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Moïse Katumbi, le gouverneur du Katanga

Moïse Katumbi

À moins d’un an de la fin de son mandat, Moïse Katumbi tire un premier bilan de son action à la tête du « poumon économique » de la RD Congo, le Katanga. Et jure vouloir désormais retourner à sa vie d’hommes d’affaires.

Moïse Katumbi

Quel bilan tirez-vous de votre action, alors que votre mandat de gouverneur du Katanga s’achèvera en mars 2012 ?

Il est difficile de faire soi-même un bilan, car on ne peut être à la fois juge et partie. C’est à la population katangaise de le faire.

Quels étaient vos chantiers prioritaires ?

À mon arrivée à la tête du Katanga, en mars 2007, j’ai trouvé une situation difficile. Les anciens gouverneurs avaient laissé beaucoup de problèmes, car ils avaient peu de moyens. Il fallait tout refaire, tout était prioritaire : l’éducation, la santé, les routes, l’eau, l’électricité… Or la population est très exigeante, et elle avait beaucoup augmenté, avec l’afflux de personnes venues d’autres provinces et le retour de la diaspora. Dès le début de mon mandat, nous avons élaboré un plan triennal, que nous avons présenté à l’Assemblée provinciale, et avons établi des priorités selon les spécificités et les problèmes de chaque district. Nous sommes cependant limités par les moyens…

Faites-vous référence au fait que la province ne perçoive pas la totalité des recettes que Kinshasa doit lui rétrocéder ?

En effet. Le gouvernement central n’a pas libéré la totalité des 40 % de recettes budgétaires qui reviennent aux provinces – en raison, notamment, du remboursement de la dette publique et des sacrifices que le pays a dû consentir à cause de la guerre. Mais aujourd’hui, avec l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative en faveur des Pays pauvres très endettés [PPTE, approuvée mi-2010 par les bailleurs, le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, NDLR] et l’annulation de la quasi-totalité de la dette publique, les provinces devraient retrouver leurs droits et percevoir ce qui leur revient. J’espère qu’en 2011 la population en tirera enfin profit, et que le gouvernement central fera un effort financier en faveur des provinces.

Quel est le montant des recettes annuelles propres du Katanga ?

Il est de l’ordre de 100 millions de dollars [environ 70 millions d’euros].

Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Moïse Katumbi : “Je gère le Katanga comme une entreprise” | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique

First Lady Michelle Obama in Botswana

Michelle Obama in Botswana. Visiting Africa on a goodwill mission, first lady Michelle Obama defended her husband Friday against criticism that he isn’t paying enough attention to the continent.

Michelle Obama in Botswana
Michelle Obama in Botswana

American First Lady said her weeklong trip to South Africa and Botswana is proof of the president’s commitment to Africa.

“This trip is a reflection, a direct reflection, of his support and his interest and his view of the importance of Africa to the world and to the future of the world,” she said. “That’s why I’m here.”

Given that Barack Obama is America’s first black president and his father was from Kenya, many had hoped to see stepped-up U.S. involvement on the vast continent during his presidency. Africans also longed for Obama to visit so they could welcome home a U.S president they consider one of their sons.

He did visit, stopping in Ghana in 2009. But he stayed less than 24 hours and has not been back to Africa.

The first lady said people expect a lot from her overworked husband and that some won’t ever think what he does is enough.

“He would love to be here but there’s a lot of work to do on the domestic front,” she told four American reporters traveling with her. “And as president it’s hard to predict and plan internationally because you’ve got domestic stuff hitting you left and right”.

“Africa’s absolutely important to him,” she added. “I understand why people feel like they want more. It’s a big continent, a lot of challenges. But I think his record and the number of senior officials who’ve spent so much time in Africa … that is a reflection of this administration’s commitment to this continent.”

À la découverte du Gabon, Ivindo National Park

The roaring torrent of slashes of Kongou falls through the forest in Ivindo National Park.

Ivindo National Park is a national park in east-central Gabon in west central Africa. It is bisected by the equator. Ivindo National Park was completed in 2004. It contains the famous Kongou Falls, and Langoué Bai, one of the five most important forest clearings in Africa.


 

Le parc national d’Ivindo est situé au centre-est du Gabon. Il est traversé par l’équateur. Il abrite les chutes de Kongou ainsi que « Langoué Bai », l’une des cinq clairières forestières les plus importantes d’Afrique où on a trouvé la plus grande concentration de gorilles du Gabon.

Ivindo National Park
Ivindo National Park

Ivindo National Park

Kongou Falls
Kongou Falls
Kongou Falls
Kongou Falls

Photograph by Michael K. Nichols

Mondial de football féminin : les Brésiliennes jouent pour exister par Anne-Gaëlle Rico

image Au pays du football, les Brésiliennes jouent pour exister par Anne-Gaëlle Rico

A quelques jours du début du Mondial de football féminin, l’équipe brésilienne n’a qu’une chose en tête : soulever la Coupe du monde. Pour prendre une revanche sur les Allemandes, qui les avaient battues en finale de l’édition 2007, mais aussi pour faire progresser la version féminine du sport national, longtemps interdite.

Des montagnes recouvertes de forêt atlantique, un joli lac, la paisible ville de Teresópolis est un cadre idéal pour s’entraîner. Mythique aussi, puisque c’est ici, dans le centre de Granja Comary, que les stars de la Seleçao, Neymar et Robinho, s’entraînaient régulièrement. Mais en ce début du mois de juin, c’est sur Marta et Aline, les perles de l’équipe féminine de football, que les projecteurs sont braqués. Séances tactiques, répétition des schémas de jeu, jogging, musculation… le programme est intensif. Kleiton Lima, entraîneur de la sélection brésilienne depuis janvier 2009, explique qu’il “travaille particulièrement l’aspect physique car c’est le point faible de mes joueuses, qui sont fines et de carrure légère. Elles jouent dans le groupe D contre les Norvégiennes, qui ont déjà remporté la Coupe du monde”.

“Mais avec notre technique de haut niveau et mon sens inné de la tactique, ces détails de poids seront compensés”, réagit en riant Aline Pellegrino, capitaine de l’équipe depuis plus de six ans. En Chine, lors de la précédente édition de la Coupe de monde (2007), les “Canarinhas” (“les petits canaris”, en référence au maillot jaune) s’étaient inclinées en finale face aux Allemandes (2-0). Un an plus tard, aux Jeux olympiques de Pékin 2008, elles avaient subi la loi des Américaines, également en finale. Deux médailles d’argent qui étaient les premières pour le foot féminin au Brésil, mais qui laissent un arrière-goût amer aux joueuses. “Cette année nous allons gagner en battant l’Allemagne à domicile et effacer le mauvaissouvenir de 2007, prédit Aline Pellegrino. Je me rappelle parfaitement de ce que j’ai ressenti en recevant ma médaille de vice-championne : un bonheur rapidement chassé par la frustration lorsque nos adversaires sont montées sur le podium et que retentissait We Are the Champions de Queen.” “C’est infernal, confirme la gardienne Andreia Suntaque, depuis aucune d’entre nous ne peut supporter cette chanson.”

INTERDICTION DE JOUER

Les Brésiliennes, pour déjouer la loi des séries, ont progressé et sont actuellement troisièmes au classement de la FIFA. Une performance remarquable au vu des obstacles qu’elles ont dû affronter : l’histoire du football féminin commence au Brésil en 1965, lorsque des femmes de Rio de Janeiro forment une équipe de football amateur. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre et rapidement les joueuses sont assez nombreuses pour organiser de petits tournois. Mais l’engouement est stoppé net : la dictature militaire (1964-1981) interdit aux femmes de pratiquer le football et d’autres sports considérés “masculins” comme le rugby, le polo et la lutte. La raison invoquée est que ces activités physiques mettent en danger l’appareil reproductif féminin.

Ce n’est qu’en 1986 que ce droit leur est de nouveau accordé. “L’association de la femme à l’espace domestique est une image qui imprègne toujours la société”, estime Maria Rosario Andrade, chercheuse spécialiste des questions de genre dans le sport. Même Patricia Amorim, première femme à diriger un club brésilien – le mythique Flamengo – fait de nombreuses allusions à la facilité pour une femme de bien gérer un foyer, et par conséquent un club de football… “Dans cette industrie, rares sont les femmes qui occupent des postes à responsabilité et celles qui ont réussi, comme Patricia Amorim, doivent lutter contre les doutes qui planent sur leur légitimité, leur crédibilité. Finalement le pays du football exclut les femmes de la passion nationale”, regrettent Marlon Messias Santana Cruz et João Narciso Barbosa Neto, professeurs d’éducation physique et auteurs d’une étude sur la discrimination dans le sport à l’école.

“BATAILLE IDÉOLOGIQUE ET SYMBOLIQUE”

“On ne balaie pas des centaines d’années de discriminations du jour au lendemain, commente Baby Siqueira Abrão, philosophe féministe qui a contribué à rompreavec ces clichés en devenant, dans les années 70, la première femme commentatrice de football. Le simple fait que les femmes s’invitent dans le pré-carré des hommes est déjà, en soit, une victoire.” “C’est une transgression qui renverse l’ordre établi et rompt avec la conception de la femme fragile, ajoute Maria Rosario Andrade. Le football reflète une société dans laquelle l’homme a toujours prédominé et est donc le terrain d’une bataille idéologique et symbolique.”Aujourd’hui, au-delà du combat pour plus de visibilité et de reconnaissance, les joueuses brésiliennes luttent au quotidien pour professionnaliser le football féminin.“Il est inadmissible que Marta, sacrée cinq fois consécutives meilleure footballeuse du monde par la FIFA entre 2006 et 2010 ait dû partir à l’étranger [en Suède et aux Etats-Unis] pour s’épanouir professionnellement. Il y a beaucoup de joueuses qui, pour vivre, jonglent avec d’autres activités et qui s’entraînent gratuitement.”

Ce n’est qu’en 2007, l’année où l’équipe a atteint la finale de la Coupe du monde, qu’a été créée la Ligue nationale féminine au Brésil. A titre de comparaison, le championnat de France existe depuis 1974. “Un titre mondial créerait un cercle vertueux”, explique Kleiton Lima. “En attirant les médias et les investisseurs, nous pourrons améliorer les conditions de travail et augmenter les salaires, ouvrir de nouveaux clubs et inciter les plus jeunes. En Europe, les adolescentes s’entraînent comme des pros, au Brésil c’est bien plus tard et lorsque les garçons gagnent déjà 10 000 reais (4 380 euros), les filles ne gagnent rien”, regrette l’entraîneur de la Seleçao.

La suite de l’article de Anne-Gaëlle Rico est sur  LEMONDE.FR

Voyage au coeur de l’athlétisme éthiopien par Hélène Bekmezian

Voyage au coeur de l'athlétisme éthiopien

Depuis cinquante ans, l’Éthiopie décroche médaille sur médaille dans les courses de fond aux Jeux olympiques. Aujourd’hui, découvrez pourquoi ce pays africain mérite tant son surnom de “Mecque du marathon”.

Le soleil est à peine levé sur Addis-Abeba et, déjà, une trentaine de coureurs foulent la piste irrégulière de Meskel Square, faite d’herbe, de terre et de cailloux. La place la plus fréquentée de la capitale éthiopienne accueille tous les matins des sportifs plus ou moins occasionnels, bien décidés à s’exercer sur ce terrain d’entraînement pas comme les autres. Ici, pas de piste circulaire mais une multitude de pistes en escalier, disposées en demi-cercle les unes au-dessus des autres, que l’on parcourt en zig-zag jusqu’à atteindre le sommet.

Voyage au coeur de l'athlétisme éthiopien

ALTITUDE ET MIMÉTISME

Depuis cinquante ans et la médaille d’or d’Abebe Bikila au marathon des JO de Rome après une course disputée pieds nus, l’athlétisme éthiopien est une redoutable machine à gagner dans les courses de fond, autant qu’elle est une usine à rêves pour la population. Ce pays, où 40 % des 90 millions d’habitants vivent avec moins de 2 dollars par jour, dispose d’un palmarès sportif à faire crever de jalousie n’importe quelle nation occidentale : 38 médailles olympiques, 10 records du monde en plein air encore invaincus, au moins 7 médailles remportées à chacun des trois derniers JO d’été… Toujours en course longue distance.

L’Ethiopie est l’un des dix Etats les plus pauvres de la planète, mais ses habitants courent plus vite et plus longtemps que tout le monde. Avec une trentaine de sommets qui culminent à plus de 4 000 mètres, ce pays de la Corne de l’Afrique a su tirer profit de ses hauts plateaux : habitués à courir près des nuages, les athlètes éthiopiens dopent leur production de globules rouges et deviennent encore plus endurants lorsqu’ils descendent dans les basses plaines.

Employé dans une agence de voyages, Kuku, 32 ans, vient y trottiner une demi-heure tous les matins avant d’aller au travail. “Chaque pays a sa tradition : au Brésil et en France, c’est le football ! Ici, c’est la course. Nous sommes fiers : grâce à ce sport, le monde entier connaît notre drapeau”, clame-t-il, souriant, tout en s’étirant. Anthenh, lui, traîne ses baskets un peu usées et son regard frondeur deux fois par jour à Meskel Square. A 20 ans, le jeune homme vit de petits boulots, souvent comme mécanicien, mais n’aspire qu’à une seule chose : devenir un grand champion d’athlétisme. “Mon père est mort et ma mère n’est plus avec moi. La vie est dure. Quand j’ai de la nourriture, je mange ; sinon, je fais sans. Mais je cours, tout le temps. Le secret pour réussir, c’est de s’entraîner très dur”, explique-t-il.

“UN COUREUR ÉTHIOPIEN N’ACCEPTERA JAMAIS D’ÊTRE BATTU”

Mais pour Yilma Berta, l’entraîneur général de la Fédération d’athlétisme, c’est surtout dans la tête que les coureurs éthiopiens sont plus forts que les autres.“Notre différence, c’est la motivation ! Nous sommes une nation pauvre et nos athlètes font énormément d’efforts pour gagner de l’argent et se sortir de leur condition. Cette motivation très forte fait qu’un coureur éthiopien n’acceptera jamais d’être battu. La victoire est gravée dans nos esprits !”

Depuis son bureau décoré d’affiches et de photographies aux couleurs des victoires olympiques, le coach au physique longiligne et aux cheveux blancs explique avoir étudié en Tchécoslovaquie avant de devenir, en 1982, responsable de l’équipe nationale de course de fond de son pays. Selon lui, le cercle vertueux reposant sur le mimétisme explique les excellents résultats des athlètes : “Gagner est devenu une tradition, chaque champion en attire un autre. Dans la foulée de Bikila, beaucoup d’Ethiopiens se sont mis au marathon et ont obtenu de très grands résultats. C’est ce qui explique aussi nos lacunes dans les autres domaines de l’athlétisme.”

La suite de l’article sur l’athlétisme éthiopien par Hélène Bekmezian et Imanol Corcostegui sur LEMONDE.FR 

 

3 things to know about POWER from Kanye West

Power is a measure of an entity’s ability to control its environment, including the behavior of other entities. Totally Kanye West. So here are 3 things to know about POWER from Kanye West.

POWER from Kanye West
POWER from Kanye West

Number one : The song is a single by Kanye West, released as the lead single from his fifth studio album, My Beautiful Dark Twisted Fantasy.

Number two : The song features additional vocals by Dwele and is co-produced by Kanye West and Symbolyc One.

Number three : The song features a sample of “21st Century Schizoid Man” by English progressive rock band King Crimson, “Afromerica” by American funk band Continent Number 6, and “It’s Your Thing” by funk band Cold Grits.[1] It was nominated for a Grammy Award for Best Rap Solo Performance.

Watch POWER from Kanye West

Projecteur sur Will Smith, monsieur box-office

Will Smith, de son nom complet Willard Christopher Smith Jr, est un acteurproducteur de cinéma et chanteur de hip-hop américain, né le 25 septembre 1968 à Philadelphie (Pennsylvanie, États-Unis1).

Will Smith est l’un des rares artistes à avoir connu le succès dans trois différents médias de divertissement aux États-Unis et dans le monde : cinématélévision et musique. Il est devenu rapidement célèbre en tenant le rôle-titre de la série télévisée Le Prince de Bel-Air et a joué dans plusieurs grosses productions hollywoodiennes comme Bad BoysIndependence Day et Men in Black.

Il est l’un des acteurs les mieux payés d’Hollywood avec 80 millions de dollars gagnés entre le1er juin 2007 et le 1er juin 2008 et le seul acteur à avoir tourné dans huit films classés premiers au box-office américain dès leur premier week-end de diffusion.


Will Smith the only actor to have eight films shot in ranked first at the box office U.S. upon first weekend of release. We pay tribute to Will Smith with this short video. Wow!

Bitcoin, une nouvelle monnaie virtuelle ?

image : BitCoin monnaie virtuelle
image : BitCoin monnaie virtuelle

Bitcoin est une nouvelle monnaie virtuelle créée en 2009 par Satoshi Nakamoto un personnage mystérieux dont personne ne connait la véritable identité.

Ce dernier, empruntant de vieilles idées issues des années 90, publia un document décrivant les caractéristiques d’une monnaie décentralisée. Depuis peu, cette idée est portée par un bon nombre de geeks pour changer notre système économique.

nouvelle monnaie virtuelle
nouvelle monnaie virtuelle

Rien n’empêche de penser que l’on puisse créer une nouvelle monnaie virtuelle sur Internet dans le cadre d’une communauté par exemple avec tous les utilisateurs des auberges de jeunesse. Mais ce genre d’initiatives restait connecté à l’économie réelle. Alors qu’avec Bitcoin, la masse monétaire est complètement déconnectée avec un processus purement algorithmique, sur le modèle de Google. C’était envisageable, mais il fallait quand même le faire !

Regardez la vidéo pour mieux comprendre et dites que pensez-vous d’une monnaie virtuelle ?

 

Rêves d’un jeune patriote pour le Cameroun 2010-2060 par Hiram Samuel IYODI

Salut à tous,

Aux lendemains de la célébration de la 39ème fête de l’Unité de notre pays et en cette période qui marque les cinquantenaires (indépendance et réunification) du Cameroun, je me permets très humblement par le présent courriel, de partager avec vous ma première réflexion sur l’apport de la jeunesse au développement et à la prospérité de la Terre qui nous a enfantés. Mon essai s’intitule RÊVES D’UN JEUNE PATRIOTE POUR LE CAMEROUN DE 2010-2060. Il devait initialement faire l’objet d’un livre, n’ayant pas pu trouver une entente convenable avec une maison d’éditions, j’ai choisi de le partager gratuitement et massivement via le net, le plus important pour moi étant dès lors de communiquer un certain nombre d’idées.

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Je vous invite donc à le lire et à le transférer à la majorité de vos contacts d’origine camerounaise. Ce travail ne constitue pas en lui-même un apport de solutions concrètes de sortie de crise pour la jeunesse de notre pays, mais plutôt un balayage assez exhaustif des pistes à explorer dans ce sens. En cette période de profondes mutations pour l’humanité, en ces années marquées par des échéances électorales (présidentielles 2011 – municipales et législatives 2012) dans le jardin de nos aïeuls, je nous invite à organiser notre pensée et surtout nos actions dans le sens du bien être collectif des Camerounais.

Prenons les places qui nous nous reviennent dans les paysages culturels et socio-économiques, et intégrons les organes décisionnels politiques afin d’incarner pour l’ensemble de l’Afrique un exemple de jeunesse dynamique et entreprenante. Soyons définitivement le changement que nous prônons.

Je serais ravi de discuter avec le plus grand nombre afin d’en apprendre de vous et surtout d’améliorer mes réflexions et actions à venir.

Je vous remercie d’avance.
Camerounaisement vôtre!
Votre serviteur,
Hiram Samuel IYODI.

P.S : La Perfection étant de l’ordre du Divin, je vous prie d’ores et déjà de bien vouloir excuser les erreurs de rédaction que vous trouverez dans le document. Je m’améliorerais la prochaine fois.


Regardez By My Side – un clip de AGE Musiq

AGE Musiq : Retenez ce nom. Fraicheur, authenticité et amour de la musique caractérise ce jeune chanteur anglophone Montréalais, d’origine franco-Camerounaise.

AGE Musiq

Voici son clip  video “By My Side” avec C.M.R. et Raphy que vous pouvez trouver sur sa mixtape Heart Soldier. 

According to Je Wanda Magazine Age Musiq defines his music as Alternative Hip-Hop, a mix of Hip-Hop, Soul/Neo-Soul, R&B, Bossa nova, Samba, Afrobeat, Makossa etc… He explains to the Cameroonian media that he can’t put himself in just one category because the music is too rich, styles evolve everyday but the authenticity stays the same.  He’s inspired by artists like D’Angelo, The Foreign Exchange, a tribe called quest, Little Brother, Mos Def Musiq Soulchild, Blu, Sergio Mendes, Fela Kutl, Lokua Kanza, Manu Dibango etc…

Vous pouvez le suivre sur Twitter : @AGEMUSIQ ou sur Youtube : AGEMusiqlover

 

À la découverte du Kilimandjaro

image kilimandjaro

Le Kilimandjaro ou Kilimanjaro est une montagne située au nord-est de la Tanzanie et composée de trois volcans éteints.

Nous avons le Shira à l’ouest, culminant à 3 962 mètres d’altitude. Ensuite, le Mawenzi à l’est, qui s’éleve à 5 149 mètres d’altitude. Enfin et le Kibo, le plus récent géologiquement, situé entre les deux autres et dont le pic Uhuru à 5 891,8 mètres d’altitude constitue le point culminant de l’Afrique.

Depuis, le Kilimandjaro est devenu une montagne emblématique, évoquée ou représentée dans les arts et symbolisée sur de nombreux produits à vocation commerciale. Elle est très prisée par les milliers de randonneurs qui réalisent son ascension. De plus l’ascension du Kilimandjaro permet de profiter d’une grande diversité de faune et de flore.

image kilimandjaro

Happening Now : La nouvelle fonction Facebook

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Facebook : Happening Now. Une nouvelle fonctionnalité pourrait rapidement apparaître dans Facebook puisque le réseau social teste la nouvelle barre pour nous informer en temps réel.

facebook happening now
facebook happening now

Le test reste limité à une poignée d’utilisateurs pour l’instant. Cette barre affiche ce que vos amis partagent, commentent ou ce sur quoi ils mettent des liens dans leur profil Facebook.

Facebook : Happening Now
Facebook : Happening Now

On peut aussi voir ceux qu’ils ajoutent comme amis ainsi que les notifications. La barre est placée sur le côté droit, à droite du fil d’actualité.

Alors on en pense quoi de la nouvelle fonction ? utile ou intrusive ? Dites nous ce que vous en pensez dans la section commentaire.

Moussa Idriss Ndélé et les ambitions du parlement panafricain

image Moussa Idriss Ndélé élu président du Parlement panafricain

Le Tchadien Moussa Idriss Ndélé préside le Parlement panafricain (PAP) depuis deux ans. Il est devenu président le 29 mai 2009.

Les autres principaux concurrents pour la présidence étaient Sawadogo Lassane et EL-Gendy de Mostefa Abdelaziz. Néanmoins, Moussa Idriss Ndélé, chirurgien-dentiste de formation et  du partisan du panafricanisme, a reçu la majorité des voix. Par profession, Moussa a servi d’assistant à la faculté des sciences de santé à l’université de Ndjamena. Il est marié et a six enfants.

Moussa Idriss Ndélé a tenu plusieurs positions de leadership dans l’Assemblée nationale du Tchad, et a servi pendant plusieurs années dans le secrétaire général du parlement panafricain.

Il était un membre de la mission des syndicats africains pour observer les élections parlementaires en Îles Maurice en 2005, membre de la mission de PAP pour observer les élections générales au Zimbabwe en 2008, et chef de la mission de PAP pour observer les élections parlementaires en Angola en 2008.

Son but est de doter l’institution de pouvoirs législatifs à l’échelle du continent. Il a jusqu’au début de 2012 pour y parvenir avant de passer la main.

Nous vous recommandons l’article sur Jeuneafrique.com : Moussa Idriss Ndélé : “Nos peuples aspirent à former des États-Unis d’Afrique” | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique

Thierry Henry veut-il jouer pour l’équipe de Guadeloupe ?

image Guadeloupe-Thierry-Henry

Thierry Henry pour la Guadeloupe ? Le plus grand buteur français de l’histoire a tenu à encourager les Gwada Boys. Car pour lui, originaire de Guadeloupe et international français à 123 reprises, la question ne se pose pas.

Thierry Henry pour la Guadeloupe
Thierry Henry pour la Guadeloupe

Après le président de la Fédération française (FFF), Fernand Duchaussoy, la sélection régionale de Guadeloupe a reçu un autre soutien de poids avant de débuter la Gold Cup, face au Panama.

Même s’il joue aujourd’hui aux Etats-Unis, qui accueille la compétition, l’attaquant des Red Bulls de New York «roule pour la Guadeloupe», déclare-t-il sur le site officiel de l’épreuve.

«Sans manquer de respect aux Etats-Unis et au Canada», les adversaires des Guadeloupéens dans le groupe C, le meilleur buteur de l’histoire des Bleus préfère soutenir le département d’outre-Mer.

En fin connaisseur du football, il trouve même «incroyables» leurs résultats obtenus en 2007 (demi-finales) et 2009 (quarts de finale). «Ils doivent être fiers d’être ici, ajoute-t-il, même si leur groupe est difficile».

The changes within a relationship by Nina Mayers

images Changes by Nina Mayers

Changes by Nina Mayers

“We gotta make a change…

It’s time for us as a people to start makin’ some changes.” Tupac

From the title and above quote one would think that am talking about the changes around us, but no, here I am once again giving my “expert” advice (see disclaimer) from a female perspective on the changes that one undergoes within a relationship. You would be surprised how perspectives differ.

This is a story about Trina and Kevin. Trina never really expected much from men; having been in and out of numerous unsuccessful relationships. She had even began to give up on the male species all together, until one day – hold and behold, Kevin came along. He felt different. He treated her like a princess, doing all the right things and saying all the things that mattered. Like most men, in the courting phase; he accustomed her to loving messages, unconditional love, attentive conversations, flirtatious scenarios and utmost and constant attention. Trina was sure to receive an email each morning; a text at lunch, a phone call in the evening and an occasional gift ‘just because’. Experience told her to not let her guard down, to be cautious and take it all with a grain of salt. Love on the other hand told her, this man cared about her; so she should start reciprocating his love. And so like any normal person, Trina began to show the same attention she had been getting all along, for her it was only conventional. What better way to express oneself than to share with another. Bliss. A loving relationship based on mutual respect was developing and like most women, she began to develop a dependency – not an unhealthy one; but one of love. It continued like this for months.

And then one day, Kevin became complacent. The balance of power and emotion shifted completely; his caring words from days past no longer came at an habitual pace; his emails decreased and his text messages became sporadic. The phone calls still came, but Trina in this new quest for a “good relationship” compensated by filling in the void Kevin had left. Now she was sending the messages in the hopes that he would reply. When he didn’t call she often dialled and when it often frustrated her, she simply assumed that he was perhaps busy and that now that they were an ‘item’ it was okay for her to do her part too….

You know this story, you know how it ends…. Sometimes the Trinas suddenly become the dependent women whose lives center around the Kevins; she puts him first and he knowing that she loves him no longer has to work for her attention. He becomes distant to the point of even being “unrecognisable” and still the love of Trina inhibits her from detaching herself emotionally and saying… “stop! Hold on, this is not the man I fell in love with” – she begins to make excuses for him and well… When the man is not mature enough to change his ways, too often too sadly the relationship ends.

Don’t get me wrong, some Trinas end up restoring the balance and the Kevins resume their better ways.

But for the purposes of “The changes within a relationship”, I want to deal with the Kevins that do change and the Trinas that let them. So changes….

Should we condemn Trina for reciprocating this love? And what of Kevin who all of a sudden doesn’t follow the norms previously established? Is it safe to say that, Kevin was simply enticed by the chase? And if so, should we the Trinas of this world spend our times playing hard to get? Do the games ever stop?

Am asking questions; I unfortunately don’t have the answers too – so my “expert” advice suddenly just goes down the drain along with all the misconceptions and theories I could come up with, because at the end of the day there is a few things and only a few things I would like to impart on you my dear friends…

A relationship is about respect. For me, this means the world. This also means that when you decide to accustom, teach and create a certain routine within a relationship; you have to give yourself the means and the latitude to ensure that you will CONTINUE to give that same treatment you started off with. Why? Because as human beings, as emotional women (strong & attached) we fall in love with THAT aspect of your behaviour – we hope that you remain that same man; because if not – what makes you different from Jason down the street – who could simply decide to do all that and just get in bed with me? For someone like Trina who is at wits end; I wouldn’t blame her if she ended the relationship as soon as she saw signs of change. Not because she’s not happy; but because her alarm is ringing off in her head and she’s saying, “no, i don’t want to do this again”, because if she is right then you will be another number in her life, another disappointment and if she is wrong – what’s the price to pay to find out?

To the men, I say #Be respectful; and learn to discern the changes around you – communicate those changes, you will only be considered a better man for talking about them – rather than playing into the blinded loving naiveté of your women.

I personally simply play hard to get :) (works for me) – but I learnt the hard way (one time) that sometimes; you pass up an opportunity when you choose to be strong headed. So I will let each woman decide for herself. I don’t think there is a right way to deal with it, the heart wants what the heart wants and the mind well, you know how that goes…. However, when you do notice that “Change”, speak up! Don’t assume that it will get better; don’t make excuses and please, please don’t become equally as complacent. “Take a stand” – because at worse; you will be WRONG -But you will have avoided that “transitional phase of what ifs and whys” and at BEST you will have addressed the issue and continue to live a prosperous relationship. Nota Bene: Remember, addressing an issue doesn’t mean making an “issue” out of it; be calm, poised and reasonable when doing so; don’t attack and chastise, just put the problem out there without sounding accusatory or judgemental; because remember you are not complaining about the “relationship” you are simply asking why the change ? (so that the relationship can take back the full cruise course it was in)

To the women, I say doubly, “be respectful” … Give as much as you want back (even though we know our motherly natures allow us to give so much more). Learn to detach yourselves emotionally so that you can make your demands. And although this whole text has been about the men that change, some women do too… So be real and always be the one whom he intially came for…

That’s it from me tonight… (I have to end by saying; some change is good IF you are both on board with it :) )

Deuces!

P.S: When am happy, you’re happy… so if you think you fallen into the trap – hit the “RESET” button; its never too late to make a change ;)

Editors Note: I would particularly, like to hear back from the men on this one… Because my assumptions are purely based on observation – perhaps they too can tell us why they change.

Les Qr Code, ça sert à quoi au juste ?

qr code

Le QR Code est à la mode. Les annonceurs, artistes et autres “smartphoniens” y voient un nouvel outil de publicité et de partage d’informations. Et tous semblent s’y mettre.

Inventé en 1994 au Japon, le Qr code a fait son chemin. D’abord en Asie, puis aux Etats-Unis, il continue maintenant sa conquête en Europe comme le nouveau code-barres.

En fait, à la différence d’un code barres classique, le code QR peut contenir beaucoup d’informations : 7089 caractères numériques, 4296 caractères alphanumériques, contrairement au code-barres normal qui ne peut stocker que de 10 à 13 caractères ou 2953 octets !

Les dix commandements du QR Code selon Unitag :

I. Tu choisiras ton type de QR Code.
II. Tu personnaliseras ton QR Code.
III. Tu contrasteras les couleurs.
IV. Tu adapteras la taille de ton code.
V. Tu sélectionneras ton support.
VI. Tu optimiseras la visibilité de ton QR Code.
VII. Tu t’assureras de la présence d’un réseau téléphonique adapté.
VIII. Tu indiqueras le fonctionnement de ton QR Code.
IX. Tu offriras de la valeur ajoutée.
X. Tu mèneras ton QR Code sur un site MOBILE.

Si besoin est, il existe des sites permettant de créer son propre QR Code comme : qrcode.kaywa

Alors, effet de mode ou réel usage ?? Partagez vos avis. 

Aliko Dangoté 51ème fortune mondiale et première fortune africaine

image Aliko Dangoté 51ème fortune mondiale et première fortune africaine
Aliko Dangoté 51ème fortune mondiale et première fortune africaine

Aliko Dangoté première fortune africaine. Dans le dernier classement des milliardaires mondiaux publié par le magazine Forbes, le Nigérian Aliko Dangoté est devenu l’homme le plus riche d’Afrique.

Celui qui était déjà l’un des hommes forts du continent se voit decerné pour  la première fois le titre d’Africain le plus riche avec une fortune estimée à 13,8 milliards de dollars en mars 2011 (soit 9,8 milliards d’euros, ou encore 6418 milliards de francs cfa) .Entre 2010 et 2011, sa fortune a augmenté de 557% (plus forte progression en pourcentage sur un an de toute la liste ndlr).

image Aliko Dangoté 51ème fortune mondiale et première fortune africaine
Aliko Dangoté 51ème fortune mondiale et première fortune africaine

Dangoté Cement la source de la richesse

C’est l’entrée en bourse de Dangote Cement  intègrant tous les investissements sur le continent africain de Dangote qui a fait bondir sa fortune. À elle seule, Dangote Cement représente 25% de la capitalisation de la bourse de Lagos (Dangote est le plus gros producteur de ciment du continent africain NDRL).

Les autres sociétés d’Aliko Dangote cotées en bourse sont Dangote Sugar Refinery, Dangote Flour Mills et National Salt Company. L’homme d’affaires nigérian possède encore plusieurs autres sociétés qui n’ont pas été introduites en bourse.

Tia Norfleet The First African-American Woman In NASCAR ?

Tia Norfleet
Tia Norfleet

Growing up the daughter of a minister and a professional racecar driver (Bobby Norfleet) Tia Norfleet could be The First African-American Woman In NASCAR ?

Tia Norfleet is used to breaking barriers. She’s used to being overlooked, and she well knows the low odds and risks involved. None of this matters though. Racing … is her life. Female drivers are rare enough, but an African-American as well? It’s never been done.

NASCAR’s Managing Director of Corporate Communications is Ramsey Poston. While he remains eager for Tia to help diversify the sport, he’s also realistic of the challenges and pitfalls that she — like any young prospect — will surely face.

Tia Norfleet
Tia Norfleet

“The chances of success for any driver are always tough. These are the best drivers in the world. It’s like any other professional sport.”

Poston however, is also cognizant of a key and distinct advantage Tia has.

“When you grow up in the sport and you have the guidance and tutelage of a father figure to explain to you the right path to take for success, than it’s always helpful.”

While Tia has learned to live in the moment, she realizes the implications of her career and will stop at nothing to earn her NASCAR stripes. Even though she’s the only black female in the sport, she doesn’t hesitate. In fact, she accelerates.

“I like to hang in there with the guys,” she says eagerly. “I really love to compete. At that moment [when I was 14], when my adrenaline was rushing and I was just so into it I realized that this is something I could actually do for free.”

Racing, after all, is her destiny.

Projecteur sur ABaCoDe, association pour développer le basketball en Ouganda

image Découvrez ABaCoDe, un projet de développement du basketball en Ouganda

Deux ans après un premier séjour à Kampala, la plus grande ville d’Ouganda, Simon Gillespie et Nicolas Michaud ont remis les pieds en Afrique cet été. Leur mission consistait à offrir la chance à des jeunes de pratiquer le basketball en Ouganda.

Plus de 100 participants étaient du tournoi et pour l’occasion, le ministre des Sports et la ministre de la Jeunesse du pays avaient été invités à y assister. De plus, à la suite de cette compétition, des cliniques d’information pour les entraîneurs et pour les jeunes ont aussi été instaurées. ABaCoDe, ou African Ball and Community Development, est un organisme sans but lucratif, dont l’objectif principal est d’aider les jeunes Africains à travers le sport.

Pourquoi le basketball ? « Parce que c’est notre passion, c’est un sport qu’on connaît bien et parce qu’au départ, on ne voulait pas leur imposer un sport. Dans ce pays, le basketball est une discipline toujours en expansion », mentionne Simon Gillespie, en entrevue avec le journal Les Versants.

En 2008, lors d’un premier voyage en Ouganda, les deux collègues se rendaient sur place afin de vérifier si leur projet était possible, si leur idée pouvait se concrétiser. Cet été, lors de leur retour de mai à août, ils ont conclu un partenariat avec la Mengo Senior School, une école secondaire composée de jeunes de 12 à 18 ans.

En échange d’un vieux terrain de basketball qui appartenait à l’école, les deux Montarvillois s’engageaient à former une équipe avec les étudiants. Au départ, leur projet s’adressait aux jeunes de la rue, qui n’allaient pas à l’école, qui ne faisaient rien de leur journée et ne parlaient pas anglais. « Ce que nous voulions, c’était de prendre les jeunes de la rue et les amener à jouer à autre chose que du soccer, leur inculquer de nouvelles valeurs et leur apprendre un sport collectif.

Grâce à l’école, nous avons rapidement eu accès à un terrain, mais celle-ci désirait quelque chose en échange, souhaitait être aussi gagnante dans cette collaboration », explique Simon Gillespie. En formant une équipe sportive avec les écoliers, les enfants de la communauté avaient en échange aussi accès au terrain.

Retrouvez la suite de leurs passionnantes aventures sur jet7basket.

La culture coloniale ou le subconscient français

La culture coloniale ou le subconscient français. Pascal Blanchard a travaillé sur la notion de culture coloniale en s’attachant aux conséquences, dans les métropoles, des enjeux coloniaux et leurs influences idéologiques.

La culture coloniale ou le subconscient français
5904/3- Manifestation DOM-TOM (Antillais) à Paris – employés des PTT (Postes) – 1973 – immigrés
©Gerald Bloncourt

Pascal Blanchard a étudié la question dans les domaines de la culture, de la politique, des expositions et de la littératures ! Il a publié de nombreux ouvrages et études dans cette perspective (notamment Images et coloniesMiroirs d’EmpireCulture colonialeCulture impérialeCulture post-coloniale).

Le dernier volet de ce travail a été publié aux CNRS Éditions (2008), dans le cadre d’un ouvrage collectif, sous le titre : Culture coloniale en France. De la Révolution française à nos jours (sous la direction de Pascal Blanchard, Sandrine Lemaire et Nicolas Bancel).

Voir la vidéo sur le La culture coloniale ou le subconscient français

Remember Gil Scott Heron one of the progenitors of hip-hop

Remember Gil Scott Heron. As an influential poet and musician, Scott-Heron is often credited with being one of the progenitors of hip-hop.

His collaborative efforts with musician Brian Jackson featured a musical fusion of jazz, blues, and soul, as well as lyrical content concerning social and political issues of the time, delivered in both rapping and melismatic vocal styles by Scott-Heron.

Remember Gil Scott Heron
Gil Scott Heron

His own term for himself was “bluesologist”, which he defined as “a scientist who is concerned with the origin of the blues.” 

His music, most notably on Pieces of a Man and Winter in America in the early 1970s, influenced and helped engender later African-American music genres such as hip hop and neo soul.

It’s impossible not to also recall his masterpiece jam, and some say, self-fulfilling prophecy, In The Bottle From his 1974 album “Winter In America”.  

Bonus track : The Revolution Will Not Be Televised (Full Band Version)

The Way you Make me Feel by Nina Mayers

image cameroun love

The Way you Make me Feel. It was July eleventh ninety eight five when we first met. You welcomed me into this world with love, warmth and tenderness.

Little did I know that our paths would cross numerous times over the years. We were separated much too early and much too quickly. It was only 14 months after that first encounter, and my parents whisked me away and introduced me to another. He was rough, much like a savage… He did not share the finesse you had. He was loud, and lacked the love and compassion I needed. But it did not matter; we were forced together for the next five years and he gave me a home. He gave me friends that I no longer know today, he gave me my first real education and cemented the foundation for the person I soon became… for that I am eternally grateful. In the time that I spent with him, I went from baby steps to travelling on my own – I grew. I admit, I often ran away to see you… as always you welcomed me with open arms, you made me dream of the possibilities and every time I came back to him, I wandered when we would be together again.

…..

It was June nineteen ninety two when I laid eyes on you and was cognizant of the feelings bottled up inside. We were reunited – I will never forget that feeling, I had ran away, for good this time. There was no way I was going back to him. I snuck out of the house one summer with my aunt and never looked back. He would never see me again, and he had no idea. I was in paradise in your arms and nothing felt more natural. I was young and vulnerable, everything about you impressed me – your warmth; your tenderness and your sweet embrace.

……

A year later, in the summer of nineteen ninety three, my parents did not appreciate all the time we were spending together. They believed I still had a lot to learn, so, this time they introduced me to a woman – she would teach me the greater things in life.

They were prepared to let me explore the other side of things; they needed someone who would help me become a woman. I was older, still vulnerable but very curious. I remember her embrace: it was cold and sombre. We met in the middle of the night, or was it the early hours of the morning?…. dad was the one who introduced us; I was sceptical. I missed you and I wanted to come running back. But alas, this was my path now and I had to accept it. She took me in and as always gave me a home. It was weird for me, it was a whole new experience… she commuted with public transportation, she had huge big homes, and large green gardens… she spoke English and a foreign dialect; they called it Swahili – but to me it was gibberish. Her people where cold. They hardly looked at me as I walked the streets, I could not expect a simple hello. Daddy told me I would have to get used to her, he enrolled me in one of her best schools, he told me she would teach me to become a woman, he told me she would bring me utter joy – and because he was my daddy, the man that brought me into this world; I believed him. I put my fears aside and I plunged.

Eight years I gave her, eight years. I don’t regret it; she taught me the best things I know today. I was naughty, I was delinquent, I was good and at times I was just darn right insufferable. I matured here – she allowed me to develop and she pushed me to explore my potential. At times, I thought I was at my peak, the best I would ever be…she was preparing me for my big wedding, I did not know it at the time but they would send me millions of kilometres away to wed. In those eight years I saw you FOUR times, I could never seem to forget you. Every so now and then (every two years to be exact) I took time off to re-fuel… I came running to you, expecting you to understand why i was there.

The wedding was a year from now; far far away. My Parents knew I wouldn’t be coming back soon and allowed us to spend three glorious months together – there was never anyone like your first love. I discovered your inner core. I was here and we would make the most of it. We discovered the lands, and travelled the waters. We climbed mountains and sailed rivers. We were in unison. We learnt the languages, I perfected my French and we become one with the locals. Paradise I tell you. I was a young woman; you knew this because you offered me your best. I was ready for all and any challenges; if only I could stay with you, if only.

….

But as faith would have it. There was someone else waiting for me; the man who would severe the umbilical cord. We married in 2002. This is the man who would make me suffer like most adults do, who would teach me the true meaning of life. My big wedding was synonymous with “get out, be brave and conquer the world”. I met my best friends here but I never forgot you.

…..

It took me six years before I saw you again. I often thought about you. Today, I am here; but nothing is the same. We have grown apart – our relationship has deteriorated and am still trying to figure out why, I stayed honest to our love. You have changed, I have changed. But in spite of all your faults and weaknesses I still want you. You are my one true love; and no amount of time will change that. I am leaving you again; my divorce is not yet finalized. But, as soon as that part of my life is over – I will come running back, we will start again.

But know this, It often felt like I was cheating on you because I enjoyed the company of others; but my heart was always home. You have to understand, my life was not my own to live (for the first eighteen years) – they had already chosen a path for me, but now that I know the world, I know what I want…. Until we meet again; I remain rightfully yours.

Nota Bene: This is my Ode to Cameroon. My first love. The first man I met was Nigeria, the woman who made me mature was Kenya and the man I married was Canada. My love for Cameroun, my nation, and my hope that we can one day become a great nation is like a romantic dream. I believe in better social security, a more active citizenship and a responsible government. Just like that romantic dream, my dream for Cameroun has become illusive and sometimes feels unattainable. But don’t get me wrong, just like a hopeless romantic, I still dream and hope. Because hope is the most powerful tool for change!

If you could only wear one brand for the rest of your life ?

image If you could only wear one brand for the rest of your life ?

There’s a question i would ask to Miss Anna Wintour : If you could only wear one brand for the rest of your life what would it be ? And I bet she’s has no clue.

Il y’a une question que je voudrais poser à Mlle Anna Wintour: Si seulement vous pouviez porter une marque pour le reste de votre vie ce serait quoi? Et je parie qu’elle n’a aucune idée.

If you could only wear one brand for the rest of your life ?
If you could only wear one brand for the rest of your life ?

Alors ? Dites moi votre marque dans la section commentaire ou bien sur mon Twitter !

[via : fashionbombdaily]

10 Best Books on Presentations : Speaking PowerPoint

10 books to master powerpoint

PowerPoint or Keynote are important tools every student or worker should know. So take a look at these 10 must-read books to master your next visual presentation.

  • Story, Robert McKee : 

    In Story, McKee expands on the concepts he teaches in his $450 seminars (considered a must by industry insiders), providing readers with the most comprehensive, integrated explanation of the craft of writing for the screen. No one better understands how all the elements of a screenplay fit together, and no one is better qualified to explain the “magic” of story construction and the relationship between structure and character than Robert McKee.

  • Moving Mountains, Henry Boettinger

  • Advanced Presentations by Design, Andrew Abela :

    Advanced Presentations by Design overturns much of the conventional wisdom and practice for creating presentations. Based on over 200 research studies from the fields of communication, marketing, psychology, multimedia, and law, it provides fact-based answers to critical questions about presentation design, including how to adapt your presentation to different audience personality preferences, what role your data should play and how much of it you need, how to turn your data into a story, and how to design persuasive yet comprehensible visual layouts.

  • The Leader’s Guide to Storytelling, Stephen Denning :

    This revised and updated edition of the best-selling book A Leader’s Guide to Storytelling shows how storytelling is one of the few ways to handle the most important and difficult challenges of leadership: sparking action, getting people to work together, and leading people into the future. Using myriad illustrative examples and filled with how-to techniques, this book clearly explains how you can learn to tell the right story at the right time.

  • Resonate, Nancy Duarte (this one is a really great book) :

    Presentations are meant to inform, inspire, and persuade audiences. So why then do so many audiences leave feeling like they’ve wasted their time? All too often, presentations don’t resonate with the audience and move them to transformative action. Just as the author’s first book helped presenters become visual communicators, Resonate helps you make a strong connection with your audience and lead them to purposeful action. The author’s approach is simple: building a presentation today is a bit like writing a documentary. Using this approach, you’ll convey your content with passion, persuasion, and impact.

  • Beyond Bullet Points, Cliff Atkinson :

    Unlock the amazing story buried in your presentation—and forget boring, bullet-point-riddled slides forever! Guided by communications expert Cliff Atkinson, you’ll walk you through an innovative, three-step methodology for increasing the impact of your presentation. Discover how to combine classic storytelling techniques with the power of visual media to create a rich, engaging experience with your audience. Fully updated for PowerPoint 2010, and featuring compelling presentation examples from classroom to boardroom, this book will help transform your presentations—and your business impact!

  • 7-Slide Solution(tm), Paul Kelly :

    A unique approach to organizing and constructing business presentations that draws on the insights of cognitive psychology and provides an infrastructure to build presentations that resonate with your audience like a good story.

  • The Story Factor, Annette Simmons :

    The new material for this revised edition offers an expanded case study of storytelling in action that focuses on one of Simmons’s success stories. Over one hundred stories drawn from the front lines of business and government, as well as myths, fables, and parables from around the world, illustrate how story can be used to persuade, motivate, and inspire in ways that cold facts, bullet points, and directives can’t. These stories, combined with practical storytelling techniquesshow anyone how to become a more effective communicator. From “who I am” to “I-know-what-you’re thinking,” Simmons identifies the six stories you need to know how to tell and demonstrates how they can be applied. This revised edition offers a guide to using storytelling in specific business circumstances, including corporate reorganizations, layoffs, and diversity issues.

  • Transformational Speaking, Gail Larsen :

    While most books on public speaking focus on polishing your presentation and overcoming fear, Larsen’s holistic blend of spirit and logic goes far beyond the standard format, making TRANSFORMATIONAL SPEAKING a must-read for even the most seasoned speechmakers. With her uniquely inspirational approach, Larsen reaches out to those who want to make a genuine difference in our world by changing minds through touching hearts.

  • Made to Stick, Chip & Dan Heath (great ideas to make your ideas stick) :

    Made to Stick is a book that will transform the way you communicate ideas. It’s a fast-paced tour of success stories (and failures)–the Nobel Prize-winning scientist who drank a glass of bacteria to prove a point about stomach ulcers; the charities who make use of “the Mother Teresa Effect”; the elementary-school teacher whose simulation actually prevented racial prejudice. Provocative, eye-opening, and often surprisingly funny, Made to Stick shows us the vital principles of winning ideas–and tells us how we can apply these rules to making our own messages stick.

Which book you recommend to master Power Point ?

Tres Chic Styling, au service des fashionista

Tres Chic Styling, au service des fashionista. Très Chic Styling est une marque de mode montréalaise qui propose vêtements de grands couturiers et accessoires de luxe à des prix « marchandés ». Alors qui se cache derrière ce concept fort efficace ?

Au service des fashionista, nous rencontrons Maryam Rafa la co-foundatrice et Directrice Creative de Très Chic Styling. Elle a étudié le design et la mode à l’Académie Internationale du Design de Montréal avant de déménager à New-York afin d’y poursuivre une carrière dans la mode.

“L’opportunité de travailler avec quelques-uns des meilleurs créateurs américains, d’exercer ses talents de styliste à de nombreuses séances photo, de participer à plusieurs défilés de mode internationaux, et auprès de nombreux personnalités mondaines new-yorkaises m’a donné l’envie d’apporter cette qualité de soutien à des non-célébrités.

De retour à Montréal, Maryam s’est donc tournée vers le conseil en image.  En tant que spécialiste de la confiance en soi et d’astuces universelles de mode, elle s’impose dans le paysage des “relookeurs”.

Alors ? Avez-vous déjà testé la boutique de Maryam ? Dites moi ce que vous en pensez dans la section commentaire ou bien sur mon Twitter !

Académie African Football : la dream team panafricaine

African football Dream Team braque les projecteurs sur le talent de jeunes joueurs africains.

Avec le concours du gouvernement équato-guinéen, c’est le Complexe Omnisports de Malabo, spécialement conçu pour accueillir la prochaine Coupe d’Afrique des Nations de 2012, qui abritera cette 1ère édition de l’African Football Dream Team durant l’été 2011.

En effet, l’émission qui débutera en juillet, s’achèvera en septembre 2011. Patrick Mboma sera à la présentation, Ménélik assurera la direction artistique de cette télé réalité footballistique.

image Académie African Football : la dream team panafricaine
image Académie African Football : la dream team panafricaine

En tout, le projet réunit 38 jeunes joueurs licenciés et âgés de 16 à 18 ans. Ils sont recrutés à travers nations du football africain (Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Gambie, Guinée Equatoriale, Mali, Bénin et Sénégal) et sont réunis dans le complexe omnisports ultramoderne de Malabo en Guinée Equatoriale pendant 8 semaines de compétitions et de cours pratiques.

Au terme d’un système d’élimination, seuls 11 joueurs auront la chance de faire partie de “la dream team panafricaine” finale et auront la chance d’être sélectionnés par les grands clubs de football.

vimeo.com/29550263

Gardien : Drissa TRAORÉ- N°08- Burkina Faso

Défenseurs : Inoussa KONÉ-N°30 Côte D’Ivoire – Boris TAMKO-N°22 Cameroun – Moussa DOUCOURÉ-N°26 Mali – Alajie BAH-N°15 Gambie

Milieux de terrain : Bubacarr TRAWALLY-N°11 Gambie – Bonieck FAAH-N°17 Gabon – Arsène LOKO – N°33 Bénin élu dream player

Attaquants : Nestor YAOVI-N°31 Bénin – Mathieu AKAM-N°06-Gabon – Dimingo MANNEH-N°03 Gambie

L’enjeu : Un stage de 4 semaines dans un grand club international et la somme globale de 110 000 Euros pour l’équipe gagnante.