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La Ligaf : Ligue du soccer africain au Québec

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La Ligaf bat son plein. Les équipes du Bénin, Cameroun, Guinée et Sénégal version Montréal sont au centre de toutes les discussions.

En 1989, une nouvelle ligue de soccer voit le jour à Montréal, elle est le fruit du labeur des membres de l’Association Africaine des Sports et Loisirs au Québec (AASLQ), qui avaient pour motivation principale de permettre aux Amateurs de soccer de la ville de profiter d’une ligue ou les différentes communautés s’identifient à leur équipe et se rassemblent dans les gradins dans une ambiance bon enfant.

La Ligaf, nom rajeuni de la défunte Ligue Africaine, a débuté au parc Jarry avant de lever le camp pour s’installer en face du fameux Tamtam montréalais au parc Jeanne Mance, puis Louis Riel, avant de finalement se baser définitivement au Parc Kent qui répond parfaitement aux exigences de la ligue par la présence de gradins pour accueillir les 500 spectateurs, passants et curieux (plus de 1000 pour la grande finale qui est le seul évènement de l’année qui se joue à guichet fermé au parc Kent) qui viennent s’entasser chaque fin de semaine pour admirer plus de 20 équipes se livrer une lutte acharnée tout au long de l’été pour le titre.

Aujourd’hui, plus de 500 joueurs évoluent dans les différentes divisions de la Ligaf (ligue africaine) de soccer, ce sont 500 joueurs provenant de plus de 30 pays bien différents, qui assurent le spectacle chaque samedi et chaque dimanche de l’été à Montréal.

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Nous vous présentons la vidéo promotionnelle de CAMEROUN SOCCER l’association responsable des Lions du Cameroun version Amérique !

 

Hip-Hop et basketball, le parfait crossover ?

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Le site Neo Boto s’est intéressé aux liens étroits entre le basket, et plus particulièrement la NBA, et le hip-hop.

Jay-Z, qui est propriétaire des Net, Shaquille O’Neal proche de Notorious B.I.G, Master P. qui fait des essais en NBA, Snoop qui participe au All-Star game des célébrités : on ne compte plus les joueurs NBA à avoir entrepris d’embrasser une carrière de MC.

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Si certains s’y sont essayés avec plus ou moins de succès, d’autres regretteront certainement leurs ambitions démesurées (Jason Kidd, Kobe Bryant, Allen Iverson, ou Ron Artest). Qui a parlé de Tony Parker ?

Faméliques et sujettes à des railleries justifiées, les pistes enregistrées par ces sportifs vantards et dénués de sens critique mettent en exergue les liens de parenté évidents entre les deux mouvements, tous deux puisant leur source dans l’adversité et le besoin de prouver une supériorité apparente.

LISEZ LE DOSSIER COMPLET SUR  NEOBOTO…

Vitiligo : Michael Jackson speaks about his disorder with Oprah

Michael Jackson was suffering from Vitiligo, a chronic disorder that causes iregular depigmentation in patches of skin.

Vitiligo is a condition that causes depigmentation of sections of skin. It occurs when melanocytes, the cells responsible for skin pigmentation, die or are unable to function. The incidence worldwide is less than 1%. The most common form is non-segmental vitiligo, which tends to appear in symmetric patches, sometimes over large areas of the body.

There are a number of treatments for vitiligo. Treatment options generally fall into four groups :

  • UVB phototherapy
  • PUVA phototherapy
  • Transplanting melanocytes
  • Skin camouflage
  • Reversal
  • De-pigmenting
  • Non-segmental
  • Segmental

Now watch the famous exclusive interview with Oprah Winfrey on February 10, 1993, where Michael Jackson reveals his condition to the world.

Le deuxième sommet Afrique-Inde à Addis-Abeba

L’Inde renforce chaque jour un peu plus ses liens avec le continent africain. Le deuxième sommet Afrique-Inde, qui se tient du 20 au 25 mai 2011 à Addis-Abeba, est une nouvelle occasion de le démontrer. Enquête sur un partenariat « équitable »… Mais non dénué d’intérêts.

« C’est le partenariat préféré des responsables afri­­cains », disait récemment le Gabonais Jean Ping, président de l’Union africaine (UA), évoquant les liens économiques que le continent est en train de nouer, ou plutôt de renouer, avec l’Inde. Car les relations indo-africaines remontent aux temps anciens, notamment à l’époque de la fameuse route de la soie ou lorsque les voiliers indiens traversaient régulièrement la mer d’Oman pour aller approvisionner en épices et en bijouteries diverses le puissant royaume d’Aksoum.

Plus tard, au XVIe siècle, quand les Portugais tentèrent d’introduire dans les régions côtières des perles de verre de fabrication européenne, ils manquèrent de justesse de se faire jeter à la mer tant les Africains s’étaient entichés des écrins de perle « made in India » vulgarisés par les marins venus de la côte de Malabar. Les échanges entre les deux régions se sont ensuite intensifiés, avec l’arrivée massive en Afrique des manœuvres, puis des boutiquiers indiens dont les petits- et arrière-petits-enfants constituent aujourd’hui, notamment au Kenya et en Afrique du Sud, une diaspora dense, forte de plus de 2 millions d’âmes. Lors du deuxième sommet Afrique-Inde, qui se tient du 20 au 25 mai à Addis-Abeba, siège de l’UA (Éthiopie), il sera sans doute beaucoup question de ce riche passé, mais surtout des liens étroits et « mutuellement bénéfiques » que les entrepreneurs et commerçants de l’Inde moderne sont en train d’établir avec leurs homologues africains.

Solidarité Sud-Sud

En effet, après avoir stagné pendant plusieurs décennies, les relations économiques indo-africaines sont de nouveau sur une pente ascendante. En témoigne la hausse phénoménale des échanges commerciaux bilatéraux, passés de 967 millions de dollars en 1991 à 51 milliards de dollars (38,5 milliards d’euros) en 2010. Parallèlement, les investissements indiens – entre 30 milliards et 50 milliards de dollars – se sont diversifiés, et ne se limitent plus aux pays anglophones de l’Afrique de l’Est et aux États riverains de l’océan Indien, partenaires traditionnels de New Delhi. Ils touchent aujourd’hui l’ensemble du continent, de Dakar, où le géant de l’agroalimentaire Iffco est entré au capital des Industries chimiques du Sénégal (ICS), à Abidjan, où les bus Tata ont fait leur apparition. Cette offensive se déploie dans le cadre d’une politique affichée de solidarité Sud-Sud, fondée sur le développement local et les transferts de technologies

Un idéal gandhien

Cette collaboration accrue puise en partie son inspiration dans les propos de Gandhi, père de la nation indienne, qui avait débuté sa carrière politique en Afrique du Sud avant de venir prendre la tête de la résistance populaire contre les occupants anglais : « Le commerce entre l’Inde et l’Afrique consistera à échanger des idées et des services, et non des biens de consommation contre des matières premières, comme cela se passait avec les Occidentaux colonialistes. »

« Coopération équitable », « renforcement des capacités », « développement durable »… Autant de formules que martèlent les héritiers de Gandhi pour se démarquer des Occidentaux mais aussi des Chinois – surtout soucieux de sécuriser leurs approvisionnements en matières premières – qui les ont précédés en Afrique avec la vigueur que l’on sait. Les projets inscrits dans le Joint Action Plan établi par New Delhi dans la perspective du sommet d’Addis-Abeba font écho à cet idéal gandhien.

Ce plan d’action prévoit la création d’une Bourse d’affaires panafricaine et d’établissements d’enseignement supérieur. Financées par les Indiens, ces grandes écoles, dont certaines vont ouvrir leurs portes dès cette année au Burundi et en Ouganda, proposeront des enseignements de haut niveau dans des domaines aussi variés que le management, la planification de l’enseignement supérieur et les technologies de l’informatique. Des instituts professionnels formeront pour leur part les jeunes adultes à un métier, par exemple celui de joailler-diamantaire à l’India-Africa Diamond Institute qui s’établira au Botswana d’ici à deux ans – neuf autres suivront.

L’Inde développe aussi depuis 2004 le Pan-African e-Network, qui sera étendu à terme à tous les pays africains. Ce réseau électronique, qui relie les grandes villes d’Afrique aux universités et aux hôpitaux ultraspécialisés du sous-continent indien, s’inscrit dans un projet de télémédecine et de télé-enseignement. Last but not least, des pourparlers sont en cours entre l’UA et le gouvernement indien pour la création d’une Silicon Valley africaine. Ce projet, dont la localisation n’a pas encore été déterminée, vise à promouvoir la recherche et la création dans le domaine des hautes technologies.

Matières premières

Il serait toutefois erroné de croire que ces initiatives, pour originales qu’elles soient, sont totalement désintéressées. Tout comme la Chine, l’Inde s’intéresse de près au marché africain des matières premières. « Il ne faut pas se leurrer, affirme Olivier Guillard, directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris, à Paris). La priorité des Indiens, c’est d’abord l’approvisionnement en énergie et en ressources minérales, dont le pays a besoin pour soutenir son industrialisation. » Avec tous les petits arrangements clientélistes et affairistes que ce genre de deals suppose. New Delhi a ainsi signé des accords de collaboration avec des pays producteurs pour l’importation de charbon, d’uranium et plus particulièrement de pétrole.

Avec une croissance économique moyenne de 8 % sur la décennie écoulée, le pays a vu ses besoins en énergie monter en flèche. Obligé d’importer jusqu’à 80 % de son pétrole, il doit sécuriser ses sources d’approvisionnement en les diversifiant. Au cours des dix dernières années, New Delhi s’est donc tourné vers l’Afrique et l’Amérique latine afin de réduire sa dépendance à l’égard du Moyen-Orient, qui demeure aujourd’hui encore sa principale source d’importations (66 %).

Aussi n’est-ce pas un hasard si, en 2007, Abuja a reçu la première visite en Afrique d’un Premier ministre indien – Manmohan Singh – depuis le déplacement de Nehru en 1962 : le Nigeria est le principal fournisseur africain en brut (11 %) de l’Inde. Juste derrière, le Soudan lui livre annuellement 3,2 millions de tonnes de brut, en échange d’une participation indienne (25 %) au capital de Greater Nile Petroleum Operating Company. New Delhi convoite également les gisements pétrolifères de l’Angola, de l’Ouganda et du Ghana. Pour financer les acquisitions de la société publique Oil and Natural Gas Company (ONGC) dans ces pays, le gouvernement indien vient de créer un fonds souverain qui lui permettra d’être à égalité avec ses concurrents.

Lire l’article sur : Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique

Haitian Child Prodigy Speaks Six Languages and Plays Seven Instruments !

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At the tender age of five Haitian Child Prodigy Mabou Loiseau can speak six languages and play seven instruments.

She has grown up speaking English, French, and Creole, but her parents, who are immigrants from Haiti, did not want to limit her to just these three.

In addition to these languages, she is learning Spanish, Mandarin, Arabic, and Russian. As of now Mabou dreams of being a firefighter, doctor, dancer, and a princess ! We are sure the future is nothing but bright for this child prodigy.

Loiseau’s parents tells the tutors to play with Mabou, speaking in their native language, for half of the lesson. They spend the other half reading, writing and practicing vocabulary.

She said a sure way to make the opinionated only child behave is to threaten to cancel one of her lessons – especially Russian.

“It’s a great experience for me, honestly. A lot of even adult people can’t understand what she does,” said Rogneda Elagina, 24, Mabou’s Russian tutor. “We like to read together … we started with the alphabet and connecting letters and now she can read real folklore.”

Mabou’s dad works 16 hours a day as a parking attendant in Manhattan to pay for everything and the Loiseaus have also started hosting other students for classes at their house.

The proud parents homeschool Mabou but found out last week that she scored in the 99th percentile on the city test for gifted and talented schools.

Oh did we mention she’s also learning to play the harp, clarinet, violin, guitar and piano… when she’s not taking ice-skating or swimming lessons !

http://www.youtube.com/watch?v=qIvZUkWvmac

Se soigner par la musique ou l’histoire de Bobby Hebb

Le 23 Novembre 1963, le lendemain de l’assassinat de John F. Kennedy, le frère de Bobby Hebb est poignardé mortellement lors d’un combat à l’extérieur d’un night club de Nashville.

Bobby Hebb est anéanti par les deux évènements et cherche le réconfort dans l’écriture. La chanson qu’il écrit est Sunny.

Quelques années plus tard le groupe Boney M en fera le remix version disco.

Sunny, yesterday my life was filled with rain.
Sunny, you smiled at me and really eased the pain.
The dark days are gone, and the bright days are here,
My Sunny one shines so sincere.
Sunny one so true, I love you.

Sunny, thank you for the sunshine bouquet.
Sunny, thank you for the love you brought my way.
You gave to me your all and all.
Now I feel ten feet tall.
Sunny one so true, I love you.

 

KiyiKaat : la librairie Afro-caraïbéenne de Montréal

image KiyiKaat : la librairie Afro-caraïbéenne de Montréal

Petite nouveauté dans le secteur culturel de Montreal : Kiyikaat la librairie Afro-caraïbéenne.

Ce qui est d’autant plus intéressant c’est la présence de  KiyiKaat Éditions. KiyiKaat Éditions est la maison d’édition spécialisée dans la production de connaissances afro-centristes. Notamment par l’édition d’ouvrages littéraires et audiovisuels pour valoriser les richesses culturelles, humaines, économiques et intellectuelles des communautés africaines et afro-descendantes.

Aussi KiyiKaat Éditions compte donner la parole à des auteurs d’essais, de romans, de récits, de travaux scientifiques, de bande dessinée, de documentaires ou reportages vidéos, etc. qui se rapportent aux questions de société telles que l’histoire, la culture, la religion, l’éducation, la jeunesse, la gestion des ressources, la santé, les systèmes politiques, etc.

Un vaste programme sur lequel vous trouverez plus d’informations sur le site de la librairie Afro-caraïbéenne  : www.kiyikaat.com

Adresse de la Librairie KiyiKaat : 5633 Chemin de la Côte-des-Neiges Montréal

Pourquoi le gospel attire les jeunes de banlieues ?

gospel
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Le mot gospel signifie « évangile » : littéralement God spell, c’est-à-dire « incantation de Dieu ».

Le gospel est essentiellement un courant, une mutation des chants rituels protestants blancs. Depuis les années 1870, les instruments sont de plus en plus présents aux offices : orgue, harmonium, instruments à cordes, à cela s’ajoutent les claquements des mains et mouvements du corps.

Le début du xxe siècle voit surgir une véritable effervescence artistique pour les Noirs. Les hymnes gospels deviennent officiellement des musiques gospel dont les bases sont à la fois simples et sophistiquées.

gospel

Le gospel est incontestablement une révolte musicale contre une Amérique raciste. C’est une expression de la souffrance des noirs récemment émancipés, mais encore sous l’autorité blanche, particulièrement dans les États du Sud.

Aujourd’hui cette musique se décline en plusieurs genres (southern, celtics, christian country), mais c’est le urban contemporay gospel qui se fait le plus en plus d’adeptes. Prenez connaissance de ce reportage avec DJ Smooth Ls.

À la découverte de l’Ile de Goree au Sénégal

Gorée ou lÎle de Goree  est à la fois une île de l’océan Atlantique nord située dans la baie de Dakar (Sénégal) et l’une des 19 communes d’arrondissement de la capitale.

C’est un lieu symbole de la mémoire de la traite négrière en Afrique, il est distingué à ce titre par l’UNESCO. L’atmosphère attachante d’une île sans voitures ni bicyclettes, les tons pastels de ses façades, son climat agréable, mais aussi la proximité de la capitale ont conduit de nombreux artistes à s’établir à Gorée, temporairement ou définitivement.

Regardez la bande-annonce du film de Olivier Cogels sur l’île de Gorée au Sénégal : le joyau du Senegal !

Version complète sur www.goreevideo.com

Goree Ile Senegal
À la découverte de l’Ile de Goree au Sénégal

L’oeuvre d’art Barcelone vs Real Madrid de Luke Arthur

Barcelone vs Real Madrid de Luke Arthur. J’adore ces versions artistiques et fluides de videos. Ca transforme la performance incroyable du Barca en une vraie oeuvre d’art, une reference dans l’Encyclopedie du football. La musique s’appelle Lady Labyrinth par Ludovico Einaudi.

L'oeuvre d'art Barcelone vs Real Madrid de Luke Arthur

Barcelone vs Real Madrid by Luke Arthur. This video perfectly represents the canvas of the Nou Camp on which Barcelona painting its masterpiece, a reference match for the ages. Music is Lady Labyrinth by Ludovico Einaudi

Edit : More Richard Swarbrick animations available

Twitter : wwww.twitter.com/RikkiLeaks
Website : http://www.richardswarbrick.com/
Created for Sky Sports.
Produced by Luke Arthur. @LukeRArthur

Lebron James cracks the top 10 forbes 100 most powerful celebrities

image Lebron James cracks the top 10 in list of 2011 forbes 100 most powerful celebrities

Lebron James cracks the top 10 in list of 2011 forbes 100 most powerful celebrities.

The list is composed of 100 powerful celebrities around the world and measures entertainment related earnings as well as media visibility. Earnings, press mentions, Twitter and Facebook followers are all taken into account when being ranked.


 

Lebron James dans le top 10 de la liste forbes des 100 célébrités les plus puissantes en 2011.

La liste est composée des 100 célébrités les puissantes du le monde entier et mesure les gains financiers de l’industrie du divertissement ainsi que la visibilité médiatique. Les cachets, les mentions dans la presse, les fans Twitter et Facebook sont tous pris en compte lors de leur classement.

image Lebron James cracks the top 10 in list of 2011 forbes 100 most powerful celebrities

[via 305.com]

Moïse Katumbi, le gouverneur du Katanga

Moïse Katumbi

À moins d’un an de la fin de son mandat, Moïse Katumbi tire un premier bilan de son action à la tête du « poumon économique » de la RD Congo, le Katanga. Et jure vouloir désormais retourner à sa vie d’hommes d’affaires.

Moïse Katumbi

Quel bilan tirez-vous de votre action, alors que votre mandat de gouverneur du Katanga s’achèvera en mars 2012 ?

Il est difficile de faire soi-même un bilan, car on ne peut être à la fois juge et partie. C’est à la population katangaise de le faire.

Quels étaient vos chantiers prioritaires ?

À mon arrivée à la tête du Katanga, en mars 2007, j’ai trouvé une situation difficile. Les anciens gouverneurs avaient laissé beaucoup de problèmes, car ils avaient peu de moyens. Il fallait tout refaire, tout était prioritaire : l’éducation, la santé, les routes, l’eau, l’électricité… Or la population est très exigeante, et elle avait beaucoup augmenté, avec l’afflux de personnes venues d’autres provinces et le retour de la diaspora. Dès le début de mon mandat, nous avons élaboré un plan triennal, que nous avons présenté à l’Assemblée provinciale, et avons établi des priorités selon les spécificités et les problèmes de chaque district. Nous sommes cependant limités par les moyens…

Faites-vous référence au fait que la province ne perçoive pas la totalité des recettes que Kinshasa doit lui rétrocéder ?

En effet. Le gouvernement central n’a pas libéré la totalité des 40 % de recettes budgétaires qui reviennent aux provinces – en raison, notamment, du remboursement de la dette publique et des sacrifices que le pays a dû consentir à cause de la guerre. Mais aujourd’hui, avec l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative en faveur des Pays pauvres très endettés [PPTE, approuvée mi-2010 par les bailleurs, le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, NDLR] et l’annulation de la quasi-totalité de la dette publique, les provinces devraient retrouver leurs droits et percevoir ce qui leur revient. J’espère qu’en 2011 la population en tirera enfin profit, et que le gouvernement central fera un effort financier en faveur des provinces.

Quel est le montant des recettes annuelles propres du Katanga ?

Il est de l’ordre de 100 millions de dollars [environ 70 millions d’euros].

Lire l’article sur Jeuneafrique.com : Moïse Katumbi : “Je gère le Katanga comme une entreprise” | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique

First Lady Michelle Obama in Botswana

Michelle Obama in Botswana. Visiting Africa on a goodwill mission, first lady Michelle Obama defended her husband Friday against criticism that he isn’t paying enough attention to the continent.

Michelle Obama in Botswana
Michelle Obama in Botswana

American First Lady said her weeklong trip to South Africa and Botswana is proof of the president’s commitment to Africa.

“This trip is a reflection, a direct reflection, of his support and his interest and his view of the importance of Africa to the world and to the future of the world,” she said. “That’s why I’m here.”

Given that Barack Obama is America’s first black president and his father was from Kenya, many had hoped to see stepped-up U.S. involvement on the vast continent during his presidency. Africans also longed for Obama to visit so they could welcome home a U.S president they consider one of their sons.

He did visit, stopping in Ghana in 2009. But he stayed less than 24 hours and has not been back to Africa.

The first lady said people expect a lot from her overworked husband and that some won’t ever think what he does is enough.

“He would love to be here but there’s a lot of work to do on the domestic front,” she told four American reporters traveling with her. “And as president it’s hard to predict and plan internationally because you’ve got domestic stuff hitting you left and right”.

“Africa’s absolutely important to him,” she added. “I understand why people feel like they want more. It’s a big continent, a lot of challenges. But I think his record and the number of senior officials who’ve spent so much time in Africa … that is a reflection of this administration’s commitment to this continent.”

À la découverte du Gabon, Ivindo National Park

The roaring torrent of slashes of Kongou falls through the forest in Ivindo National Park.

Ivindo National Park is a national park in east-central Gabon in west central Africa. It is bisected by the equator. Ivindo National Park was completed in 2004. It contains the famous Kongou Falls, and Langoué Bai, one of the five most important forest clearings in Africa.


 

Le parc national d’Ivindo est situé au centre-est du Gabon. Il est traversé par l’équateur. Il abrite les chutes de Kongou ainsi que « Langoué Bai », l’une des cinq clairières forestières les plus importantes d’Afrique où on a trouvé la plus grande concentration de gorilles du Gabon.

Ivindo National Park
Ivindo National Park

Ivindo National Park

Kongou Falls
Kongou Falls
Kongou Falls
Kongou Falls

Photograph by Michael K. Nichols

Mondial de football féminin : les Brésiliennes jouent pour exister par Anne-Gaëlle Rico

image Au pays du football, les Brésiliennes jouent pour exister par Anne-Gaëlle Rico

A quelques jours du début du Mondial de football féminin, l’équipe brésilienne n’a qu’une chose en tête : soulever la Coupe du monde. Pour prendre une revanche sur les Allemandes, qui les avaient battues en finale de l’édition 2007, mais aussi pour faire progresser la version féminine du sport national, longtemps interdite.

Des montagnes recouvertes de forêt atlantique, un joli lac, la paisible ville de Teresópolis est un cadre idéal pour s’entraîner. Mythique aussi, puisque c’est ici, dans le centre de Granja Comary, que les stars de la Seleçao, Neymar et Robinho, s’entraînaient régulièrement. Mais en ce début du mois de juin, c’est sur Marta et Aline, les perles de l’équipe féminine de football, que les projecteurs sont braqués. Séances tactiques, répétition des schémas de jeu, jogging, musculation… le programme est intensif. Kleiton Lima, entraîneur de la sélection brésilienne depuis janvier 2009, explique qu’il “travaille particulièrement l’aspect physique car c’est le point faible de mes joueuses, qui sont fines et de carrure légère. Elles jouent dans le groupe D contre les Norvégiennes, qui ont déjà remporté la Coupe du monde”.

“Mais avec notre technique de haut niveau et mon sens inné de la tactique, ces détails de poids seront compensés”, réagit en riant Aline Pellegrino, capitaine de l’équipe depuis plus de six ans. En Chine, lors de la précédente édition de la Coupe de monde (2007), les “Canarinhas” (“les petits canaris”, en référence au maillot jaune) s’étaient inclinées en finale face aux Allemandes (2-0). Un an plus tard, aux Jeux olympiques de Pékin 2008, elles avaient subi la loi des Américaines, également en finale. Deux médailles d’argent qui étaient les premières pour le foot féminin au Brésil, mais qui laissent un arrière-goût amer aux joueuses. “Cette année nous allons gagner en battant l’Allemagne à domicile et effacer le mauvaissouvenir de 2007, prédit Aline Pellegrino. Je me rappelle parfaitement de ce que j’ai ressenti en recevant ma médaille de vice-championne : un bonheur rapidement chassé par la frustration lorsque nos adversaires sont montées sur le podium et que retentissait We Are the Champions de Queen.” “C’est infernal, confirme la gardienne Andreia Suntaque, depuis aucune d’entre nous ne peut supporter cette chanson.”

INTERDICTION DE JOUER

Les Brésiliennes, pour déjouer la loi des séries, ont progressé et sont actuellement troisièmes au classement de la FIFA. Une performance remarquable au vu des obstacles qu’elles ont dû affronter : l’histoire du football féminin commence au Brésil en 1965, lorsque des femmes de Rio de Janeiro forment une équipe de football amateur. La nouvelle se répand comme une traînée de poudre et rapidement les joueuses sont assez nombreuses pour organiser de petits tournois. Mais l’engouement est stoppé net : la dictature militaire (1964-1981) interdit aux femmes de pratiquer le football et d’autres sports considérés “masculins” comme le rugby, le polo et la lutte. La raison invoquée est que ces activités physiques mettent en danger l’appareil reproductif féminin.

Ce n’est qu’en 1986 que ce droit leur est de nouveau accordé. “L’association de la femme à l’espace domestique est une image qui imprègne toujours la société”, estime Maria Rosario Andrade, chercheuse spécialiste des questions de genre dans le sport. Même Patricia Amorim, première femme à diriger un club brésilien – le mythique Flamengo – fait de nombreuses allusions à la facilité pour une femme de bien gérer un foyer, et par conséquent un club de football… “Dans cette industrie, rares sont les femmes qui occupent des postes à responsabilité et celles qui ont réussi, comme Patricia Amorim, doivent lutter contre les doutes qui planent sur leur légitimité, leur crédibilité. Finalement le pays du football exclut les femmes de la passion nationale”, regrettent Marlon Messias Santana Cruz et João Narciso Barbosa Neto, professeurs d’éducation physique et auteurs d’une étude sur la discrimination dans le sport à l’école.

“BATAILLE IDÉOLOGIQUE ET SYMBOLIQUE”

“On ne balaie pas des centaines d’années de discriminations du jour au lendemain, commente Baby Siqueira Abrão, philosophe féministe qui a contribué à rompreavec ces clichés en devenant, dans les années 70, la première femme commentatrice de football. Le simple fait que les femmes s’invitent dans le pré-carré des hommes est déjà, en soit, une victoire.” “C’est une transgression qui renverse l’ordre établi et rompt avec la conception de la femme fragile, ajoute Maria Rosario Andrade. Le football reflète une société dans laquelle l’homme a toujours prédominé et est donc le terrain d’une bataille idéologique et symbolique.”Aujourd’hui, au-delà du combat pour plus de visibilité et de reconnaissance, les joueuses brésiliennes luttent au quotidien pour professionnaliser le football féminin.“Il est inadmissible que Marta, sacrée cinq fois consécutives meilleure footballeuse du monde par la FIFA entre 2006 et 2010 ait dû partir à l’étranger [en Suède et aux Etats-Unis] pour s’épanouir professionnellement. Il y a beaucoup de joueuses qui, pour vivre, jonglent avec d’autres activités et qui s’entraînent gratuitement.”

Ce n’est qu’en 2007, l’année où l’équipe a atteint la finale de la Coupe du monde, qu’a été créée la Ligue nationale féminine au Brésil. A titre de comparaison, le championnat de France existe depuis 1974. “Un titre mondial créerait un cercle vertueux”, explique Kleiton Lima. “En attirant les médias et les investisseurs, nous pourrons améliorer les conditions de travail et augmenter les salaires, ouvrir de nouveaux clubs et inciter les plus jeunes. En Europe, les adolescentes s’entraînent comme des pros, au Brésil c’est bien plus tard et lorsque les garçons gagnent déjà 10 000 reais (4 380 euros), les filles ne gagnent rien”, regrette l’entraîneur de la Seleçao.

La suite de l’article de Anne-Gaëlle Rico est sur  LEMONDE.FR

Voyage au coeur de l’athlétisme éthiopien par Hélène Bekmezian

Voyage au coeur de l'athlétisme éthiopien

Depuis cinquante ans, l’Éthiopie décroche médaille sur médaille dans les courses de fond aux Jeux olympiques. Aujourd’hui, découvrez pourquoi ce pays africain mérite tant son surnom de “Mecque du marathon”.

Le soleil est à peine levé sur Addis-Abeba et, déjà, une trentaine de coureurs foulent la piste irrégulière de Meskel Square, faite d’herbe, de terre et de cailloux. La place la plus fréquentée de la capitale éthiopienne accueille tous les matins des sportifs plus ou moins occasionnels, bien décidés à s’exercer sur ce terrain d’entraînement pas comme les autres. Ici, pas de piste circulaire mais une multitude de pistes en escalier, disposées en demi-cercle les unes au-dessus des autres, que l’on parcourt en zig-zag jusqu’à atteindre le sommet.

Voyage au coeur de l'athlétisme éthiopien

ALTITUDE ET MIMÉTISME

Depuis cinquante ans et la médaille d’or d’Abebe Bikila au marathon des JO de Rome après une course disputée pieds nus, l’athlétisme éthiopien est une redoutable machine à gagner dans les courses de fond, autant qu’elle est une usine à rêves pour la population. Ce pays, où 40 % des 90 millions d’habitants vivent avec moins de 2 dollars par jour, dispose d’un palmarès sportif à faire crever de jalousie n’importe quelle nation occidentale : 38 médailles olympiques, 10 records du monde en plein air encore invaincus, au moins 7 médailles remportées à chacun des trois derniers JO d’été… Toujours en course longue distance.

L’Ethiopie est l’un des dix Etats les plus pauvres de la planète, mais ses habitants courent plus vite et plus longtemps que tout le monde. Avec une trentaine de sommets qui culminent à plus de 4 000 mètres, ce pays de la Corne de l’Afrique a su tirer profit de ses hauts plateaux : habitués à courir près des nuages, les athlètes éthiopiens dopent leur production de globules rouges et deviennent encore plus endurants lorsqu’ils descendent dans les basses plaines.

Employé dans une agence de voyages, Kuku, 32 ans, vient y trottiner une demi-heure tous les matins avant d’aller au travail. “Chaque pays a sa tradition : au Brésil et en France, c’est le football ! Ici, c’est la course. Nous sommes fiers : grâce à ce sport, le monde entier connaît notre drapeau”, clame-t-il, souriant, tout en s’étirant. Anthenh, lui, traîne ses baskets un peu usées et son regard frondeur deux fois par jour à Meskel Square. A 20 ans, le jeune homme vit de petits boulots, souvent comme mécanicien, mais n’aspire qu’à une seule chose : devenir un grand champion d’athlétisme. “Mon père est mort et ma mère n’est plus avec moi. La vie est dure. Quand j’ai de la nourriture, je mange ; sinon, je fais sans. Mais je cours, tout le temps. Le secret pour réussir, c’est de s’entraîner très dur”, explique-t-il.

“UN COUREUR ÉTHIOPIEN N’ACCEPTERA JAMAIS D’ÊTRE BATTU”

Mais pour Yilma Berta, l’entraîneur général de la Fédération d’athlétisme, c’est surtout dans la tête que les coureurs éthiopiens sont plus forts que les autres.“Notre différence, c’est la motivation ! Nous sommes une nation pauvre et nos athlètes font énormément d’efforts pour gagner de l’argent et se sortir de leur condition. Cette motivation très forte fait qu’un coureur éthiopien n’acceptera jamais d’être battu. La victoire est gravée dans nos esprits !”

Depuis son bureau décoré d’affiches et de photographies aux couleurs des victoires olympiques, le coach au physique longiligne et aux cheveux blancs explique avoir étudié en Tchécoslovaquie avant de devenir, en 1982, responsable de l’équipe nationale de course de fond de son pays. Selon lui, le cercle vertueux reposant sur le mimétisme explique les excellents résultats des athlètes : “Gagner est devenu une tradition, chaque champion en attire un autre. Dans la foulée de Bikila, beaucoup d’Ethiopiens se sont mis au marathon et ont obtenu de très grands résultats. C’est ce qui explique aussi nos lacunes dans les autres domaines de l’athlétisme.”

La suite de l’article sur l’athlétisme éthiopien par Hélène Bekmezian et Imanol Corcostegui sur LEMONDE.FR 

 

3 things to know about POWER from Kanye West

Power is a measure of an entity’s ability to control its environment, including the behavior of other entities. Totally Kanye West. So here are 3 things to know about POWER from Kanye West.

POWER from Kanye West
POWER from Kanye West

Number one : The song is a single by Kanye West, released as the lead single from his fifth studio album, My Beautiful Dark Twisted Fantasy.

Number two : The song features additional vocals by Dwele and is co-produced by Kanye West and Symbolyc One.

Number three : The song features a sample of “21st Century Schizoid Man” by English progressive rock band King Crimson, “Afromerica” by American funk band Continent Number 6, and “It’s Your Thing” by funk band Cold Grits.[1] It was nominated for a Grammy Award for Best Rap Solo Performance.

Watch POWER from Kanye West

Projecteur sur Will Smith, monsieur box-office

Will Smith, de son nom complet Willard Christopher Smith Jr, est un acteurproducteur de cinéma et chanteur de hip-hop américain, né le 25 septembre 1968 à Philadelphie (Pennsylvanie, États-Unis1).

Will Smith est l’un des rares artistes à avoir connu le succès dans trois différents médias de divertissement aux États-Unis et dans le monde : cinématélévision et musique. Il est devenu rapidement célèbre en tenant le rôle-titre de la série télévisée Le Prince de Bel-Air et a joué dans plusieurs grosses productions hollywoodiennes comme Bad BoysIndependence Day et Men in Black.

Il est l’un des acteurs les mieux payés d’Hollywood avec 80 millions de dollars gagnés entre le1er juin 2007 et le 1er juin 2008 et le seul acteur à avoir tourné dans huit films classés premiers au box-office américain dès leur premier week-end de diffusion.


Will Smith the only actor to have eight films shot in ranked first at the box office U.S. upon first weekend of release. We pay tribute to Will Smith with this short video. Wow!

Bitcoin, une nouvelle monnaie virtuelle ?

image : BitCoin monnaie virtuelle
image : BitCoin monnaie virtuelle

Bitcoin est une nouvelle monnaie virtuelle créée en 2009 par Satoshi Nakamoto un personnage mystérieux dont personne ne connait la véritable identité.

Ce dernier, empruntant de vieilles idées issues des années 90, publia un document décrivant les caractéristiques d’une monnaie décentralisée. Depuis peu, cette idée est portée par un bon nombre de geeks pour changer notre système économique.

nouvelle monnaie virtuelle
nouvelle monnaie virtuelle

Rien n’empêche de penser que l’on puisse créer une nouvelle monnaie virtuelle sur Internet dans le cadre d’une communauté par exemple avec tous les utilisateurs des auberges de jeunesse. Mais ce genre d’initiatives restait connecté à l’économie réelle. Alors qu’avec Bitcoin, la masse monétaire est complètement déconnectée avec un processus purement algorithmique, sur le modèle de Google. C’était envisageable, mais il fallait quand même le faire !

Regardez la vidéo pour mieux comprendre et dites que pensez-vous d’une monnaie virtuelle ?

 

Rêves d’un jeune patriote pour le Cameroun 2010-2060 par Hiram Samuel IYODI

Salut à tous,

Aux lendemains de la célébration de la 39ème fête de l’Unité de notre pays et en cette période qui marque les cinquantenaires (indépendance et réunification) du Cameroun, je me permets très humblement par le présent courriel, de partager avec vous ma première réflexion sur l’apport de la jeunesse au développement et à la prospérité de la Terre qui nous a enfantés. Mon essai s’intitule RÊVES D’UN JEUNE PATRIOTE POUR LE CAMEROUN DE 2010-2060. Il devait initialement faire l’objet d’un livre, n’ayant pas pu trouver une entente convenable avec une maison d’éditions, j’ai choisi de le partager gratuitement et massivement via le net, le plus important pour moi étant dès lors de communiquer un certain nombre d’idées.

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Je vous invite donc à le lire et à le transférer à la majorité de vos contacts d’origine camerounaise. Ce travail ne constitue pas en lui-même un apport de solutions concrètes de sortie de crise pour la jeunesse de notre pays, mais plutôt un balayage assez exhaustif des pistes à explorer dans ce sens. En cette période de profondes mutations pour l’humanité, en ces années marquées par des échéances électorales (présidentielles 2011 – municipales et législatives 2012) dans le jardin de nos aïeuls, je nous invite à organiser notre pensée et surtout nos actions dans le sens du bien être collectif des Camerounais.

Prenons les places qui nous nous reviennent dans les paysages culturels et socio-économiques, et intégrons les organes décisionnels politiques afin d’incarner pour l’ensemble de l’Afrique un exemple de jeunesse dynamique et entreprenante. Soyons définitivement le changement que nous prônons.

Je serais ravi de discuter avec le plus grand nombre afin d’en apprendre de vous et surtout d’améliorer mes réflexions et actions à venir.

Je vous remercie d’avance.
Camerounaisement vôtre!
Votre serviteur,
Hiram Samuel IYODI.

P.S : La Perfection étant de l’ordre du Divin, je vous prie d’ores et déjà de bien vouloir excuser les erreurs de rédaction que vous trouverez dans le document. Je m’améliorerais la prochaine fois.


Regardez By My Side – un clip de AGE Musiq

AGE Musiq : Retenez ce nom. Fraicheur, authenticité et amour de la musique caractérise ce jeune chanteur anglophone Montréalais, d’origine franco-Camerounaise.

AGE Musiq

Voici son clip  video “By My Side” avec C.M.R. et Raphy que vous pouvez trouver sur sa mixtape Heart Soldier. 

According to Je Wanda Magazine Age Musiq defines his music as Alternative Hip-Hop, a mix of Hip-Hop, Soul/Neo-Soul, R&B, Bossa nova, Samba, Afrobeat, Makossa etc… He explains to the Cameroonian media that he can’t put himself in just one category because the music is too rich, styles evolve everyday but the authenticity stays the same.  He’s inspired by artists like D’Angelo, The Foreign Exchange, a tribe called quest, Little Brother, Mos Def Musiq Soulchild, Blu, Sergio Mendes, Fela Kutl, Lokua Kanza, Manu Dibango etc…

Vous pouvez le suivre sur Twitter : @AGEMUSIQ ou sur Youtube : AGEMusiqlover

 

À la découverte du Kilimandjaro

image kilimandjaro

Le Kilimandjaro ou Kilimanjaro est une montagne située au nord-est de la Tanzanie et composée de trois volcans éteints.

Nous avons le Shira à l’ouest, culminant à 3 962 mètres d’altitude. Ensuite, le Mawenzi à l’est, qui s’éleve à 5 149 mètres d’altitude. Enfin et le Kibo, le plus récent géologiquement, situé entre les deux autres et dont le pic Uhuru à 5 891,8 mètres d’altitude constitue le point culminant de l’Afrique.

Depuis, le Kilimandjaro est devenu une montagne emblématique, évoquée ou représentée dans les arts et symbolisée sur de nombreux produits à vocation commerciale. Elle est très prisée par les milliers de randonneurs qui réalisent son ascension. De plus l’ascension du Kilimandjaro permet de profiter d’une grande diversité de faune et de flore.

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Happening Now : La nouvelle fonction Facebook

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Facebook : Happening Now. Une nouvelle fonctionnalité pourrait rapidement apparaître dans Facebook puisque le réseau social teste la nouvelle barre pour nous informer en temps réel.

facebook happening now
facebook happening now

Le test reste limité à une poignée d’utilisateurs pour l’instant. Cette barre affiche ce que vos amis partagent, commentent ou ce sur quoi ils mettent des liens dans leur profil Facebook.

Facebook : Happening Now
Facebook : Happening Now

On peut aussi voir ceux qu’ils ajoutent comme amis ainsi que les notifications. La barre est placée sur le côté droit, à droite du fil d’actualité.

Alors on en pense quoi de la nouvelle fonction ? utile ou intrusive ? Dites nous ce que vous en pensez dans la section commentaire.

Moussa Idriss Ndélé et les ambitions du parlement panafricain

image Moussa Idriss Ndélé élu président du Parlement panafricain

Le Tchadien Moussa Idriss Ndélé préside le Parlement panafricain (PAP) depuis deux ans. Il est devenu président le 29 mai 2009.

Les autres principaux concurrents pour la présidence étaient Sawadogo Lassane et EL-Gendy de Mostefa Abdelaziz. Néanmoins, Moussa Idriss Ndélé, chirurgien-dentiste de formation et  du partisan du panafricanisme, a reçu la majorité des voix. Par profession, Moussa a servi d’assistant à la faculté des sciences de santé à l’université de Ndjamena. Il est marié et a six enfants.

Moussa Idriss Ndélé a tenu plusieurs positions de leadership dans l’Assemblée nationale du Tchad, et a servi pendant plusieurs années dans le secrétaire général du parlement panafricain.

Il était un membre de la mission des syndicats africains pour observer les élections parlementaires en Îles Maurice en 2005, membre de la mission de PAP pour observer les élections générales au Zimbabwe en 2008, et chef de la mission de PAP pour observer les élections parlementaires en Angola en 2008.

Son but est de doter l’institution de pouvoirs législatifs à l’échelle du continent. Il a jusqu’au début de 2012 pour y parvenir avant de passer la main.

Nous vous recommandons l’article sur Jeuneafrique.com : Moussa Idriss Ndélé : “Nos peuples aspirent à former des États-Unis d’Afrique” | Jeuneafrique.com – le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique

Thierry Henry veut-il jouer pour l’équipe de Guadeloupe ?

image Guadeloupe-Thierry-Henry

Thierry Henry pour la Guadeloupe ? Le plus grand buteur français de l’histoire a tenu à encourager les Gwada Boys. Car pour lui, originaire de Guadeloupe et international français à 123 reprises, la question ne se pose pas.

Thierry Henry pour la Guadeloupe
Thierry Henry pour la Guadeloupe

Après le président de la Fédération française (FFF), Fernand Duchaussoy, la sélection régionale de Guadeloupe a reçu un autre soutien de poids avant de débuter la Gold Cup, face au Panama.

Même s’il joue aujourd’hui aux Etats-Unis, qui accueille la compétition, l’attaquant des Red Bulls de New York «roule pour la Guadeloupe», déclare-t-il sur le site officiel de l’épreuve.

«Sans manquer de respect aux Etats-Unis et au Canada», les adversaires des Guadeloupéens dans le groupe C, le meilleur buteur de l’histoire des Bleus préfère soutenir le département d’outre-Mer.

En fin connaisseur du football, il trouve même «incroyables» leurs résultats obtenus en 2007 (demi-finales) et 2009 (quarts de finale). «Ils doivent être fiers d’être ici, ajoute-t-il, même si leur groupe est difficile».

The changes within a relationship by Nina Mayers

images Changes by Nina Mayers

Changes by Nina Mayers

“We gotta make a change…

It’s time for us as a people to start makin’ some changes.” Tupac

From the title and above quote one would think that am talking about the changes around us, but no, here I am once again giving my “expert” advice (see disclaimer) from a female perspective on the changes that one undergoes within a relationship. You would be surprised how perspectives differ.

This is a story about Trina and Kevin. Trina never really expected much from men; having been in and out of numerous unsuccessful relationships. She had even began to give up on the male species all together, until one day – hold and behold, Kevin came along. He felt different. He treated her like a princess, doing all the right things and saying all the things that mattered. Like most men, in the courting phase; he accustomed her to loving messages, unconditional love, attentive conversations, flirtatious scenarios and utmost and constant attention. Trina was sure to receive an email each morning; a text at lunch, a phone call in the evening and an occasional gift ‘just because’. Experience told her to not let her guard down, to be cautious and take it all with a grain of salt. Love on the other hand told her, this man cared about her; so she should start reciprocating his love. And so like any normal person, Trina began to show the same attention she had been getting all along, for her it was only conventional. What better way to express oneself than to share with another. Bliss. A loving relationship based on mutual respect was developing and like most women, she began to develop a dependency – not an unhealthy one; but one of love. It continued like this for months.

And then one day, Kevin became complacent. The balance of power and emotion shifted completely; his caring words from days past no longer came at an habitual pace; his emails decreased and his text messages became sporadic. The phone calls still came, but Trina in this new quest for a “good relationship” compensated by filling in the void Kevin had left. Now she was sending the messages in the hopes that he would reply. When he didn’t call she often dialled and when it often frustrated her, she simply assumed that he was perhaps busy and that now that they were an ‘item’ it was okay for her to do her part too….

You know this story, you know how it ends…. Sometimes the Trinas suddenly become the dependent women whose lives center around the Kevins; she puts him first and he knowing that she loves him no longer has to work for her attention. He becomes distant to the point of even being “unrecognisable” and still the love of Trina inhibits her from detaching herself emotionally and saying… “stop! Hold on, this is not the man I fell in love with” – she begins to make excuses for him and well… When the man is not mature enough to change his ways, too often too sadly the relationship ends.

Don’t get me wrong, some Trinas end up restoring the balance and the Kevins resume their better ways.

But for the purposes of “The changes within a relationship”, I want to deal with the Kevins that do change and the Trinas that let them. So changes….

Should we condemn Trina for reciprocating this love? And what of Kevin who all of a sudden doesn’t follow the norms previously established? Is it safe to say that, Kevin was simply enticed by the chase? And if so, should we the Trinas of this world spend our times playing hard to get? Do the games ever stop?

Am asking questions; I unfortunately don’t have the answers too – so my “expert” advice suddenly just goes down the drain along with all the misconceptions and theories I could come up with, because at the end of the day there is a few things and only a few things I would like to impart on you my dear friends…

A relationship is about respect. For me, this means the world. This also means that when you decide to accustom, teach and create a certain routine within a relationship; you have to give yourself the means and the latitude to ensure that you will CONTINUE to give that same treatment you started off with. Why? Because as human beings, as emotional women (strong & attached) we fall in love with THAT aspect of your behaviour – we hope that you remain that same man; because if not – what makes you different from Jason down the street – who could simply decide to do all that and just get in bed with me? For someone like Trina who is at wits end; I wouldn’t blame her if she ended the relationship as soon as she saw signs of change. Not because she’s not happy; but because her alarm is ringing off in her head and she’s saying, “no, i don’t want to do this again”, because if she is right then you will be another number in her life, another disappointment and if she is wrong – what’s the price to pay to find out?

To the men, I say #Be respectful; and learn to discern the changes around you – communicate those changes, you will only be considered a better man for talking about them – rather than playing into the blinded loving naiveté of your women.

I personally simply play hard to get :) (works for me) – but I learnt the hard way (one time) that sometimes; you pass up an opportunity when you choose to be strong headed. So I will let each woman decide for herself. I don’t think there is a right way to deal with it, the heart wants what the heart wants and the mind well, you know how that goes…. However, when you do notice that “Change”, speak up! Don’t assume that it will get better; don’t make excuses and please, please don’t become equally as complacent. “Take a stand” – because at worse; you will be WRONG -But you will have avoided that “transitional phase of what ifs and whys” and at BEST you will have addressed the issue and continue to live a prosperous relationship. Nota Bene: Remember, addressing an issue doesn’t mean making an “issue” out of it; be calm, poised and reasonable when doing so; don’t attack and chastise, just put the problem out there without sounding accusatory or judgemental; because remember you are not complaining about the “relationship” you are simply asking why the change ? (so that the relationship can take back the full cruise course it was in)

To the women, I say doubly, “be respectful” … Give as much as you want back (even though we know our motherly natures allow us to give so much more). Learn to detach yourselves emotionally so that you can make your demands. And although this whole text has been about the men that change, some women do too… So be real and always be the one whom he intially came for…

That’s it from me tonight… (I have to end by saying; some change is good IF you are both on board with it :) )

Deuces!

P.S: When am happy, you’re happy… so if you think you fallen into the trap – hit the “RESET” button; its never too late to make a change ;)

Editors Note: I would particularly, like to hear back from the men on this one… Because my assumptions are purely based on observation – perhaps they too can tell us why they change.