus était conditionné par son caractère antérieur, et que la beauté venait du fait que l’instant était déjà perdu. Comme si le vivre et l’observer à la fois n’était pas possible, on n’aime ce qu’on aime que par comparaison avec ce que l’on vit, aime ou voit maintenant qui est moins bien que ce qui a déjà été vécu, aimé ou vu, et le rend donc meilleur.

Il est 19h51. Je me demande si je suis en train d’apprécier le fait d’écrire ce texte ou de me projeter au moment où des gens le liront et me feront probablement des compliments sur le recul que je sais prendre ou les analyses singulières que je fais de moi-même et des situations quand je joue à la philosophe du dimanche. Honnêtement je ne sais pas. Je ne saurai dire si je suis en train de me projeter… Je repense à la semaine dernière, j’écrivais un texte qui s’est effacé et que je trouvais pourtant (presque) parfait. Je voyais déjà la pluie de compliments qui allait suivre et qui allait venir flatter mon égo qui ne semble pas se rassasier de ce genre de reconnaissance. Je devrais peut-être m’interdire de poster ce texte, ce n’est pas comme si il détient une vérité qui servira au monde ou un conseil qui influencera positivement une génération.

Je devrais parler de la remise en question peut-être. Ou de compliments tiens. Je disais récemment à une amie que je ne veux plus recevoir de compliments et que je ne compte plus en faire, et je vais vous expliquer pourquoi. Les compliments donnent une fausse appréciation des personnes selon moi. Le fait se faire entendre dire que l’on est beau, ou que son texte est bien écrit pour parler de moi par exemple, laisse penser que c’est cette reconnaissance qui donne de la valeur à ce que l’on fait. Comme si sans ça, il n’y avait pas de valeur propre à la chose appréciée. Comme si on avait besoin d’une note à tout prix pour valider ce qui est. Quel besoin y a-t-il finalement à donner un jugement de valeur sur les choses? Elles sont ce qu’elles sont, et honnêtement, le fait de dire à une personne qu’elle fait bien ne fait que nourrir son égo. Maintenant dire ce qui est mal peut être fait dans le but de corriger, mais là encore, il s’agit d’appréciations subjectives. Tout est une question de référentiel et peut être remis en question pour autant que l’on change un seul infime paramètre. J’ai fini par accepter le fait que j’aime parler, pour le plaisir de parler. Parce qu’aligner des mots en soi est un plaisir. Il est 20 h, je pense que je viens de vivre 15 minutes de bonheur, qui sont en train d’être perturbées par le besoin égotique de poster un article pour me faire jeter des fleurs? Ne le faites pas. Essayez simplement l’expérience de l’heure de bonheur et donnez-moi votre avis. Ça marche pour vous?


Cet article a été rédigé par Eyala Musango 

Bio de Eyala : * Chocolate Dream * I am that I am & I can be no one else. I am too many things to define, here are my thoughts, my moments & my philosophy. Let’s converse.

Knxledge, le point sur son concert à Montréal Par SoSoLisa

Knxledge, le point sur son concert à Montréal

Knxledge

  • Knxledge, 23 ans, beatmaker, DJ
  • Originaire de Philadelphia
  • Habite à Los Angeles

Ce fut une première à Montréal pour le beatmaker hip-hop Knxledge venu tout droit de Los Angeles. Il est 23h30, le Belmont est animé par un son hip-hop rétro, un mix de J Dilla, Notorious B.I.G, Luther Vandross amorce la soirée. MacBook à la main, chemise vintage boutonné, et casquette Supreme, le jeune DJ monte sur scène.

L’ambiance est cool, le son soul électro est plutôt relax mais la salle reste pratiquement vide. Néanmoins la soirée continue sur un mix hip-hop classics et Neo-soul avec des morceaux de Common, Tupac, Erykah Badu, Musiq Soulchild, Faith Evans accompagné d’un fond jazz fusion.

Vu le petit monde dans la salle, au bar aussi bien que sur le dancefloor l’atmosphère reste coolax , le public est décontracté et fait comme à la maison. Certains groovent sur des pas de danse old school, d’autres préfèrent des pas de break dance. L’aspect désertique de la salle n’empêcha pas Knxlegde de partager sa mixlist jusqu’à 3h du matin.

Pourquoi aussi peu de monde à ce super concert ? Serait-ce parce que le hip hop geek n’attire pas les foules, ou juste parce que le ”Jeudi” soir ne fut pas le moment idéal pour cet évènement ? Dans l’attente d’une réponse, pour les adeptes de pure hip-hop et jazzy beat à la J Dilla ou MF Doom qui ont raté l’opportunité de découvrir Knxledge, voici un extrait de son dernier EP :

Knxwledge – Hai[$100nytemayrs]

Le jeune artiste continue à traverser l’Amérique avec ses platines, nous lui souhaitons une longue carriere et à très bientôt !

Eliza, présente au concert nous donne ses impressions sur le show (en anglais) 

The night at the lounge started on a good note. At the entrance, a welcoming sample of Ahmad’s “Back In The Day” was candy to the ears. The atmosphere was cool and casual, but the showroom was empty. DJ Rilly Guilty opened the event, with his turning tables and Knwxledge was nowhere to be found.

A few minutes later, the artist of the night appeared in the scene. Supreme hat to the back, rocking a tribal vintage blouse, the DJ went on stage and set up his macbook. He didn’t waste time and started doing his magic. Dope and intricate sounds dropped one by one. A few samples made list: “I love You” by Faith Evans, Musiq Soulchild’s “ Half-Crazy”, “Love TKO” by Teddy Pendergrass, or recent smash from Tyler the Creator: “VCR”. Each sound was unique and catchy.

The public was enthusiastic, despite the small number of people. Some bopped their heads to the beat in front of the stage, while others danced. Some also attempted to “moonwalk” and “pop”. It was no doubt that Knxwledge was focused on pleasing this small crowd. He kept his eyes on the computer, he was in his element and his goal was to convey his energy to the audience. The young DJ even added a touch of playful humor and stopped the music as a test, to see reactions. The response was very clear: everyone enjoyed his work and wanted him to keep on going.

Overall, his performance was quite a success. The only disadvantage came from the lack of people that night. Maybe, the hip-hop geek scene is not successfully known in the city or Thursday was a wrong date for this type of event. One thing is sure, he didn’t disappoint.

Personally, I thought that more music lovers would come and support him. I was expecting a mass of fans cheering and shouting. I am sure that the others had the same opinion. I heard a few people say: “Where’s everybody?”. Most of the audience left early and it’s a shame . Nonetheless, if you are a fan of a fusion of good sounds, you can check out his music on youtube, soundcloud, or his tumblr. Grab your headphones, kick back and let the music take you away. You will appreciate Knxwledge’s chill, funky creations and give it a thumbs-up.

Cet article a été rédigé par Sonia Mitouri du blog sosolisa
Bio de Sonia : I am a Believer, Dreamer, Daughter, Sister, Woman. Hip-hop lover, Jazz lover, Art lover, English Literature student. Passionate by the Sixties, African and Afro American history. I observe the world, and God gives me the tools to analyse it and share it with others . That’s what I’m doing here,sharing my passion for music and African culture.
Peace.
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Afro Inspiration : Ralph Leroy, designer de mode

Ralph Leroy est un designer de mode et créateur de bijoux d’origine haïtienne installé à Montréal.

Suite à sa première collection pour homme présenté lors de la Semaine de la mode de Montréal en 2009, Ralph Leroy a conquis à la fois le public et le milieu de la mode montréalaise. Nous l’avons rencontré à Montréal au Marché Bonsecours dans le cadre de la Braderie de la Mode édition 2012…

ralph leroy - afrokanlife

De mannequin à designer, parlez-nous de vos débuts dans l’industrie de la mode ?

« J’ai commencé dans l’industrie de la mode à l’âge de 11 ans en tant que vendeur dans la boutique de ma mère. À cette époque, il fallait absolument savoir faire du stylisme pour aider sa clientèle qui accordait beaucoup d’importance aux conseils qu’elle leur donnait pour la mise en valeur de leur silhouette. Suite à cela, j’ai commencé à faire du théâtre toute ma vie et à 17 ans j’avais ma propre compagnie de théâtre en Haïti. Prenant cela très à cœur, je dessinais les décors de scène et les costumes.

Arrivé aux États-Unis, j’ai travaillé comme mannequin et également comme styliste pour des photographes, des défilés, des directeurs artistique, etc. Cependant, un élément manquait à l’équation et je n’appréciais pas tellement ce que je portais; je voulais avoir une ligne, entrer dans une boutique et pouvoir acheter tout ce que j’aimerais dedans ! »

Installé à Montréal en 2005, vous lancez votre propre ligne de prêt-à-porter et de bijoux en 2006. Quels sont les étapes à suivre dans la création d’une ligne ? Avez-vous rencontrés des difficultés ?

« J’ai débuté avec ma ligne de bijoux en tant que créateur et je travaillais timidement dans le domaine du vêtement. Au départ, j’ai pris des cours privé, des cours en joaillerie, de gemmologie, en design de bijoux, etc. Mais pour le vêtement, c’est beaucoup plus dans le stylisme et j’ai été plus loin en allant chercher des thèmes qui reflètent mes aspirations et que je définis plusieurs mois à l’avance selon les saisons. Ayant le thème en tête, je commence à faire des recherches, développer mon produit puis je passe à la création. Ensuite, c’est l’étape de conception parmi les produits qui m’auront le plus séduit.

C’est comme cela que je m’épanoui, je suis vraiment passionné par la mode malgré les difficultés du métier car la vie n’est pas rose dans la mode, il y a des côtés cachés. Être noir et immigrant ce n’est pas facile de pouvoir s’imposer dans une société où l’on est minoritaire et dans laquelle on apprend à cohabiter. Pour moi, je ne le considère pas comme un obstacle et ma couleur de peau n’est pas ce qui fait la différence. Je m’exprime à travers mes créations et ce que j’ai a apporté au public. »

Ralph Leroy

Ralph Leroy

Dans le cadre du Black Expo Design 2012, nous avons eu l’occasion de voir quelques-uns de vos modèles. Quels sont vos points de vente à Montréal ?

« Mes collections sont disponibles à mon atelier dans lequel je reçois la clientèle. L’atelier est situé dans le plateau, sur l’avenue de Gaspé à Montréal. Le cadre de l’atelier me permet d’avoir un contact personnalisé avec les clients, d’échanger avec eux et apprendre à les connaître. C’est aussi une occasion d’avoir des commentaires sur ce qu’ils aiment et ce qu’ils aiment moins. »

Quels sont les prochaines destinations du label Ralph Leroy ?

« Dans le futur, j’aimerai bien me développé au niveau canadien et m’étendre au-delà des frontières mais pour cela il y a encore beaucoup d’ouvrage à accomplir ! »

Quel est votre couleur préférée ?

« Le rouge…la couleur prédominante dans ma vie ! Cela me vient de ma mère qui en portait régulièrement que ce soit un rouge à lèvres, une chaussure ou un vêtement ! Je trouve cette couleur sensuelle, affective et joyeuse à la fois. Quand on porte du rouge cela égaille, j’adore ! J’en mets toujours dans mes collections même si ce n’est qu’un fil rouge ! »

Un message pour les lecteurs d’Afrokanlife ?

« Continuez d’encourager le beau travail fait par Afrokanlife ! Également, soyez participatif en partageant l’information et les nouvelles publiées par Afrokanlife, faites le connaître autour de vous. Aussi continuer de supporter Ralph Leroy et merci d’être présent dans tout ce que l’on fait. À bientôt… »


Pour suivre l’actualité de Ralph Leroy rendez-vous sur le site officiel, les pages Facebook et Twitter.

Site : www.ralphleroy.com
Blog : www.ralphleroynews.com
Facebook: http://www.facebook.com/2ralphLeroy
Twitter: http://twitter.com/ralphleroy

 

Projecteur sur Nadine Docteur, Fashion Designer

nadinedocteur

Fashion Designer – Nadine Docteur

Nadine Docteur is a contemporary and feminine outwear clothing line developed by Nadine Docteur while living in Montreal, Canada.

Nadine Docteur

This line was created to expand cold weather clothing selections for the ever changing style of a woman’s wardrobe.

The 2012 fall collection is a dark and subtle palette that will stand out in any urban setting through the trendy outwear line that won’t defeat its purpose of keeping the body warm.

nadinedocteur

nadinedocteur

To know more about Nadine Docteur Clothing Line please visit www.nadinedocteur.com

For Press inquiries please contact : anna@annatourepr.com


Designer de mode – Nadine Docteur

Nadine Docteur est une ligne contemporaine et féminine de vêtements d’extérieur développée par la designer lorsqu’elle habitait à Montréal au Canada.

La ligne Nadine Docteur a été crée pour élargir le choix de vêtements chauds dans la garde-robe des femmes.

Une palette de tons foncés et subtiles domine la collection automne 2012 qui conviendra en toute circonstance à travers une ligne de vêtements d’extérieur tendance qui tiendra la promesse de vous maintenir au chaud.

nadinedocteur

nadinedocteur

nadinedocteur

Pour en savoir plus sur la ligne Nadine Docteur, visitez le www.nadinedocteur.com

Pour les demandes de presse contactez : anna@annatourepr.com

L’ActuArt: Le Salon des Expos Dynafrica 2012

La 1ère édition du Salon des expos Dynafrica aura lieu du vendredi 22 juin au dimanche 24 juin 2012 à la Rotonde place de la bataille de Stalingrad dans le 19e arrondissement de Paris.

Expos Dynafrica

Le Salon des expos Dynafrica souhaite créer un espace de rencontre entre les multiples acteurs culturels et les décideurs économique.

Dynafrica c’est tout abord un nouveau concept !

Placé sous les signes, du partage, de la solidarité, de l’échange et de la prise de conscience, cette expo se veut, entre autres, un lieu de rencontres entre des artistes et des spécialistes en matières de sponsoring et de mécénat pour aider à la promotion de ses nombreuses richesses.

Les secteurs représentés seront :

• Domaine de la création :
– L’art, la peinture, la sculpture, la photographie,…

• Domaine de l’artisanat :
– La vannerie, dinanderie, mode, bijouterie, maroquinerie…

• Domaine des activités touristiques :
– Les agences, l’hôtellerie, compagnies aériennes, offices du tourisme…

• Domaine de la gastronomie :
– Point de restauration de plats d’Afrique, bar à jus (gingembre, bissap, bouye…)
– Barbecue aux saveurs épicées,
– les saveurs du continent, recettes et produits des différents terroirs africains…

• Domaine de l’agriculture et de l’industrie :
– Le café, le cacao, le baobab, la vanille, le textile…

• Domaine de l’environnement :
– Présentation d’actions environnementales et agricoles en développement durable,
– Agriculture raisonnée, nouvelles ressources…

• Domaine de l’éducation et de la culture :
– éditions et auteurs africains, exposition de photos…
– L’édition d’ouvrages en rapport avec l’Afrique pour les enfants et adultes…

• Animations et ateliers :
– Atelier découverte du cacao avec dégustation pour les juniors, atelier découverte du baobab et de ses richesses, l’avenir dans les cauris…
– Les échassiers, joueurs de cora et happening mode
– Diffusion de films documentaires africains, Cinéma MK2

• Les associations du quartier :
– Découverte de différentes actions menées par les associations du quartier de la Villette.

• Les entrepreneurs, sponsors, partenaires :
– Entreprises de téléphonie, Etablissements bancaires, Entreprises africaines
ou internationales implantées en Afrique


Pour plus d’informations, visitez le site officiel du Salon des Expos Dynafrica au www.salon.dynafrica.com
Information générale : Blandine LEGUICHAOUA 06 12 31 24 40 / 01 47 00 02 05
Partenariat : Leslie MATETA 06 29 13 84 83

Comment porter la tendance rock ‘n’ roll ?

Comment porter la tendance rock (un peu) ?

Car le temps est venu de faire ressortir l’esprit rock qui sommeille en nous, qu’on féminise avec des tons pastels (et oui, toujours on n’y échappe pas!) et des fleurs!

How to dress in rocker (kinda) ?

Time has come to bring out the rock spirit that lies within us, that with feminine pastels (and yes, we still can not escape it!) And flowers!

Comment porter la tendance rock

Les marques présentées / Brand listing  : 

Vernis : Esse
Rouge à lèvres  : MAC
Sac : Alexander McQueen
T-Shirt : Topshop
Short : Levi’s
Boots : Doc Martens
Parfum : Dior
Foulard : H&M
Ceinture : Zadig&Volaire
Lunettes : Asos

Nail Polish : Esse
Lipstick: MAC
Bag: Alexander McQueen
T-Shirt: Topshop
Short: Levi’s
Boots: Doc Martens
Perfume: Dior
Scarf: H & M
Belt: Zadig & Volaire
Glasses: Asos

Alors ? Allez vous porter la tendance Rock ? Dites moi ce que vous en pensez dans la section commentaire ou bien sur mon Twitter !

 

Afro Inspiration : Carole Diop, directrice de publication de Afrikadaa

Depuis 2010, l’équipe de la directrice de publication Carole Diop nous partage le meilleur du continent et de sa diaspora grâce à AFRIKADAA.

AFRIKADAA fait la promotion d’une Afrique Moderne, Urbaine et Visionnaire, en présentant les initiatives en matière d’Art, d’Architecture et de Design. Après vous avoir présenté le premier magazine intitulé ‘Birth’ nous sommes allés à la rencontre de Carole.

Salut, est-ce que tu vas bien?

Oui, je vais très bien merci (rires) !

Félicitations pour votre magazine et le site en général, nous trouvons que c’est une super belle initiative. On va tenter d’en savoir plus sur toi ! Alors, comment te décrirais-tu dans la vie de tous les jours ? Qu’est-ce qui t’a poussée à faire tout ça ?

Merci, c’est toujours compliqué de se décrire. Je suis architecte et c’est dans mon parcours d’étudiante que je me suis rendu compte qu’en France le terme « art africain» est souvent associé aux termes ethnographique, primitif, artisanal ou encore traditionnel… Peu de place est faite pour la création afro contemporaine. C’est pareil pour l’architecture et pour le design. Et je me suis dit qu’il serait pertinent qu’une publication ou un média mette en valeur les « productions noires contemporaines » – soit les productions issues d’Afrique et des diasporas.

Ce n’est pas difficile de faire la distinction entre le contemporain et le traditionnel ?

Non pas du tout, l’art traditionnel ou ethnographique, à mon sens, ce sont des objets artisanaux, des outils, ou des objets usuels représentatifs de la culture des peuples qui les ont fabriqués. La création contemporaine est faite par des artistes qui nous sont contemporains et qui, bien qu’influencés par leur culture, font de l’art contemporain.


Photos du Magazine Afrikadaa “Birth”

Tu mentionnes les origines. Peux t’on dire qu’Afrikadaa est communautariste ?

Nous voulons mettre en avant des artistes africains et de la diaspora au sens large du terme. Un photographe comme Phillipe Sibelly, qui a une expo itinérante “The other Africa”, n’est ni africain, ni noir, mais son travail exceptionnel a fait l’objet d’un focus sur notre site. Pour moi des gens comme celui-là font partie de la diaspora. Afrikadaa n’est donc pas complètement communautaire, on reste ouvert ! Il n’empêche que j’estime qu’il n’y a pas assez de place pour les artistes noirs en France. On espère à l’avenir ne plus avoir recours à du communautarisme et qu’un artiste qu’il soit africain, asiatique ou autre soit reconnu, car il a du talent. Pour éliminer les clichés et arriver à cela, il faut leur donner une place quitte à être qualifié de communautaire.

La demande pour un média d’arts Afro est-elle présente?

Pour en avoir discuté avec les artistes que l’on a rencontrés, ils sont unanimes pour dire qu’un média comme le notre manquait ! La Revue noire n’est même plus publiée aujourd’hui. Il n’y’a donc rien dans le monde francophone. Les publications anglophones sont moins rares, mais peu accessibles aux francophones : barrière de la langue oblige. Je citerai une superbe revue sud-africaine Chimurenga, mais ils ont vision plus anglophone que panafricaine. Certes, ils parlent d’artistes ghanéens, nigérians… Avec Afrikadaa nous avons souhaité une revue panafricaine pour que tout le monde s’y retrouve. D’ailleurs c’est pour cela qu’elle est bilingue.


Photos du Magazine Afrikadaa “Birth”

À propos de la revue, la mise en page est très sobre, on s’y sent bien. On a remarqué qu’il y avait aucune publicité ?

Nous venons de démarrer donc nous n’avons pas d’annonceurs. Nous sommes devenu une association récemment. Tout ce qui s’est fait dans le passé c’est essentiellement la volonté de quelques personnes Pascale Obolo (rédactrice en chef), Shari Hammond (rédactrice en chef adjointe), Prisca Monnier pour le graphisme en collaboration avec Jay one Ramier et bien sur tous nos contributeurs que je tiens à remercier ici. Nous n’avions aucuns moyens, nous l’avons fait nous-mêmes. Nous souhaitons maintenant élargir la fonction d’Afrikadaa. En plus de la revue, l’association va servir à assurer la promotion des artistes non occidentaux par le biais de l’organisation d’événements, de conférences, de colloques, etc.

Quel a été le déclic pour la création?

Il faut savoir que le blog a été créé en décembre 2010 et que je l’ai tenu toute seule jusqu’à octobre dernier. L’idée m’est venue suite à un stage à Londres chez David Adjaye, j’ai eu l’occasion d’aller voir l’exposition “Urban Africa” et j’ai suivi la préparation de l’ouvrage “Adjaye Africa Architecture”. Nous étions loin de ce que l’on peut voir dans les médias, l’Afrique exotique, grande étendue de terres sauvages ou encore l’Afrique misérabiliste avec les guerres et les famines. Il ne s’agit pas de nier ces réalités, car ce sont des aspects de l’Afrique – pas uniquement de l’Afrique d’ailleurs des guerres et de la misère, il y en a partout ! – mais il n’y a pas que cela. Il existe des médias pour montrer ces aspects-là donc j’ai choisi de montrer autre chose. En juin 2011, j’ai rencontré Pascale et comme nous partagions des objectifs communs nous avons voulu collaborer pour créer la revue. (rires)


Shari Hammond


Pascale Obolo

Un magazine papier dans un monde qui est de plus en plus numérique. Une bonne idée?

Bien entendu ! Nous attendons de voir comment les publications numériques seront reçues. Nous envisageons deux publications par an. Des revues conséquentes qui reprendraient une partie des articles numériques et bien plus. Ce seront des numéros très spéciaux les numéros papiers. Tous nos articles ont des thématiques. Par exemple, le premier s’appelle “Birth” et tous nos articles ont un lien avec le mot naissance. Le deuxième numéro sera “Black Renaissance” nous tenterons de’apporter une définition à ce terme et nous nous intéresserons au mouvement auquel il est associé. Parle -t’on de “Black Renaissance” ou de “Post-Black art” ?

Vous pensez aussi à faire des interviews vidéos ?

L’idée ce serait plus d’avoir des podcasts qu’ils soient audio ou vidéo pour augmenter l’interactivité du site. L’on sait qu’une interview papier et audio ne produisent pas le même ressenti. Cela permet d’élargir l’audience dans un futur proche.

En parlant de futur, comment soutenir votre initiative?

Pour l’instant le magazine est gratuit. Le but est de faire découvrir aux internautes tous les artistes dont on a parlé dans la revue, d’informer d’éduquer. Mais vous pouvez nous soutenir en faisant des dons à l’association pour soutenir nos projets et nous aider a réaliser les publications papier, des informations seront bientôt disponibles sur le site.

Afrikadaa Carole Diop
Photos du Magazine Afrikadaa “Birth”

Maintenant, 3 questions pour mieux te connaître :

1- Quel est ton plat favori ?
Je suis une vraie gourmande qui mange de tout je n’ai pas de plat favori. J’aime autant les sushis que le thiebou djeun ou la cuisine du Bénin (pays d’origine de ma mère).

2- Y’a t’il des pays en Afrique que tu n’as pas visité et que tu aimerais allé voir ?
L’Érythrée et le Kenya, Madagascar, Zanzibar, j’aimerais découvrir l’Est du continent que je ne connais pas du tout.

3- Cite-nous les 3 objets dont tu ne pourrais pas te passer ?
Mon ordinateur (rires), mon téléphone et un crayon pour dessiner.

Au nom de toute l’équipe, je te remercie pour cette entrevue ! Et félicitations pour ce que vous faites.

Tout le plaisir est pour moi, je trouve votre site très riche, on y apprend beaucoup ! D’ailleurs on recherche des collaborateurs à l’étranger alors si vous êtes intéressé, contactez-nous.

Carole Diop

Pour plus d’informations :
Le site : http://www.afrikadaa.com/
Sur Facebook : http://facebook.com/Afrikadaapage
Sur Twitter : http://twitter.com/AFRIKADAA/

Photo de Carole Diop (en couverture et dans l’article) par Mario Epanya

La Presse ethnique en France : communautariste ou identitaire ?

C'est quoi la presse ethnique en France ?

7 milliards de voisins consacre une émissions à la presse ethnique en France.

La presse ethnique, ce sont aussi des magazines de niches féminins qui encensent les beautés noires, maghrébines ou métissées. Des titres comme Gazelle, Brune, Miss Ebène ou Amina rêvent du succès de leurs grandes sœurs américaines comme Ebony et Essence qui s’offrent maintenant de la publicité à la télévision. L’idéal républicain français n’aime pas beaucoup ces titres parfois qualifiés de presse communautariste. Qu’en est-il vraiment ?

C'est quoi la presse ethnique en France ?

Une émission de Emmanuelle Bastide abordant le thème de la presse dite ethnique avec

– Marc Cheb Sun, rédacteur en chef de Respect Mag

– Karima Peyronie, journaliste à Gazelle Magazine

– Renée Mendy, rédactrice en chef adjointe de Amina.

À écouter ici :

Emission RFI.mp3

Emission RFI partie 2.mp3

Sortir à Paris : Où manger la meilleure baguette de Paris ?

Sortir à Paris : Bientôt nous saurons où manger la meilleure baguette de Paris ! 

Le 2 mai prochain, la Ville organise le Grand Prix de la meilleure baguette artisanale de Paris. Internautes, vous avez une chance de pouvoir faire partie du jury parmi de nombreuses personnalités de la boulangerie, de la presse et de la gastronomie !

Réuni autour de Lyne Cohen-Solal (adjointe au Maire en charge du commerce et de l’artisanat) ce jury, et les six internautes désignés, jugera les baguettes des candidats sur cinq critères précis : la cuisson, le goût, la mie, l’odeur et l’aspect !

Le palmarès des 10 meilleurs artisans boulangers de la compétition sera ensuite publié par ordre de classement. Le lauréat remportera un prix de 4000 euros et gagnera avant tout une certaine notoriété !

Vous avez jusqu’au mercredi 25 avril midi pour participer, vérifiez bien votre disponibilité ce jour-là : MERCREDI 2 MAI 2012 APRES-MIDI (merci de ne pas vous engager si vous n’êtes pas sûr d’être libre à cette date par respect pour les autres membres et pour les candidats) et remplissez le formulaire suivant : ici

Les 6 gagnants seront avertis par mail après tirage au sort.
(ATTENTION LA PARTICIPATION EST LIMITEE AUX PARISIENS ET RESIDENTS D’Ile-de-France).

L’actuArt – Festival Musiques du Monde à Montréal 2012

Le FESTIVAL MMM, c’est le grand rendez-vous des Musiques du Monde à Montréal.

Depuis 22 ans, cet événement majeur de la scène artistique montréalaise met l’accent sur la création et le dialogue entre les cultures et les styles, embrassant du même coup les traditions, le métissage et l’hybridité musicale.

Pour cette édition 2012, plus de soixante-dix artistes locaux, nationaux et internationaux sont attendus, dans une programmation audacieuse, imaginée comme un voyage au cœur des métissages entre les Musiques du Monde et le Jazz.

Un hommage à Montréal, LA ville du Jazz et des Musiques du Monde au Canada, dont le foisonnement contribue constamment à ouvrir de nouveaux horizons pour la musique !

Des activités tous les jours, des Grands Concerts inédits, une création en résidence, des groupes Étoiles de demain, des 6@8 Jazz du Monde, et beaucoup de plaisir pour nos oreilles !

Pour plus d’informations sur Musiques du Monde à Montréal visiter le site officiel du festival au www.festivalmmm.ca

Musiques du Monde à Montréal

What Black Men Think By Janks Morton

Documentary Channel is proud to announce the US television premiere of director Janks Morton’s award-winning documentary film What Black Men Think on Tuesday, May 29 (8p ET/PT), part of Black Documentary Cinema.

The film will also be made simultaneously available for online streaming at documentarychannel.com. A searing examination of the role that myths, stereotypes and misrepresentations have played in the lives of modern black men, What Black Men Think is an eye-opening look at the race issues that are still very prevalent in the United States today.

What Black Men Think explores how negative imagery in the media, the failed policy of the Great Society, and a modern black leadership that has abandoned many of its historically unifying tenets have all led to a new form of mental slavery in the black community. The film features commentary and insights from key black leaders, media personalities, activists and educators such as Dr. Steve Perry, actor Joseph C. Phillips, Former Republican National Committee Chair Michael Steele, author Darryl James and more.

In a time when questions of race and racially motivated violence still populate the headlines, What Black Men Think explores the issues from the inside, offering a unique glimpse into the minds of America’s black men to reveal a powerful, enlightening, empathetic portrait of African Americans, and suggests we all reconsider the many misconceptions still so prevalent today.

AfrokanLife BlogRoll : Le petit nègre

Aujourd’hui, découvrez Le petit nègre : site de reflexions vaines et totalement inutiles… quoique.

Avec un titre aussi racoleur, je sens que je ne vais pas me faire que des amis :). Mais ce n’est pas grave contre la majorité de l’opinion générale, je vais essayer de défendre ma logique et mon point de vue et j’espère que certains parmi vous auront l’honnêteté de sinon, pas en partager la conclusion, mais au moins le constat. Et avec un peu d’en train je suis sur que vous arriverez à la même conclusion : l’Afrique n’a pas besoin d’internet.

Lire la suite : POURQUOI L’AFRIQUE N’A PAS BESOIN D’INTERNET

Ceci dit, voila qu’une petite annonce qui n’a pas fait beaucoup de bruits me sort momentanément de ma torpeur plus que printanière. le bruit court que dis-je il m’est rapportévia des sources fiables [1] que super Nico devenu patron du monde pour 1 an vient d’exceptionnellement inviter 3 chefs d’États africains à venir participer au G8. Comme cet initiative qui nous est présentée comme originale ne l’ai pas [2], je me suis entretenu discrètement avec un politologue blédard rester trop longtemps sur le banc d’une université occidentale faute de vision ou de perspective plus lointaine pour sa carrière, qui voulant garder l’anonymat, m’a tout de même indiqué ceci: « Ça c’est la preuve que l’Afrique rentre dans l’Histoire et est un pied de nez au discours de Nicolas Sarkozy au Sénégal y’a pas si longtemps que cela ».

Lire la suite : G8 + 3 != G11 | Le petit nègre

A plusieurs reprises nous avons chez lepetitnegre.com mis l’accent sur les subtilités du langage français tel qu’employé par les blédards. Certaines expressions idiomatiques se trouvaient détournées de leur sens premier, ou devrais-je dire, de leur sens français. Pourtant quand on y réfléchit, le sens que les blédards donnent aux choses est tout aussi pertinent. J’en veux pour exemple l’expression du jour « avoir le bras long » que les français expliquent par « avoir de l’influence« . Pour les blédards c’est encore plus concret: cela signifie pouvoir atteindre physiquement n’importe qui quel que soit l’endroit où il se trouve.

Lire la suite : Le bras long | Le petit nègre

http://www.lepetitnegre.com/

AfrokanLife BlogRoll vous présente les meilleurs. En effet, nous quand on aime, on partage !

 

Deuxième edition du Festival Hautes Tensions

Le parc de la Villette accueille la deuxième édition du festival Hautes Tensions consacré aux formes artistiques issues du cirque et de la danse hip hop.

Lieu d’intersection entre deux disciplines artistiques à l’histoire encore récente, le festival «Hautes Tensions» présente les chorégraphes et circassiens qui écrivent les nouvelles pages du cirque et de la danse hip hop et apportent un vent frais de renouveau.

Durant deux semaines, une douzaine de compagnies présenteront leurs dernières créations, pour certaines façonnées en résidence «dans les murs» de la Villette: Ivan Mosjoukine, Cie Non Nova, Phia Ménard, Un Loup pour l’homme, Les Choses de Rien, Boris Gibé, Camille Boitel, khta Cie, Wanted Posse, Cie par Terre, Anne Nguyen, Rêvolution, Anthony Egéa, 6ème dimension, Next Zone (Danemark), Serial Stepperz, Collectif CdansC.

Les spectacles sont présentés dans tous les espaces du parc, de la grande halle à l’espace chapiteaux en passant par le Wip, le Paris-Villette et le plein air, autant de lieux pour autant de découvertes artistiques marquées également par des rencontres professionnelles internationales et des temps de réflexion pour continuer à mettre en lumière l’étonnante vitalité de ces deux disciplines.

Chacune des soirées-parcours est l’occasion de découvrir et de confronter le regard de ces artistes qui aiment à dynamiter les codes et les langages pour faire du festival un laboratoire artistique, ouvert à tous.

Accès
Grande halle, espace chapiteaux, Wip, Paris-Villette, plein air
Métro Porte de Pantin et Porte de la Villette

Tarifs
16€ – TR 12€ – Villette jeunes (- de 26 ans) et Carte Villette 10€
12€ par spectacle pour l’achat en une fois de 2 spectacles différents (ou plus)
Renseignements/réservations: 01 40 03 75 75
www.villette.com

Deuxième edition du Festival Hautes Tensions

Tupac est vivant ! (enfin presque)

Tupac est vivant (enfin presque) à Coachella en Californie !

Jolie prouesse technique de Snoop qui se fait accompagner par l’hologramme de Tupac Shaqur ! Où ca ? À Coachella en Californie.

Le duo interprète « Hail Mary » et « 2 of Amerikaz Most Wanted » pour le plus grand bonheur des fans qui ne s’attendaient certainement pas à une telle surprise.

On se souvient que le procédé avait déjà été employé pour diffuser un concert de Mariah Carey dans 5 villes européennes ! Ce sera quoi la suite ?

Tupac est vivant (enfin presque) à Coachella en Californie !


Pretty Technical prowess by Snoop who was accompanied by the hologram Tupac Shaqur ! Where at ?  At Coachella in California.

The duo performed “Hail Mary” and “2 of Amerikaz Most Wanted” to the delight of fans who certainly did not expect such guest.

This hologram process had been used to broadcast a concert of Mariah Carey in 5 European cities! What’s next?

 

Interview video Sexion d’Assaut x HIPHOPESKUAL

Interview video Sexion d'Assaut x HIPHOPESKUAL

Interview video Sexion d’Assaut x HIPHOPESKUAL

Interview video Sexion d'Assaut x HIPHOPESKUAL

HIPHOPESKUAL, le site des puristes du rap français, est allé à la rencontre de la Sexion d’Assaut ! Pour ceux qui connaissent pas la Sexion est un groupe de rap français, formé en 2002, composé de huit rappeurs venant pour la plupart du nord et du centre de Paris : Maître Gims, Adams Diallo, Maska, Doomams, JR O Chrome, Black Mesrimes, Lefa et L.I.O. Pétrodollars.

La sexion d’assaut nous explique comment le groupe prépare ses concerts et annonce en avant premiere le concert géant à Bercy.

Video de Sexion d’Assaut

La perle du Qatar : Sheikha Mozah Bint Nasser Al Misnad

Qatar’s beauty Sheikha Mozah Bint Nasser Al Misnad in photos.

Wiki Bio

Fille de l’opposant réformiste Nasser al-Missned, Mozah aurait épousé l’émir Hamad dans le cadre d’un compromis qui scellerait la réconciliation de son père avec le souverain du Qatar1. Après son mariage, la Sheikha continue ses études et obtient un diplôme de sociologie en 1986.

Elle a eu plusieurs enfants avec l’émir Hamad dont le cheikh Tamim bin Hamad pour lequel il a modifié en 2003 son ordre de succession en le désignant comme son héritier aux dépens du troisième de ses 24 enfants, le cheikh Jassim bin Hamad.

Elle a joué un rôle primordial dans la campagne d’organisation de la Coupe du monde de football 2022.

Sheikha Mozah Bint Nasser Al Misnad

De l’émergence à la renaissance africaine : le rôle de la jeunesse camerounaise par Hiram Samuel IYODI

jeunesse camerounaise

DE L’EMERGENCE ET DE LA RENAISSANCE AFRICAINE : Le rôle de la jeunesse camerounaise.

jeunesse camerounaise

Dans un article récemment paru dans vos colonnes, nous avions procédé à une lecture du rôle de la jeunesse dans les différents processus de construction de notre Nation, à savoir la résistance à la colonisation, la lutte pour l’indépendance et la lutte pour l’avènement de la démocratie. Nous avions alors pu démontrer que ces différentes étapes avaient été principalement menées par des camerounais âgés de 20 à 40 ans, qui avaient su faire passer les intérêts du plus grand nombre avant les leurs. Une partie de ces jeunes était constituée de véritables intellectuels formées par les meilleurs universités et écoles des puissances coloniales tandis que l’autre rassemblait des descendants de chefs traditionnels initiés aux connaissances les plus profondes qu’ont nos sociétés traditionnelles de l’Univers, de l’organisation du monde, de la vie et du devenir.

Une autre lecture de l’histoire, cette fois ci conduite à l’échelle continentale nous apprend que le Cameroun a été l’un des rares pays d’Afrique noire à avoir véritablement résisté à la colonisation. Notre pays sera également l’un des premiers à lutter pour son indépendance alors que la majorité des pays d’Afrique francophone devront leur indépendance à la « bienfaisante volonté» de la France. Le nombre de camerounais assassinés par la France, puis le régime Ahidjo dans les forêts de l’Ouest, du Littoral et du Sud entre 1955 et 1970 en témoigne (on parle de près d’un million de perte en vies humaines, alors que la population camerounaise de l’époque était d’à peine 6 millions d’habitants). L’Afrique en miniature a donc toujours joué un rôle primordial durant les différentes phases d’évolution du continent. Ce ne serait pas utopique de penser que la jeunesse camerounaise d’aujourd’hui a le devoir d’inspirer celle de l’ensemble du continent.

En cette période de profondes mutations pour l’Humanité, en cette période de crise socio-économique mondiale, le salut, l’éveil et l’émergence de la terre des lions indomptables et de l’Afrique toute entière ne peuvent être garantis que par un sursaut patriotique de la génération des 20-40ans.

La majorité des pays d’Afrique francophone se veulent émergents en 2035, et je suis de ceux qui pensent que la véritable renaissance africaine se fera avec nos cultures et nos traditions. Il est d’ailleurs à noter que si le développement émane de la démocratie, cette dernière est façonnée par chaque peuple selon son héritage historico-culturel. Barack Obama rappelle à cet effet dans son discours à Accra en Juillet 2009 que chaque Nation façonne la démocratie à sa manière, conformément à ses traditions et à son histoire.

Notre longue marche vers la prospérité se définit donc d’après moi par les trois étapes socles suivantes

1) La réhabilitation réelle et effective des pères fondateurs : En leur accordant plus de place dans nos livres d’histoire, dans l’éducation et l’instruction des masses et dans le paysage publique, ils serviraient d’exemple d’amour et de dévouement à la patrie. Les jeunes pourraient ainsi s’inspirer de leurs parcours et de leurs engagements pour se mettre au service de la Patrie, c’est-à-dire au service des intérêts du plus grand nombre. En cela, les années 2013 et 2014 devraient être des moments forts de reconnexion avec les deux générations des Pères Fondateurs, et considérées comme le début de cette réhabilitation effective. En effet, nous aurons à commémorer le centenaire de la naissance de Ruben Um Nyobe en 2013 et le centenaire de l’assassinat de Duala Manga Bell, Ngosso Din, Madola et d’autres en 2014.

2) La Quête et la reconstitution de notre histoire et la réhabilitation des traditions de nos peuples : Si la Rivière de crevettes (Wouri qui donnera son nom au Cameroun) fût « découverte » par des explorateurs portugais en 1472, si le tracé du territoire que nous occupons actuellement fut décidé à Berlin en 1885 en notre absence, les groupes qui peuplent le Cameroun y étaient installés il y a déjà plusieurs siècles. Plusieurs légendes attestent de l’occupation de ce territoire par les peuples Bantous autour du 9ème siècle après J.C., après un séjour de plus de 3000ans dans la haute Egypte antique et le soudan. La plupart de nos peuples ont des traditions qui vont bien au-delà du folklore et des superstitions qui nous ont souvent été présentées. Certaines d’entre elles ont su préserver la conception de l’univers, de la vie, de l’être et du devenir qu’avaient leurs ancêtres. Durant les 12000ans d’existence reconnus de nos peuples, nous avons autant apporté à la science et à l’évolution du monde que l’ensemble des autres civilisations. Est-il besoin de rappeler que KEMETA (Terre de KEM, un fils de Noé dont nous serions descendants de mémoire biblique) fut autrefois le berceau de l’astronomie, de l’agriculture, des mathématiques, des sciences physiques ou encore de religions avancées ? Le temps est enfin venu de reconstituer cette histoire, afin que les jeunes africains aspirent de nouveau à la grandeur spirituelle et matérielle de leurs ancêtres.

3) Un plus grand intéressement et un engagement patriotique dans la gestion des affaires publiques: Parce que l’Homme vit en société, ses actions quotidiennes ont un impact direct ou indirect sur l’évolution des affaires de la cité. Il doit de ce fait intégrer ses devoirs et ses droits vis-à-vis de de la famille, du clan, de la tribu et de l’ETAT dès la phase de l’adolescence. Il doit également très tôt prendre connaissance du fonctionnement des sociétés environnantes afin de pouvoir défendre sa patrie dans le contexte actuel de mondialisation et de globalisation. L’Afrique, constituée à plus de 50% des moins de 30 ans, a plus que jamais besoin que ses enfants s’intéressent à son devenir en élaborant des stratégies et en posant des actes concrets dans le sens de l’amélioration des affaires de la cité  et de la défense des intérêts nationaux, régionaux et continentaux; En d’autres termes, l’histoire réclame de nous que nous devenions tous des Êtres Politiques et que nous nous servions de nos connaissances sur l’histoire et les traditions des peuples du Cameroun (et de l’Afrique) et des civilisations qui peuplent la Terre afin de formuler un nouveau modèle socio-économique et politique qui soit propice à notre développement réel et durable.

Comme il a été souligné à mainte reprises dans mon livre « Mes rêves de Jeune…Le Cameroun des 50 prochaines années », j’espère que notre génération saura saisir les enjeux majeurs de notre siècle et que chacun de nous se questionnera plus intensément sur l’apport qui peut être le sien ! Quel Cameroun souhaitons-nous léguer à nos progénitures ? Quels moyens humains, intellectuels et matériels sommes-nous prêts à y investir dès à présent?

La construction d’un Cameroun économiquement prospère, fière de son histoire et de sa diversité culturelle passe aussi et surtout par une plus grande solidarité de la part de sa jeunesse. Le résultat souhaité ne dépend que de notre détermination à réaliser nos rêves, de notre volonté à travailler ensemble et de notre AMOUR pour la Mère Patrie.

Je reste persuadé que nous sommes capables de construire cette Afrique libre, digne et prospère pour laquelle de nombreux patriotes ont versé leur sueur, leurs larmes et leur sang.

Les nombreuses crises traversées ces dernières décennies de par le monde nous démontrent l’urgence de la naissance d’une Humanité nouvelle et comme par le passé, les bases de construction du nouveau monde reposent dans les traditions et les valeurs africaines.

Aimons-nous véritablement tels que nous sommes et réécrivons l’histoire. Le passé et le présent de KEMETA l’affirment, nous ne sommes pas trop jeunes pour BÂTIR !


Cet article a été rédigé par Hiram Samuel IYODI

Bio de Hiram : Ingénieur camerounais de 24ans, auteur de « Mes Rêves de Jeune…Le Cameroun des 50 prochaines années » paru aux Editions Veritas en 2011

Présentation de la Braderie de Mode Québécoise

Les Essentiels de Botanikap – La Braderie de Mode Québécoise

« Ne manquez pas l’événement shopping des fashionistas ! »

La Braderie de Mode Québécoise
La Braderie de Mode Québécoise

La Grande Braderie de Mode Québécoise est le lieu pour faire des bonnes affaires sur des articles de designers québécois pour femmes, hommes et enfants. Avec des rabais autour de 50% à 80% sur une vaste sélection d’articles de toutes saisons, la Braderie vous invite à encourager le talent québécois. Au cours de cet événement, vous rencontrerez aussi des designers émergents qui seront présents pour vous faire découvrir leur création.

                                                           Photographe: Vincent Chine

Où ? Marché BONSECOURS, Vieux-Port

390, rue Saint-Paul Est

Montréal

Métro : Champ-de-Mars

Quand ? Du 19 au 22 Avril 2012

10H-21H     Jeudi-Vendredi

10H-17H     Samedi-Dimanche

Prix ? Entrée Libre

Infos : http://www.braderiedemodequebecoise.com/

Joyce Banda, première femme présidente en Afrique australe

joyce banda
joyce banda

La vice-présidente du Malawi, Joyce Banda a été assermentée à titre de président après la mort de Bingu wa Mutharika. C’est la femme présidente en Afrique australe.

Joyce Banda, 1ère femme présidente en Afrique australe
Joyce Banda

Mme Banda, vice-présidente depuis 2009, a été chaudement acclamé et applaudi, avant, pendant et après la cérémonie. Fait insolite sur Joyce Banda? Son père était un musicien bien connu et sa sœur a été embauché pour travailler à l’école de la pop star Madonna !

M. Mutharika, 78 ans, a fait un arrêt cardiaque le jeudi 5 avril, même si sa mort n’a pas été confirmée avant samedi. Le retard dans l’annonce de sa mort avait d’ailleurs suscité des craintes d’une lutte pour le pouvoir.

Durant le passage de témoin, Mme Banda s’est engagé à «défendre et à préserver la constitution» ainsi que rendre justice à l’ensemble des malawites.

Elle a ensuite demandé au Parlement de respecter deux minutes de silence en hommage à M. Mutharika.

The Afro-German project of Asoka Esuruoso and Philipp Khabo Köpsell

The Afro-German project of Asoka Esuruoso and Philipp Khabo Köpsell

Arriving in the future, Stories of Home and Exile will be an interdisciplinary approach to positioning. As a collection of poetry, short stories and academic essays on identity written by Black Writers who regard Germany as their home, and those who regard it as permanent or temporary exile, it will attempt to add a new layer to the debate and construction of Black Identity within the German context.

“There is an oversimplification of the Negro. He is either pictured by conservatives as happy, picking his banjo, or by the so-called liberals as low, miserable, and crying. The Negro’s life is neither of these. Rather, it is in-between and above and below these pictures.”
– Zora Neale Hurston 1944

What she speaks of is identity in its flattest form. The identity that people once saw when they looked at a black face, flat, blank, static, like a snap shot frozen in time. There was no breath behind the lips, no thoughts behind the mind. We were caricatures of ourselves, like a child’s drawing. It is a false image. Diversity and texture have been and continue to be at the core of Black identity. To be human is by definition to be complex. Yet the Oversimplified image persists, like a ghost that you just can’t shake, or a photo you can’t wipe free.

To escape simplification, new layers needed to be applied. From the African American Slave narratives quest for human dignity, to Du Bois’ The Souls of Black Folk, Zora Neale Hurston’s Their Eye’s Were Watching God, Franz Fanon’s Black Skin White Masks, Achebe’s Things Fall Apart, May Ayim’s Showing Our Colors and Blues in Black and White, and countless, countless more every literary generation has added a new layer to the image of Black identity and experience.

Writing, through their fingers, became a way to reclaim existence and define selfhood. Writing was much more than expression, more than the spiritual liberation of the burden of knowing. It was the creation of new realities and new unlimited spaces. It was the breaking of old frames to give space for a bigger picture. The existence of a thought became a fact in black and white. It became a solid foundation for new perspectives.
However while anthologies of African American literature have been published since 1845, and African writers such as Chinua Achebe, Ben Okri, Ama Ata Aidoo and Chimamanda Ngozi Adichie (among others) have gained acclaim on the world stage, the writing and experiences of Black individuals within Germany has, even to this day, been largely ignored. Literary studies on Black Identity within the German context are still very few and far between, and the layers this Black German identity have added to the image of broader Black identity has often been overlooked.

“…und wenn Du dazu noch schwarz bist” (Edition Con) and “Showing Our Colors: Afro-German Women Speak Out” (Orlanda) in 1984 and 1986 were really the first testimonies on the lives of the African Diaspora in Germany to gain notice within mainstream German society. For Black individuals living in Germany – for those living in isolation – these publications became undeniable proof of the validity of their personal experiences. These texts offered a foundation for numerous other publications and further literary expression. They gave a deeper background and a clearer focus that allowed further perspectives.

For Afro-German writers in the 1980s it was imperative to be regarded as part of German society, while for Black writers from other countries (either as travelers, immigrants, or refugees) the focus was on networking and contributing their own voices.

Yet in the early 1990’s the acceptance of Black individuals within German society suffered from a post-unification hang-over. It took a turn for worse with the firebombing of refugee homes, and the reoccurring presence of neo-fascist mobs. A sudden mainstream acceptance of exclusivist rhetoric and a new idea of the white German “self” vs. “the other” left undeniable traces across the German landscape and within the writing of Black authors.

“[E]s ist nicht wahr/ daß es nicht wahr ist/so war es/ erst zuerst dann wieder.” So reads the beginning of May Ayim’s poem Deutschland im Herbst, drawing disturbing parallels between the fascist Kristallnacht of November 9th 1938 and the murder of Angolan immigrant Amadeu Antonio Kiowa in 1990.

Parallel to the desire for societal acceptance a different question arose in the aftermath of this violence and rejection. Being a member of the African Diaspora, how does one definehome? For many people with African roots the concept of home and belonging can appear fragile. In the late 1990s, many Black authors negotiated this concept by depicting Africa as exile, utopia, or potentially a new/old place of belonging.

“I’m not at home/ still not at home/ not my country/ just my origin/ one of my origins” writes Olumide Popoola in her poem Nigeria – partly resigning, partly equivocating the concept of home.

Then in the late 1990’s TV celebrities like Arabella Kiesbauer, Mo Asumang and Mola Adebisi slowly made it possible for Black individuals to be regarded as part of German society by the white majority. Yet how fragile the concept of Black Germaness remains became obvious in the aftermath of the 9/11 attacks. The term Migrationshintergrund (migration background) gained new popularity and is still being used as footnote for the description of all Germans deviating from the 1930s image of the “Ideal German.”
Now the writing of the new millennium shows a new paradigm shift: The desire to be part of something much bigger. Black writers are again embracing the term “diaspora.” Accompanied by the academic discourse of Paul Gilroy’s Black Atlantic new alliances are being forged that stretch across the continents. Poetry is brimming over with Pan-African references from Ancient Egypt to the transatlantic slave trade all the way to 1960s Black power rhetoric.

“Dreihundert Jahre alte Seelen/ über den Ozean geweht”, writes Angela Alagiyawanna-Kadalie. While Chantal Sandjon lyrically dreams of “revolution in red black & green,” (the colors of Garvey’s Pan- African flag).

Like all those that have come before, this new shift will inevitably add its own layers, colors, and strokes to the ever-changing image of Black Identity. This process is unending, and yet is essential and just as important now as it has ever been.
“The problem of the 20th century is the problem of the color line…” So begins The Souls Of Black Folk Du Bois’ groundbreaking treatise on black psychology written over a century ago. Yet in this post 9/11 Globalize World fraught with economic, cultural, religious, and racial tensions his words ring just as true a hundred years later as they ever did. Du Bois was attempting to pull back a veil so that readers might gain a peak into the depths and meaning of the black soul, for he believed the health of any democratic nation is dependent upon the health of its minorities. They are like canaries in the coal mine of political freedom and equality.

Now through this collection of thoughts, stories, poems and essays by current Black writers in Germany Arriving in the future, Stories of Home and Exile will attempt once again to pull back a veil and give the world a another peak into the depth and meaning of Black German identity.

Afro Inspiration : The Nakande’s Project

The Nakande’s Project Corp. est une association à but non lucrative fondée par les camerounaises Sophy Aiida et Olivia Ngou.

Elle fonctionne aujourd’hui avec l’appui d’une équipe de femmes issues de divers horizons à New-York et à Paris. Certaines femmes de l’équipe ont vécu en Afrique et elles reconnaissent toutes qu’il y a un besoin urgent d’accroître l’éducation de la santé et l’autonomisation des jeunes femmes du continent. Nous les avons rencontrées à New York dans le quartier de Murray Hill.

Dans quel contexte l’association The Nakande’s Project a-t-elle vu le jour ?

« L’association a été crée en Octobre 2009 suite à une prise de conscience face à la situation critique des jeunes femmes scolarisées et issues de milieu défavorisé vivant en Afrique. Le but de Nakande’s Project est de leur venir en aide par le biais de l’éducation sur des thèmes touchant la santé, le leadership, l’amour de soi, etc. Olivia et moi avons combiné nos visions pour fonder l’association. Nous y travaillons conjointement en donnant de notre temps et en concrétisant nos idées en actions avec les membres de l’équipe. Aujourd’hui, The Nakande’s Project a une équipe en Amérique du Nord, une équipe en France et une équipe au Cameroun. »

Divine Muragijimana (Éditrice en chef Applause Africa Magazine)

Depuis 2009, comment l’association The Nakande’s Project a-t-elle progressé dans sa mission ?

« Nous sommes convaincues que l’éducation est la base d’une vie saine. En Décembre 2010, nous avons organisé notre 1er séminaire annuel dans un établissement scolaire au Cameroun. Au terme de cet événement, nous avons sélectionné 10 filles que nous avons suivies pendant une période de 1 an pour les soutenir dans leur développement : payer leur scolarité, les faire participer à des stages, leur apprendre à développer leur réseau, les impliquer dans l’organisation d’événements, etc. Également, au fil du temps, nous avons consolidé des partenariats avec d’autres organismes de charité tel que Giving Back Charity et des particuliers afin de grandir dans notre mission. De même, une série d’activités comme des cocktails et des conférences ont été réalisées pour supporter la mission de l’association. »

Fatima Bocoum (Fondatrice de Bocoum)

Comment fait-on pour devenir membre de l’association et se joindre au mouvement de The Nakande’s Project ?

« Nous lancerons d’ici le mois de Mai le site officiel de l’association et il sera possible de télécharger le formulaire d’inscription pour devenir membre. Pour le moment, nous avons une page disponible uniquement en anglais qui explique en détails les modalités d’inscription. Le membre qui souhaite s’impliquer va donner de sa personne et recevoir des autres, en participant entre autre à des ateliers, des forums interactifs, des actions de terrain et au séminaire annuel. Être membre de l’association, c’est avant tout être un modèle pour toutes ces jeunes femmes à qui l’on vient en aide et être actif au sein de l’association. Pour les membres qui habitent aux États-Unis, l’implication dans l’association vous offre la possibilité de valider des crédits de scolarité. »

 Aida Danielle (Fondatrice de Aida Cosmetics)

Parlez-nous du séminaire annuel prévu pour 2012 ?

« Le séminaire annuel 2012 aura lieu du 28 au 30 août à Yaoundé en collaboration avec le collège Vogt et le lycée de Biyem Assi. Le thème de cette édition sera Le rêve africain qui a pour but de promouvoir le développement de l’Afrique par les jeunes africains et de décourager l’immigration clandestine à tout prix vers les pays occidentaux. Par le biais des ateliers et des conférenciers présents sur place, 50 filles sélectionnées dans les deux établissements partenaires du séminaire assisteront à ces 3 jours de rassemblement et prendront part aux activités mise en place pour leur développement. Également, des témoignages seront faits par les 10 filles de l’édition précédente et 10 nouvelles filles seront retenues à l’issu de cette édition 2012 pour être suivi à leur tour pendant une durée de 1 an. »

  Yetunde A. Odugbesan (Fondatrice de Yetunde Global Consulting) et Sohpy Aiida

Revenons sur l’événement « Women in Business Breakfast » qui s’est tenu samedi 7 avril 2012 à New York, quels ont été les moments forts et dans quel ligne d’action de l’association s’inscrit cette activité?

« La mission de l’association s’articule autour de 3 volets majeurs : l’éducation, l’humanitaire et l’entreprenariat. Dans le volet éducation, on retrouve le Nakande’s Project Leadership Seminar, le Nakande’s Project Leadership Club et le Nakande’s Project Mobile Library. En ce qui concerne le volet humanitaire, il vise essentiellement les orphelinats par la tenue annuelle de l’événement Christmas Spirit. Quant au volet entreprenariat, il s’illustre dans le Woman in Business programm qui est constitué d’une série d’activités rassemblant des jeunes femmes de la diaspora africaine pour échanger avec des femmes entrepreneuses. Au cours du petit déjeuner conférence Women in Business Breakfast, un comité restreint de jeunes femmes a pu s’enrichir des conseils et des témoignages des femmes entrepreneuses qui étaient présentes à l’instar de Divine Muragijimana éditrice en chef du magazine Applause Africaet d’Aida Danielle fondatrice de la ligne Aida Cosmetics.

Témoignages

« Pour moi, ce fut une expérience enrichissante, j’ai eu des réponses pertinentes à mes questions grâce aux témoignages de ces femmes ! » Sophy.

« J’ai été touché par l’expérience des ces femmes, elles m’ont donné la force d’aller jusqu’au bout de mes objectifs ! » Olivia.

« J’ai réalisé que malgré les difficultés de la vie, il faut foncer et aller au delà des barrières ! » Inès.

« Pour la première fois que je collabore avec The Nakande’s Project ce fut vraiment riche en partage. J’ai apprécié ce moment qui était à la fois intense et intime ! » Aida Danielle (invité)

Un message pour les lecteurs d’Afrokanlife ?

« The Nakande’s Project recherche des ressources humaines dans d’autres pays d’Afrique tels que le Sénégal, le Congo, la Côte d’Ivoire, etc. Si vous êtes intéressé à vous joindre à cette mission en tant que collaborateurs actifs, envoyez nous vos CV à info@nakandesproject.org . »

«  Aimer l’Afrique, soyez conscient de toutes les actions qui sont possible sur place et impliquez-vous ! » Inès

« Le futur est prometteur et il est important de s’impliquer dès maintenant dans une activité associative pour le développement de l’Afrique ! » Olivia

« AFROKANLIFE ROCKS !!! » Sophy

Pour suivre l’actualité de l’association The Nakande’s Project rendez-vous sur Facebook, Twitter et la page perso.

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